657 - 54 Petit-déjeuner au lit.
Je rêve de Fanny, bien sûr. Je l’aime, mais je ne suis pas complètement idiot et je me rends bien compte qu’elle est très autoritaire et qu’elle peut me punir si je fais quelque chose qui lui déplaît. Pour le moment, ranger sa chambre et lécher sa chatte, ça lui plaît et à moi aussi.
Je dirais même que je suis fou d’elle et qu’elle est la femme de ma vie. C’est rapide… comme un vrai coup de foudre. Le fait que je sois… « menu » ne la dérange pas. Si je peux rester avec elle, je comprendrais qu’elle ait un amant.
J’arrive à 9 h 30 dans la superbe propriété des parents de Fanny. La grille est fermée et il y a un parlophone. Je sonne, une voix d’homme me dit :
— J’écoute.
— Mademoiselle Fanny m’a demandé…
Je n’ai pas le temps de terminer la phrase que les grilles s’ouvrent. Je mets mon vélo dans un coin discret et j’entre dans la maison. Je sais où sont les cuisines et je toque à la porte. J’entends Marthe dire :
— Entre, petit.
J’entre et je dis :
— Bonjour Madame.
— Bonjour petit. Alors, tu es impatient de la revoir ?
— Oui Madame.
— Alors je t’explique parce que tu vas devoir faire ça souvent.
Je l’espère. Elle m’append à faire des œufs brouillés comme Fanny aime. Ensuite deux cafés et un petit panier avec un croissant et un pain au chocolat, du beurre et de la confiture de framboise. Elle met tout sur un plateau et, en me donnant une claque sur les fesses, elle me dit :
— Tu vas devant sa porte, tu dis « C’est le petit déjeuner, Mademoiselle » et tu attends entre cinq minutes et un quart d’heure selon son humeur.
Le plateau est lourd et je monte très prudemment les escaliers. Derrière sa porte, je dis :
— C’est le petit déjeuner Mademoiselle.
J’espère ne pas attendre trop longtemps, parce que le plateau est vraiment lourd. Il faut bien dix minutes avant qu’elle ne dise :
— Entre.
Alors que je m’apprête à lui dire bonjour, elle me dit :
— Ne parle jamais au-dessus de mon plateau, petit paysan.
Je fais oui de la tête et j’attends. Elle s’étire, je sens l’odeur de ses aisselles, j’adore ça. Il faut un moment avant qu’elle me dise :
— Dépose.
Quand j’ai mis le plateau sur ses cuisses, elle me dit :
— Va dire bonjour à mes pieds.
Quoi ? Elle pousse un long soupir et je vais vite au pied de son lit. Je glisse ma tête sous les draps. Moi qui rêvais de connaître son odeur, je suis gâté : son sexe, son anus, ses aisselles et maintenant ses pieds. C’est… fort, mais j’adore.
C’est comme si j’étais ensorcelé. J’embrasse ses pieds, il fait chaud dans la pièce et ils sont moites et… elle dit :
— Suce mes orteils.
J’obéis, bien sûr. Ils ont un léger goût salé, mon sexe réagit immédiatement. D’accord, il ne devient pas énorme, mais il bande dans la mesure de ses moyens. Elle me dit :
— À genoux près de moi.
Je sors du lit et je vais me mettre à genoux. Elle ajoute :
— Puisque tu obéis comme un bon chien bien dressé, je vais te faire une assiette.
À ce moment-là, le téléphone sonne et elle décroche. Je reste à genoux près de son lit. Je suis tellement près d’elle que j’entends ce que dit son interlocuteur :
— Salut poupée, c’est Ralph.
— Je t’ai reconnu… T’as envie de me baiser ?
— Toujours, mais il paraît que tu as un nouvel homme dans ta vie.
Elle rit et répond :
— Pas vraiment un homme. Je vais te le passer.
Elle me tend le téléphone en disant :
— Dis au Monsieur la taille de ton pénis.
Je prends le téléphone et je dis :
— Bonjour Monsieur… il mesure six centimètres.
L’homme éclate de rire, puis me dit :
— Et quand tu bandes ?
— Neuf centimètres.
Nouveau rire, puis il me dit :
— Repasse-moi Fanny.
