658 - 55 La fille... et son père.

       Maintenant je dois parler de moi, alors que j’ai envie de ne parler que d’elle.
      Ce matin, elle mange le petit déjeuner que je lui ai préparé sous les ordres de Marthe. Moi, je suis dans son lit, j’embrasse ses pieds et je suce ses orteils. Elle dit que c’est la façon la plus agréable de se laver les pieds. Je dois retirer son gros orteil de ma bouche, car elle me dit :
     — Et si tu dormais ici ? Je vais y réfléchir. En attendant, sors de ce lit, mes pieds seront toujours là tout à l’heure, même s’ils puent un peu moins suite à ton nettoyage.
      Elle rit, tandis que j’émerge des draps et pour la première fois, je la contredis :
      — Vos pieds sentent délicieusement bon, Mademoiselle.
      Elle rit à nouveau et répond :
      — Oui, c’est ça, mes pieds suent du Chanel N°5.
      Non, heureusement, mais elle poursuit :
      — Que font tes parents ?
      Je dois lui dire la vérité, elle l’apprendra de toute façon.
      — Ils sont dans une situation difficile… Ce n’est pas une bonne période. Mon père a perdu son travail et ma mère aussi et on a tous des ennuis avec la justice.
      — Il faisait quoi ?
      — Il travaillait dans un collège… qui a réduit son personnel et…
      — Il était prof ?
      — Non… euh… il s’occupait de réparer tout ce qui n’allait pas et…
      — Donc « homme à tout faire ».
      — Oui… Mademoiselle
      — Et ta mère ?
      — Elle travaillait dans un restaurant et… euh… elle faisaitt la vaisselle et le nettoyage, mais… le restaurant a fermé et…
      Elle termine ma phrase :
      — Et ils sont tous les deux au chômage.
      — Oui et... euh, ma demi-sœur aussi. Enfin, elle cherchait du travail. Alors ils ont fait... non, on a fait des grosses bêtises.
      Elle dit :
      — Au chômage de père en fils et de mère en fille et maintenant peut-être en prison.
        — Oui Mademoiselle.
      J’ai envie de pleurer. Elle réfléchit et répond : 
      — Intéressant… j’ai peut-être une solution… Mais un truc m’étonne, comment as-tu réussi à aller dans le même lycée que moi ?
      — J’ai gagné un concours et j’ai eu une bourse.
      — Je vois… mon père va peut-être vous aider. En attendant, tu es mon chien. Vas-y.
       Je me mets à genoux et je fais le beau. J’aimerais pouvoir écrire, « alors le comte Gontrand posa un léger baiser sur le bout du pied de sa Bérénice chérie... » Non, je suis son chien qui ne pose pas un baiser sur ses pieds, mais qui les lèche. Au bout d’un moment, elle pose la pâtée devant moi. Dans une assiette profonde, elle a mélangé des restes de pain, des pelures de fruit et un peu de jus d’orange. Elle crache plusieurs fois sur la pâtée. C’est comme si on s’embrassait sur la bouche. Elle ajoute quelque chose de moins glamour, mais c’est Fanny. Elle me dit :
      — Mange ! 
      Pendant que je mange à quatre pattes, elle me dit :
      — Demande à tes parents et ta sœur de venir manger ici samedi. Mon père saura sans doute vous aider.
      Elle réfléchit et ajoute :    
      — Mon père pourrait même arranger votre problème avec la justice et même faire plus.
      Je n’ose pas lui demander quoi. Elle s’en rend compte et me dit :
      — Ça m’excite de te voir aussi humble et obéissant. Allez, tu restes un chien mais tu peux embrasser Fanny. Pas comme les vrais hommes en short et espadrilles, un pastis dans une main, une boule dans l’autre et une cigarette roulée au dessus de l’oreille.
      Elle rit de sa description et ajoute :
      — Eux m’embrassent les fesses, toi le chien tu dois m’embrasser entre les fesses.
      Je remuerais bien la queue à cette idée, oui, je suis un chien fou… d’elle. Elle tire son drap et se met à quatre pattes en disant :
      — Écarte mes fesses avec tes pattes.
      Je suis à genoux face à son cul, la huitième merveille du monde et je peux, non, je dois l’embrasser. J’embrasse tout et quand mes lèvres sont sur son vagin mouillé mon nez est sur son anus. Son odeur n’est pas celle qu’on pourrait croire, mais c’est la meilleure odeur du monde. L’odeur du cul de Cléopâtre sous le nez de Marc Antoine mais en cent fois meilleur. Elle me dit : 
      — Lèche mon trou du cul chien-chien.
      Ma queue se met à battre à toute allure mais ça ne se remarque pas du tout. Quand je l’ai bien léchée, elle dit :
      — C’est bien mon chien, je suis une magicienne… ou plutôt une magichienne...
      Elle rit et ajoute :
