649 - 46 La soumission.

On va dans une pièce où il y a deux séries de quatre bancs pour une personne, côte à côte. La prof nous dit :
— Mettez-vous debout à côté d’un banc,
Quand c’est fait, elle ajoute :
— Je m’appelle Mona da Silva et j’ai été choisie par notre maître l’IA pour vous apprendre à obéir. Vous êtes toutes ici parce que vous lui avez désobéi. Cependant, dans sa grande bonté, il a décidé de vous pardonner. Il vous envoie ici afin que vous appreniez un métier et aussi...
Nouveau regard sur toute la classe, avant de dire :
— Pour vous punir de votre traîtrise…
Elle prend un air triste pour ajouter :
— Croyez bien que ça ne m’amuse pas de vous punir,
Je crois qu’elle se fout de nous. J’en suis sûre quand elle ajoute :
— Je plaisante, j’adore punir les Occidentales, vous avez des grosses fesses blanches que j’adore fesser. Bon, assez plaisanté, qui est le chef du groupe ?
Celle qui a été désignée, par la femme qui nous a donné les uniformes et par l’IA, lève la main et dit :
— C’est moi, Madame.
— Par qui devrai-je commencer, à ton avis ?
— Je pense que ce serait bien de commencer par Mila, qui a été désignée comme servante du groupe. C’est le choix de l’IA.
La prof répond :
— Ou alors, on pourrait commencer par toi,
— Oui Madame,
— J’hésite… Mila tu en penses quoi ?
— Je...
Elle me coupe en disant :
— En fait, on s’en fout de ce que tu penses, viens vite ici me montrer ton gros derrière.
Elle ajoute :
— Et vous les filles, asseyez-vous,
Je me dépêche d’aller près d’elle et j’ai déjà les larmes aux yeux. Elle glisse la main sous ma jupe pour caresser mes cuisses et mes fesses en disant :
— J’aime ton derrière. Je n’aimerais pas avoir d’aussi grosses fesses, mais ça va avec ton genre de beauté. Ne crois pas que ça va être une punition enfantine, je suis une championne de tennis, je sais claquer un derrière.
Elle me caresse toujours les fesses en poursuivant :
— Tu te demandes peut-être pourquoi l’IA t’a envoyée ici et pourquoi on t’a désignée comme servante de votre groupe. Tu as une idée ?
J’ai la gorge serrée tellement je suis stressée, je murmure :
— Je me…
Elle me coupe en disant :
— Plus fort, on ne t’entend pas.
— J’ai essayé de m’enfuir avec un... ami.
— Une panthère ?
— Oui, mais... euh, elle n’est pas toujours une panthère… et… euh… moi aussi je me suis transformée… Euh...
— D’accord, c’est très clair. Tu es un peu demeurée, non ?
— J’ai peur...
— Il ne fallait pas t’enfuir, maintenant tu te retrouves stressée et tremblante. Tu sais, quand on trahit, il aime que j’inflige une punition un peu pénible, genre te donner une série de coups de badine sur la plante des pieds et ensuite au coin, sur des grains de maïs très dur. Tu aurais aimé ça ?
— Oh non, Madame.
— L’IA t’aime bien, malgré ta conduite, alors il me laisse libre de te punir comme je veux. J’aime tes fesses rondes et blanches, j’ai donc décidé qu’une bonne fessée suffirait. Je pense que tu devrais me remercier, parce que je peux toujours décider de te donner une autre punition, comme des coups de badine sur les pieds, les paumes des mains, les seins... Alors il va falloir bien me remercier, sinon…,
Putain ! C’est quoi, bien ? Il m’est déjà arrivé de recevoir quelques coups sur les plantes des pieds et ça fait très mal. Je sors le grand jeu des remerciements. Je me mets à genoux et je lui dis :
— Je vous suis vraiment reconnaissante, Madame. Je sais que les plantes des pieds sont très sensibles et je vous remercie beaucoup de vous contenter de me donner une fessée.
Ce n’est pas tout, je suis à genoux et je me glisse sous son bureau pour embrasser ses chevilles. Elle rit et dit aux filles assises sur des bancs devant elle :
— Vous voyez une servante qui rampe. J’ai rarement vu une fille supplier aussi bien.
Rires complaisants de la classe. La prof me dit :
— Prends ma chaise et mets là devant la classe, de profil. Tu vois ce que je veux dire ?
— Oui Madame.
Je mets la chaise dans la position quelle veut. Elle relève sa jupe jusqu’à la taille et s’assied. Elle tourne la tête vers la classe et elle leur demande :
— J’ai l’impression qu’il me manque quelque chose, mais quoi, vous avez une idée ?
Rires… Notre cheffe répond :
— Le cul de Mila, Madame.
— Mais oui, c’est ça ! Mila, tu vas relever ta jupe jusqu’à la taille et te coucher en travers de mes cuisses.
En fait, ce qu’elle aime, c’est parler pour humilier. Son truc, c’est la soumission. Je vais près d’elle et elle me dit :
— Tiens, Mila, tu as envie de ta fessée ?
Y en a marre, fesse-moi qu’on en finisse, mais je dis :
— Non Madame, mais je crois que vous vouliez me donner une fessée, vous avez peut-être changé d’avis ?
Cette fois-ci, c’est elle qui rit. Elle me dit :
— Jolie réponse. Tu es moins stupide que tu en as l’air. Hélas, c’est mon boulot, punir les filles désobéissantes. Viens te coucher sur mes cuisses, les fesses tournées vers la classe. 
Quand je suis couchée sur ses cuisses, juste vêtue de la culotte réglementaire qui me rentre dans les fesses, elle me dit :
— Donne-moi ta main droite.
Elle prend mon poignet et le bloque sur mes reins de sa main gauche. Ensuite, elle bloque mes jambes avec une des siennes. Je suis complètement coincée sur elle. Elle caresse mes fesses en disant :
— Tu as la peau douce, le contraire de ma main.
C’est vrai que sa main est particulièrement... rêche. Elle commence à tirer sur ma culotte et ajoute :
— Ah, j’oubliais, si tu serres les fesses, je serai obligée de prendre quelque chose et te le mettre dans le trou du cul pour t’empêcher de le faire. Tu vois, c’est très déplaisant de frapper des fesses serrées. Tu comprends ce que je dis ?
— Oui Madame, je ne les serrerai pas
— Bien. Tu dois aussi compter et remercier pour chaque claque.
Elle me soulève un peu et tire sur la culotte. Elle la descend jusqu’à la pliure des genoux. Elle pose la main sur mes fesses en disant :
— La lune en plein jour, j’adore voir ça.
À nouveau, toutes les filles rient complaisamment. Elle me dit :
— Prête ?
— Ouiiii Madame.
PAF ! Sa main claque sur mes fesses. On dirait qu’un pétard vient d’éclater. Je gémis et remercie. S’ensuit la litanie le d’une bonne fessée :  habituelle d’une bonne fessée : 
— PAF ! Aiie ! Un, merci Madame. PAF ! Aaaaie ! Deux, merci Madame. PAF ! Aaaiiieeeee ! Trois, meeerci Madaaame… Ça fait maal ! PAF ! Aaaaiiieee ! Quatre, merciiii Madame… Je serai saaage ! PAF ! Aaaaiiie ! Ciiinq, merciiii madaaaame ! PAF ! Aaaaie… Six, mercii Madame, j’obéirai, je vous ju.... PAF ! Aaaaie ! Sept, merci Madaaame... ça fait si maal.…