Je passe le téléphone et j’entends qu’il dit :
— Qu’est-ce que tu fais avec une enfant de huit ans, tu sais que tu peux avoir des ennuis ?
Ils rient tous les deux. Puis il lui dit :
— Je bande, t’as pas envie que je t’enfile avec une bite de vingt-deux centimètres ?
— Toujours envie… Rapplique, tu verras le petit.
Ils raccrochent. Elle termine ma « pâtée » : restes d’œufs brouillés, restes de croissant et pain au chocolat. Elle met l’assiette par terre et dit :
— Ça a l’air sec. Attends.
Elle prend l’assiette et elle crache dessus. Ensuite, pour couronner le tout, elle sort quelque chose de son nez et le pose dessus en riant. Elle me dit :
— Mets-toi à quatre pattes au-dessus de ton assiette, je vais faire une photo.
Elle en fait plusieurs. Je mange sans les mains et elle dit :
— J’adore te voir obéir aussi bien, tire la langue et pose-la sur le dessus.
Oui, je fais ce qu’elle veut. Jusqu’où va m’entraîner cette passion insensée ? À manger ma pâtée pendant qu’elle rit et continue les photos... Elle me dit :
— Je te traite aussi bien que si tu étais mon petit chien obéissant.
Les crachats et le reste auraient bien sûr tendance à fort me dégoûter, mais ils viennent d’elle. Je mange en mettant mon museau dedans. Quand j’ai fini ma pâtée, elle me dit :
— Alors maintenant, tu n’es plus un chien mais ma servante et tu vas ranger la chambre et nettoyer la salle de bains
— Oui Mademoiselle, je vais chercher le matériel.
Je sors de la chambre et je rapporte le matériel de nettoyage. Je toque et entre. Elle est nue sur son lit, à nouveau au téléphone. Je commence par la salle de bain, elle crie :
— Et que ça brille, hein !
— Oui Mademoiselle.
Une heure plus tard, un homme entre dans la chambre. J’entends des bruits de baisers. Fanny crie :
— Machin, aux pieds !!
Je vais vite dans la chambre. Elle est toujours nue sur son lit, mais cette fois-ci, il y a un homme nu à côté d’elle. Il est le contraire de moi. Je dis :
— Bonjour Monsieur.
— Bonjour petit, montre-moi ta bite.
Fanny lui dit :
— Tu vas avoir une surprise.
C’est Fanny qui le demande, alors je baisse mon pantalon et mon slip, puis il prend mon sexe entre deux doigts, en disant :
— Il me faudrait une loupe.
Ils rient tous les deux. Ralph « joue » avec mon sexe, je regarde Fanny pour chercher du secours, mais elle caresse ses seins en me souriant… et honteusement, je bande. Il lui dit :
— Regarde comme il a grandi quand je le caresse, il aime les hommes...
Nouvel éclat de rire. Ralph me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Allez, va travailler.
En gémissant un peu, je remonte vite mon slip et mon pantalon, j’entends Ralph dire :
— Regarde, il a un vrai cul de fille.
Je n’ose rien lui dire, mais je suis 100 % hétéro, moi. Je nettoie la salle de bains tandis que j’entends Fanny rire, puis gémir, ils baisent. Je nettoie, de toute façon, elle a besoin de moi… pour son petit déjeuner et le nettoyage et… elle crie :
— Viens ici petit, il y a du nettoyage.
Elle me montre sa chatte en broussaille et ajoute :
— Tu lèches et tu aspires bien.
NON, jamais de la vie je ne sucerai du sperme !! Ralph me prend par une oreille et tandis que je crie, il colle mon visage dans la chatte qu’il a inondée. C’est Fanny, alors pour la première et la dernière fois de ma vie, je lèche et je suce une chatte dans laquelle un homme a joui. Je pense très fort que ce sont les sécrétions de Fanny que je lèche et j’avale. Je nettoie tout, c’est ce qu’elle veut. Ralph embrasse Fanny sur la bouche et lui dit :
— Elle est très bien, ta petite bonne.
Ils rient tous les deux. Je reste là avec un sale goût en bouche. Fanny me dit :
— Tu n’aimes pas lécher la chatte de ta Maîtresse ?