      — Tu n’es plus mon chien mais mon esclave et tu vas ranger la chambre et bien nettoyer, puis tu iras te mettre à la disposition de Marthe… Ce soir, tu transmets l’invitation à ta famille, s’ils ne sont pas en prison.
      Elle rit. Ce n’est pas grave, elle va m’aider. Elle dit :
      — Je dois aller parler à mon père. Ah oui, une dernière chose : tu peux rêver cinq minutes en mettant mes culottes sales sous ton nez, mais je t’interdis de te branler… je veux que tu continues à rêver à mon trou du cul. Compris ?
      — Oui Mademoiselle.
      Elle s’habille… euh... sans se laver, c’est Fanny, elle a tous les droits. C’est une déesse, c’est Vénus qui ne sort pas de l’eau, mais dont l’odeur m’envoie au paradis. Si je ne peux plus me branler, j’espère que mes petites couilles ne vont pas éclater. 
Je termine le nettoyage sans trop mettre mon nez dans ses culottes de crainte de jouir, ce qui m’est interdit par Vénus-Fanny.
      Ensuite, je me dirige vers les enfers, c’est-à-dire les cuisines. Comme sa maîtresse, Marthe aime avoir un commis… soumis. Aujourd’hui, elle lit une revue à scandales et elle me dit : 
      — Alors, toujours aussi fou de Mademoiselle Fanny ?
      — Oh, oui Madame.    
      — Tu peux penser à elle, mais en faisant la vaisselle.
      Je commence par rincer une pile d’assiettes. Il n’y a pas de lave-vaisselle ici, c’est fou. Je suppose que les Maîtres veulent que tout soit fait à la main. Marthe rit des frasques des actrices ou des princesses, c’est souvent les mêmes. Je vais devoir l’interrompre pour lui demander où se trouve le liquide vaisselle, quand la porte s’ouvre brutalement et un grand costaud, d’une bonne quarantaine d’années, entre dans la pièce en gueulant (c’est le mot qui convient) : 
      — Où est ma fille Marthe, bordel de merde ?
      Marthe s’est levée dès qu’il est entré et elle répond :
      — Je l’ignore Monsieur, désolée.
      — Bordel ! Ma fille est sortie, ma belle-mère et ma femme sont au yoga et vous, vous sucez mal !!!
      Je suis devant l’évier et je ne fais pas de bruit, genre « je ne suis pas là ». Il me voit et il me met la main aux fesses, brutalement. Je pousse un petit cri et je m’aplatis contre l’évier. Il me caresse brutalement les fesses en disant : 
      — Comment ça se fait que je n’avais pas encore remarqué ce cul de fille. Tu es qui, toi ?
      Sa main me caresse les fesses, j’essaye de répondre :
      — Je… aïe ! Je suis…
      Marthe lui dit :
      — C’est le nouveau jouet de Mademoiselle Fanny, Monsieur.
      L’homme brutal dit :
      — Juste ce qu’il me faut, suis moi.
      — Aïe... Monsieur... Aïe…
      Il m’a pris par une oreille et il me tire. On va dans un grand salon, moi toujours plié en deux et en gémissant. Il va s’asseoir dans un fauteuil et me dit :
      — À genoux entre mes jambes.
      Il a heureusement lâché mon oreille pour que ce soit possible. Je me mets à genoux entre ses jambes, il me dit :
      — Sors mon sexe de mon pantalon.
      Je le sors et je m’apprête à lui dire que je suis un ami hétéro de sa fille, mais dès que je commence ma phrase, il me coupe en disant :
      — Tu vas bien me sucer ou je prendrai le bon vieux martinet familial pour changer la couleur de tes fesses. 
      Je pense « c’est le père de Fanny » mais ce n’est pas pour ça que j’ai envie de lui faire une fellation. D’un autre côté, il a l’air tellement brutal que... que je descends la fermeture de son pantalon.
      Ouch ! Un énorme « boa » me saute à la figure. Il fait certainement plus de 20 cm et il a une odeur écœurante qui n’a rien à voir avec celle de sa fille… Le sexe de sa fille, c’est la 7e merveille du…
      — Aaaiiieee !
      Le « boa » vient de me donner de méchantes des « bifles » c’est à dire des gifles avec sa bite. Il me dit :
      — Descends mon slip et mon pantalon.
      Il prend le « boa » en main, menaçant. Je mets ses vêtements sur ses chevilles. Je dois avouer qu’il est costaud, des cuisses de sportif et des couilles comme des pamplemousses, mais une odeur écœurante. Il me dit :
      — Commence par dire des mots d’amour à ma bite. 
      Ce n’est pas le père de Fanny, c’est un fou dangereux qui s’est échappé d’un asile ! Il prend son boa en main et je sais que si je n’obéis pas très très vite, il va m’assommer. Je la regarde et je dis :
      — Vous êtes la plus belle bite que j’ai jamais vue… Majesté… C’est un immense honneur de pouvoir vous admirer.
— Pas mal… commence par me lécher les couilles.