Je reçois 40 claques, je supplie, promets tout ce qu’on veut. Tout ce qu’on m’a fait jusqu’à présent ne m’a pas endurcie. Quarante bonnes claques, ce n’est pas la fessée du siècle, mais elle frappe fort et elle a la main calleuse à cause du sport, a-t-elle dit. J’ai l’impression que mon derrière est en enfer. Elle s’adresse à la classe en disant :
— Vous en pensez quoi les filles ?
Elles répondent toutes que c’est une super fessée. La cheffe lui dit :
— On peut venir sentir si ses fesses sont vraiment très chaudes, Madame ?
Non, elles sont froides, petite conne ! Dommage que ce n’est pas ses fesses qui ont pris la fessée. La prof me dit : 
— Tu remercieras les filles qui se préoccupent de la santé de tes fesses.
N’importe quoi ! Elles viennent toutes me tâter les fesses, certaines plus brutalement que d’autres et elles me font gémir. Je les remercie. La prof me désigne du doigt un endroit pas loin du bureau, en disant :
— Tu vas te mettre à genoux là, comme ça tu pourras assister à la petite punition des autres filles qui ont fait des bêtises. Normalement, c’est au coin, mais c’est pour vous montrer la punition des autres. 
Je vais me mettre à genoux, les mains croisées sur les reins, en espérant qu’elle ne dise pas « mains croisées sur la nuque ». La prof dit :
— La suivante... est...
Elle regarde une liste :
— Zoé.
Une des filles vient se mettre sur l’estrade. Elle lui dit :
— Tu as aussi un amoureux panthère ?
— Non Madame, je...
La prof l’interrompt :
— Je sais ce que tu as fait. Dis, je suis désolée mais je vais me faire mal, si je dois toutes vous fesser à la main.
Elle ouvre un sac et en sort une vieille sandale à talon plat. Elle lui montre la semelle en disant :
— Touche comme c’est doux.
Zoé passe son doigt sur la semelle en disant :
— Oui Madame, c’est très doux, vous avez dû fesser des quantités de fesses…
Ce n’est pas comme ça qu’elle arrivera à l’amadouer. La prof répond :
— Oh oui, et j’aime ça, tu vas être une de plus à polir ma sandale. De quoi te rendre heureuse, non ?
En fait, la fessée fait mal, mais sa façon de parler d’autre chose est vraiment humiliante, quand on sait qu’on va se retrouver les fesses toutes rouges, à genoux sur l’estrade. Ça commence enfin ! Elle lui dit :
— Lève ta jupe et couche-toi sur mes cuisses.
Quand Zoé est sur ses genoux, elle la bloque comme moi. Elle lui rappelle aussi de compter et de remercier. Elle lui caresse d’abord les fesses, puis... CLAC !!!
C’est toujours un bruit de pétard qui explose, enfin, un peu différent avec la sandale. Zoé compte et remercie. Après les 40 coups de sandale, elle doit venir se mettre à genoux à côté de moi. Au tour de la suivante... On finit par se retrouver à sept. Il en manque une, la cheffe. Je me demande bien pourquoi. La prof lui dit :
— Sept fessées, c’est fatigant, je crois que je ne vais pas te fesser. Tu en penses quoi ?
— Je respecte votre décision, quelle qu’elle soit.
Elles rient toutes les deux, puis la prof nous dit :
— Vous pouvez aller dans l’aire de récréation, après avoir enlevé vos culottes que vous mettrez sur mon bureau.

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour ce super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. Il est ici :




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