Elle dit « Maîtresse » mais dans le sens Maîtresse et domestique, pas dans le sens maîtresse et amant. Je réponds,
— C’est que… Je suis hétéro…
Elle répond :
— Plus pour longtemps… et d’ailleurs, tu as très bien avalé le sperme de Ralph.
Elle enfonce le clou dans ma petite virilité. Puis elle me prend par la taille et m’installe sur ses genoux. Elle a beaucoup de force, en même temps, je ne pèse pas lourd. Elle met ma bouche contre un de ses seins et dit :
— Tète, bébé.
Alors bébé tète les bouts de ses seins. Ils sont légèrement salés et je suis enveloppé par l’odeur de ses aisselles. J’oublie tout, sauf ces merveilleux seins que je suce. Au bout d’un moment, elle me tape sur la tête en disant :
— Mais tu m’excites, petit salopard, file à l’étage en dessous et suce mon clito.
Oh oui… sa chatte est sans sperme puisque j’ai tout avalé, enfin j’espère. Je vais entre ses cuisses et je lèche. J’adore, mais pour elle c’est symbolique, parce qu’elle me dit rapidement, hélas :
— Tu obéis bien, maintenant, continue dans la salle de bain.
Elle se lève et elle met un short en jean, un tee-shirt et des baskets sans chaussettes. Elle me dit :
— Quand tu as fini de faire la chambre et la salle de bain, va à la cuisine et mets-toi à la disposition de Marthe.
Eh, mais c’est elle que j’aime ! Je vais lui dire…
— Oui Mademoiselle.
Elle s’en va mais elle est toujours là, dans ses culottes, ses tee-shirts… À mon tour de pendre du bon temps, le nez dans ses culottes, même si elles ont parfois une odeur qui me rappelle celle de Ralph, c’est toujours son odeur qui domine et qui m’envoie au 7e ciel sans que je me caresse, par respect pour ma Maîtresse.
Je range et je nettoie tout.
Deux heures plus tard, je suis épuisé mais tout est rangé et j’ai même fait son lit. J’emprunte une culotte dans le sac de linge sale. Je descends et je toque à la porte de la cuisine. Marthe crie :
— Entre petit.
J’entre et je lui dis :
— Mademoiselle Fanny m’a dit de me mettre à votre disposition.
— Tu as vu Ralph ?
— Oui Madame.
— Tu lui as sucé la bite ?
Je deviens tout rouge, elle me dit :
— Oh, il est gêné le petit, viens ici.
Je m’approche et elle m’assied sur ses genoux. Ouch, elle a aussi beaucoup de force. Elle me dit :
— Elle a joué avec ton petit zizi ?
Elle est folle. Comme je ne réponds pas assez vite, elle plonge la main dans mon pantalon et elle se met à chercher mon sexe en disant :
— Où elle se cache cette petite vermine ?
Elle finit par le trouver et elle rit ! Ce n’est hélas pas la première fois que ça m’arrive et j’essaye de me dégager, mais elle me maintient fermement en disant :
— Si tu n’es pas sage, maman Marthe va te donner une bonne fessée.
Je suis coincée sur cette grosse femme qui sent la sueur. Je dois penser à Fanny, ses beaux seins et les plus belles fesses du monde et… Marthe me dit :
— Mais c’est qu’il bande, le petit salopiot !
Penser à Fanny, ça me rend… euh…. Aaaahhh… Je jouis entre ses gros doigts. Elle sort la main de mon pantalon. Elle tend sa main maculée de sperme vers mon visage en disant :
— Lèche… c’est la moindre des choses sinon, maman Marthe va se fâcher.
Je lèche, bien dégoûté. Je ne vais pas dire plus dégoûté que par le sperme de Ralph, mais il sortait du merveilleux sexe de Fanny. Quand j’ai léché sa main, elle me coince encore plus sur elle en disant.
— Qu’est-ce qu’on dit ?
— Mer... merci Madame Marthe.
Elle me remet par terre, avec mon slip mouillé, et me dit :
— Fais la vaisselle.
— Je
Elle ne me laisse pas continuer, mais elle me prend le poignet en disant :
— Ou tu obéis sans discuter, ou ce soir tu auras tellement mal aux fesses que tu mangeras debout.
Je crie :
— J’obéis, Madame !
À suivre…
Dessin de Bruce Morgan.
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