      Je crois que je préfère encore lécher ses couilles que faire des compliments à sa bite. Je lèche ses grosses couilles poilues et malodorantes. Il me dit :
      — Elles sont grosses, hein ?
      — Oh oui Monsieur, énormes.
      — Elles sont pleines du sperme que tu vas avaler.
      — Oui Monsieur.
      En fait, non, gros porc, le sperme ne vient qu’en partie des couilles, mais… Mais rien, il faut que je le lèche bien. Pouah, de la sueur d’homme. Je lèche jusqu’à ce qu’il me dise :
      — Maintenant, tu vas me décalotter sans les mains…
      Son sexe est énorme et son gland plus encore. Heureusement, l’excitation fait apparaître une grosse perle de liquide qui va m’aider… Je dois accélérer, sinon il…
      — Aaaaiiiieeee !
      Il a attrapé mes couilles dans une main et il les serre. Je crie :
      — C’est la première fois… Aiiiiieee ! Je vous en prie…
      Il les lâche. Oh que j’ai bien compris la leçon ! Je repousse le prépuce des lèvres, du mieux que je peux. Il s’en rend compte et il m’aide avec deux doigts. Le prépuce se replie, me laissant nez à nez avec le gland. Il doit se faire sucer souvent, mais il a une forte odeur d’homme pas propre. La pression sur mes couilles m’a convaincu de faire tout ce qu’il veut vite et le mieux possible. Il me dit :
      — Tu aimes les glaces ?
      — Oh oui, Monsieur.
      — Fais comme si ma bite était une glace à la pisse…
      Il rit ! Quelle horreur, une glace à la pisse ! Sauf si c’était le pipi de Fanny.
      — Aiiiiee !
      Il vient de me donner un coup de bite sur les deux joues. Je la lèche avec les joues rouges ! Oui, c’est une glace. J’adore les glaces. Je lèche avec… passion. Je pense que c’est ce qu’il voulait. Il me dit :
      — Maintenant, ce n’est plus ta bouche, mais le vagin de ma fille et il va et vient sur ma bite… Ouiiii, comme ça, petite salope… Quand je jouis, tu gardes tout dans la bouche sinon… je… t’en… Aaahhh…
      Ma bouche est inondée de sperme pour la première fois de ma putain de vie. Il retire sa bite en s’aidant de ses doigts, pour que presque tout le sperme reste dans ma bouche. Je déteste ce goût mais je garde tout ce que je peux en bouche. Ça me laisse à peine respirer. Il sort son téléphone et il me photographie. Je dois ressembler à un hamster qui a trouvé un énorme tas de graines.
      Il baisse mon pantalon et mon slip et photographie mon sexe qui, hélas, n’a pas trouvé de tas de graines. Je ne bande pas, naturellement. 
      Je suis toujours les joues pleines de sperme et… oh non, c’est pas vrai ! Ses attouchements me font bander ! Il me dit :
      — Bien petit, je vois que mon sperme t’excite.
      C’est pas vrai !!!! Il ajoute :
      — Avale.
      Surtout ne pas faire de grimace. J’avale ce liquide épais, visqueux… Il me dit :
      — Tu me plais, petite salope, et comme tu as l’air d’aimer mon sperme, tu n’as pas fini d’en avaler.
      Quelle horreur ! Il ajoute :
      — Retourne chez Marthe.
      Il se rajuste et sort de la pièce. En fait, ce sale type m’a violé !!

Dessin de Bruce Morgan.

Bruce vend lui-même plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a fait pour nos livres. Si vous êtes intéressé, je vous donnerai son mail personnel.
Vous pouvez les voir sur notre blog gratuit.
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.com/

De mon côté, je fais une histoire avec vos goûts  fan tasmes, 4 pages pour 50 € 
+ des photos hard. Je vous envoie un questionnaire avec une photo hard.
Si ça vous intéresse. Je suis ici mia.michael@hotmail.fr
 




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