656 - 53 Fanny

 Une famille de domestiques
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      On m’a dit de raconter ma vie. Plus exactement, on m’a ordonné de la raconter.
      Je suis né à Marseille, mes parents étaient d’honnêtes commerçants, comme on dit. Ils ont toujours été protecteurs avec moi, parce que j’étais un garçonnet petit et mince. Seule ma demi-sœur me traitait comme… son esclave. Je n’osais pas le dire à mes parents, j’avais peur des représailles de sa part. À l’école, je me faisais charrier à cause de ma petite taille et mes fesses trop… rondes pour un garçon. J’étais obligé d’obéir à mes tourmenteurs. Ce n’est pas glorieux, mais je n’avais pas le choix. J’ai doublé une classe et je termine ma dernière année à 18 ans. 
      C’est le début des vacances. On sort de l’école. Une fille me plaît énormément, elle est grande et très belle. C’est une brune comme beaucoup de Méditerranéennes. Elle a des formes… merveilleuses et des très grands yeux. Certaines personnes l’appellent Ingrid, d’autres, Fanny. Je la regardais en douce, le plus souvent possible.
Ce dernier jour avant les vacances, elle me dit :
      — Tu me regardes tout le temps, je te plais ?
      Je suis devenu tout rouge et j’ai bégayé :
      — Mais... je… je…
      — D’accord, je crois que c’est oui. Tu veux venir chez moi ? J’ai besoin d’aide.
      — Oohhh... ouiiii..
      Elle me donne son sac qui est assez lourd en disant :
      — C’est l’homme qui porte.
      — Oui Mademoiselle.
      — Tu t’appelles comment ?
      — Jean De Cursel, Mademoiselle.
      — Moi, c’est Ingrid à l’école, comme tu le sais, mais j’ai été rebaptisée Fanny par les joueurs de pétanque. Même mes parents m’appellent Fanny, tu vois pourquoi ? 
      — Euh… oui… non…
      — Tu vas comprendre. Viens, on va prendre ma moto.
      On va dans le local où les élèves peuvent mettre leurs motos. Comme elle a 18 ans, elle a une super petite moto, un peu cabossée. Il y a quelques élèves de notre classe qui viennent chercher leurs motos. Ils lui parlent aussitôt, ils se reverront lors d’une soirée chez l’un d’eux, si j’ai bien compris. Elle leur dit :
      — Vous pourriez lui expliquer pourquoi on m’appelle Fanny ?
      Un grand costaud, qui est dans l’équipe de foot, me dit :
      — Imaginons qu’on joue à la pétanque. Le perdant doit embrasser le cul de Fanny, c’est une très vieille coutume. Celui qui a perdu se met à genoux et…
      Fanny baisse son jean, en dessous, elle n’a pas de culotte. Elle se cambre et lui met ses fesses sur le visage, pour qu’il les couvre de baisers. 

      Les trois autres élèves se mettent aussi à genoux et crient :
      — Nous aussi on a perdu !
      Elle rit et va aussi leur mettre ses fesses sur le visage. Elle me dit :
      — Et toi, tu as gagné ?
      Je rougis et je réponds :
      — Non, je ne sais pas jouer, j’ai perdu.
      — Alors à genoux !
      Je m’empresse de le faire et elle vient littéralement coller ses fesses à mon visage en disant :
      — Allez, embrasse.
      J’embrasse ses fesses, j’adore. Quand elle se recule, je me relève et j’ose dire :
      — J’adore la pétanque.
      Ils rient tous. Je me suis fait des amis le dernier jour d’école… ou pas. Un des garçons lui dit :
      — Un amoureux de plus Fanny. C’est la première fois que le petit embrasse une fille, un moment qu’on n’oublie pas.
      C’est vrai, hélas. Il y a des garçons qui m’ont déjà fait des propositions, mais je n’aime que les filles. Je ne penserai plus à elle que sous le nom de Fanny. Elle dit :
      — À samedi, les gars.
      On va vers sa moto, elle me dit :
      — Mets mon sac en bandoulière et monte derrière moi.
      On s’assied l’un contre l’autre, je sens son odeur de transpiration, j’adore… On n’a pas de casque, mais ça n’a pas l’air de la tracasser. Elle me dit :
      — Mets tes bras autour de moi, sinon tu vas tomber.
      C’est ce que je fais. J’ai le visage sur le haut de son dos nu, je suis au paradis. Elle démarre et elle roule vite, je suis collé à elle. On arrive bientôt dans une superbe propriété, en haut d’une calanque. Il n’y a que les riches qui habitent ce genre de maison aussi bien située. Elle se gare et on entre dans la maison. Je la suis, fasciné par… ses fesses que j’ai embrassées et qui dansent devant moi. Elle tourne la tête et me dit :
      — Elles te plaisent, mes fesses ?
      — Ce sont les plus belles du monde, Mademoiselle.
      Elle rit. On va dans sa chambre au premier étage. Alors que la maison est bien nettoyée, sa chambre est un vrai bordel. Elle s’assied dans un fauteuil, moi je suis debout. Elle me dit :
      — J’ai l’impression que tu aimes mes fesses, mais que je te plais aussi.
      — Oh oui… Mademoiselle… énormément.
      — Tu ferais tout ce que je te demande ?
      — Oui Mademoiselle.
      — Bien, on va faire plus ample connaissance.
      Elle soulève son tee-shirt et me montre ses seins, je suis fasciné ! Elle les caresse en me souriant et me dit :
      — À toi maintenant. Montre-moi ton sexe.
     Ouch ! Je réponds :
      — C’est que…
Elle termine ma phrase :
      —… il est petit, je sais, mais ça me changera des grands gaillards à grosses bites. Et puis, quand je te dis de faire quelque chose, tu le fais !
      Je suis prêt à faire tout ce qu’elle veut, je baisse mon pantalon et mon caleçon. Elle rit et dit :
      — Qu’il est mignon.
      Hélas oui, petit et mignon, ce sont les mots qui conviennent. Elle joue avec mon sexe et mes petites couilles et me dit :
      — Rassure-toi, il y a des hommes qui n’en ont pas une plus grande que toi… à l’époque où ils avaient six ans.
      Elle rit... moi aussi, mais j’ai envie de pleurer. Elle prend mes couilles en main en disant :
      — Je n’aime pas les petits garçons qui pleurent pour un rien. J’ai besoin d’un petit garçon très obéissant, est-ce que tu es capable de m’obéir au doigt et à l’œil ?
      — Oui Mademoiselle.
      — Tu auras de temps en temps des récompenses, comme me masser les pieds ou laver mes culottes. Ça te plairait ?
      — Oh oui, Mademoiselle, je...
      Elle m’interrompt en disant :
      — Et un peu de sexe aussi, tu as déjà léché une chatte ?
      — Non made....
      — Ça te plairait ?
      — Beaucoup, je...
      — Alors ton travail d’aujourd’hui, ce sera de ranger ma chambre. Va à la cuisine, Marthe te donnera tout ce qu’il faut pour nettoyer. 
      Elle se lève et me dit :
      — Moi, j’ai à faire, travaille bien.
      Elle sort de la chambre. Elle est très belle mais très négligente aussi. Je dois descendre pour demander à Marthe du matériel de nettoyage. J’ai souvent aidé ma mère à nettoyer et à faire la lessive. Je trouve la cuisine dont la porte est entrouverte. Je toque et j’entre. Une grosse Méridionale est occupée à éplucher des légumes. Elle me dit :
      — Tu es qui toi ?
      — Euh… Godefroid, Madame. Mademoiselle Fanny m’a demandé de ranger sa chambre.
      — Tu es le petit boy de Mademoiselle Fanny ?
      — C’est que… oui Madame
      — Bon courage, elle est aussi belle que négligente et autoritaire.
      Je lui demande :
      — Vous pourriez me dire où je pourrais trouver le matériel pour nettoyer ? Et aussi un sac pour les déchets et un pour le linge.
      Elle me regarde en souriant. J’ajoute :
      — S’il vous plaît, Madame.
      — Bien… suis-moi
      Elle me montre où trouver des sacs et le matériel de nettoyage. Je la remercie beaucoup… Elle n’a pas l’air facile non plus.
       Je retourne dans la chambre de Fanny. Je jette d’abord les restes de nourriture et tous les déchets dans un sac. Quand c’est fait, je réunis le linge sale qui traîne partout. Je ne peux pas m’empêcher de mettre mon nez dans ses culottes et dans un tee-shirt. Mon petit sexe se dresse tout de suite et il reste au garde-à-vous. Je remplis un sac de linge à laver. Je travaille pendant trois heures, avec plaisir par moment.
Elle revient en fin d’après-midi. Elle regarde ce que j’ai fait et elle dit :
      — La salle de bain n’est pas faite ?
      — C’est que…
      — Il faut travailler plus vite si tu veux une récompense. Tu devras revenir demain matin. 
      — Oui Mademoiselle.
      — Tu passeras par la cuisine et tu m’apporteras le petit déjeuner au lit. D’accord ?
      — Oui Mademoiselle.
      — Dans ce cas, tu as droit à une petite récompense, mets-toi tout nu et couche-toi par terre, devant le fauteuil.
      Je pense qu’elle va... me dépuceler !! Oui, je suis toujours puceau. Ah non, elle pose son pied sur mon visage et elle me dit :
      — Tu aimes mes pieds ?
       — Oh oui, Mademoiselle, ils sont...
      — Tu peux te branler, bébé.
      Je voudrais lui dire que je ne veux pas me masturber, mais l’odeur de son pied m’envoie au paradis et je touche à peine mon sexe que je jouis. Elle me dit :
      — C’était bon ? 
      — Oui Mademoiselle.
      — Maintenant, à moi. 
      Elle s’assied sur mon visage, j’ai le nez entre ses fesses et son sexe sur ma bouche. Elle dit :
      — Et alors, qu’est-ce que tu attends ?
      Je lèche son sexe qui est mouillé. Je devrais détester avoir son anus sous mon nez, mais j’adore. Elle se tortille sur mon visage et le mouille complètement. Au bout d’un moment, elle me dit :
      — C’est la première fois que tu lèches une chatte ?
      — Oui Mademoiselle.
      — Je t’apprendrai. Bon, demain à dix heures, je veux que tu sois à la cuisine. Marthe aura préparé mon petit déjeuner et tu me l’apporteras dans ma chambre. En partant, passe par la cuisine et dis-lui. Tu as tout compris ?
      — Oui Mademoiselle.
      — Tu me plais, tu compenses ton tout petit engin par une parfaite obéissance, ça me convient.
      — Merci, Ma...
      — Ah, ne te lave pas le visage, comme ça tu garderas un souvenir de moi.
      — Oui, Mademoiselle.
     Je quitte sa chambre et je vais toquer à la porte de la cuisine. Marthe dit :
      — Entre.
      Dans la cuisine, elle me dit en riant :
       — Toi, tu sens la chatte de Fanny. 
       — C’est que…
     Elle me coupe, elle aussi, et termine : 
      — C’est que tu lui as léché la chatte.
     Je ne sais pas quoi lui dire, alors je parle d’autre chose :
      — Mademoiselle Fanny m’a demandé de vous dire… que je viendrai demain à dix heures et que je lui apporterai son petit déjeuner.
     Elle répond :
      — Et tu rangeras son bordel. Elle sait y faire. Ah, viens 20 minutes plus tôt, tu lui feras son petit déjeuner.
     Je baisse les yeux et réponds :
      — Oui Madame, à demain.
      — À demain petit.
      Je rentre chez moi. Je suis parfumé à la chatte de Fanny...

À suivre… 

Dessin de Bruce Morgan.

Il vend lui-même plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a faits pour nos livres. Si vous êtes intéressé, je vous donnerai son mail personnel.
Vous pouvez les voir sur notre blog gratuit.
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.com/
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