659 - 56 Les contrats.

       Les jours suivants se passent de la même façon, c’est-à-dire que je commence par apporter le petit déjeuner à Fanny, puis j’obéis à tout ce qu’elle demande, même si elle me fait faire des choses que certains trouveraient dégoûtantes, voir dégradantes. En échange, je suis près d’elle et même parfois plus. Elle me dit :
    — Tu sais, tu ne pourras jamais faire plus que mettre ta langue, les micropénis, c’est pas mon truc et les bébés chien, c’est pas ma came. Tiens, pour te consoler.
     Elle me lance la culotte qu’elle a portée hier… et avant hier et…. Elle me dit :
     — Tu aimes mon odeur ? 
     — Oui Mademoiselle, j’aime tout de vous...
     — OK, j’essaierai de te faire plaisir la prochaine fois que je dois péter...
      Elle rit… ensuite elle me dit :
     — Demain, on va parler d’officialiser l’union de Mademoiselle Fanny avec son chien-chien.
      Je ne comprends pas pourquoi, mais je lui obéirai quoi qu’elle décide. Elle ajoute :
     — Tu vois, j’aime les hommes comme Ralph, les costauds avec une grosse bite, mais j’aime aussi t’avoir et que tu m’obéisses aussi bien, que tu sois prêt à boire ma pisse, à sucer la bite de mon amant ou de mon père ou à lécher les pieds de ma servante, si je te l’ordonne. Alors j’ai décidé de trouver un mari qui fait tout ce que je veux et en plus d’avoir des amants. Ça t’intéresse que je t’épouse ? 
     Elle veut m’épouser ! Je lui demande :
     — Vous êtes sérieuse ?
     Elle me donne une gifle qui claque sur ma joue. Tandis que je la frotte, elle me dit :
     — Quand je te pose une question, tu réponds.
     Malgré la gifle, je fais ce qu’elle veut :
     — Je serais très heureux que vous m’épousiez, Mademoiselle.
     — Bien, tu seras un mari soumis qui obéira à moi et à mes amants.
     N’importe quel homme s’en irait en courant, mais elle ajoute : 
     — De plus, comme cadeau de mariage, tes parents travailleront ici et ils n’iront pas en prison… Note qu’ici, ils seront domestiques, mais c’est toujours mieux que la prison… Quant à ta sœur, mon père la prendra dans son club. Alors ?
     — Oui, je serais très heureux que vous m’épousiez, merci beaucoup Mademoiselle.
     Voilà, « Alea jacta est », le sort en est jeté comme on disait au temps de Cléopâtre et Jules César. Fanny a beaucoup de points communs avec cette impératrice et je n’en ai, hélas, aucun avec Jules César. Je suis fou de Fanny-Cléopâtre et de sa façon de me traiter, elle la reine, moi l’esclave. Et puis j’évite la prison à mes parents et ma demi-sœur et même à moi, car j’ai participé des choses à me reprocher aussi.
***
     Cet après-midi, mes parents et ma demi-sœur viennent ici. Mes parents sont un peu comme moi ou je suis comme eux, c’est-à-dire... craintif, peureux… Ma demi-sœur est une coriace, c’est bien qu’elle aussi ait participé à… j’ai honte de le dire, à notre tentative de vol, sinon elle ne viendrait jamais pour le genre de travail qu’ils vont nous proposer.
     Ils arrivent strictement à l’heure convenue et Marthe les fait d’abord entrer dans la cuisine. On est tous les quatre debout, elle nous dit :
     — Je ne vous propose pas de vous asseoir parce que je crois que vous allez accepter la proposition de Monsieur et Madame et à part moi dans la cuisine, il est interdit aux domestiques de s’asseoir.  
     Lucie, ma demi-sœur s’assied et lui dit :
     — Je ne crois pas qu’on va m’engager comme domestique.
     Marthe répond : 
     — Avec ton physique, Monsieur te proposera certainement autre chose. 
     Lucie lui sourit. Elle lui dit :
     — T’as pas un truc à boire ?
     Elle va se faire engueuler… ou alors, Marthe lui dit :
     — Prends une bière dans le frigo.
     Lucie prend une bouteille et l’ouvre avec le décapsuleur qui se trouve sur la table. Elle est belle et coriace… je l’ai déjà dit, sans doute. Je sais que c’est elle qui a mit en évidence ma passion pour les filles… très dominantes. Depuis toujours, elle me siffle et j’accours. 
     Monsieur arrive dans la cuisine, oh non, quand même pas pour se faire sucer par moi devant ma famille ! Ouf, non, il dit à ma demi-sœur :
     — Tu connais le « Dragon de feu » ?
     — Oui, évidemment.
     — C’est un de mes établissements, j’aimerais que tu travailles là pour moi, viens que je t’en parle.
     Ils sortent de la cuisine. Elle est prête à tout, d’autant plus qu’elle risque aussi des ennuis comme nous.
     Je dois décrire ma famille. Ma demi-sœur est une garce sexy, d’ailleurs je n’ai jamais cru à cette histoire de demi-sœur, on se ressemble autant que l’eau ressemble au feu. Ma mère a 46 ans, elle est plutôt jolie, un peu forte et assez effacée. On a les mêmes fesses bombées, hélas, parce que je préférerais avoir des fesses de mec… Mon père a 50 ans, il est aussi plutôt discret. Je sens bien leur angoisse… notre angoisse. On risque tous d’aller en prison, même ma soi-disant demi-sœur. 
Fanny arrive dans la cuisine et elle regarde mes parents en disant :
     — Alors, c’est vous les parents de… machin ? J’oublie toujours son nom.
     Mon père commence à bredouiller quelque chose, mais Fanny l’interrompt en disant : 
     — Suivez-moi.
     On va dans la grande salle à manger. 
     Devant nous, assis, il y a Madame et Monsieur que j’ai été obligée de sucer et trois hommes bien habillés, je veux dire en costume et cravate. Lucie est aussi assise de leur côté, elle a dû accepter la proposition de Monsieur. L’un des hommes nous dit :                          
     — Je suis Maître Beauvais et Monsieur m’a confié votre dossier. C’est une sale affaire qui risque de vous valoir à tous une longue peine de prison ferme, mais…
     Évidemment, on est suspendu à ses lèvres et pas à l’aise du tout. Il poursuit : 
     — Le juge d’instruction est mon oncle et il pourrait très bien faire pencher la balance de la justice en votre faveur, mais…
     Encore ! Il continue :
     — C’est à condition qu’en échange, vous acceptiez tous les trois de travailler ici. 
     Mes parents et moi, on encaisse. L’avocat poursuit :
     — Monsieur Serval va vous faire une proposition.
     Je veux y voir plus clair, alors j’ose dire :
     — Pardon Monsieur, qui est Monsieur Serval ?
     Monsieur me dit :
     — C’est moi petit, tu te ne souviens pas de notre conversation ?
     Je deviens tout rouge et je lui dis :
     — Oui, pardon Monsieur.
     — Maintenant laisse parler les grandes personnes.
     Ça les fait rire, tandis je baisse la tête, rouge de confusion au souvenir de sa grosse bite dans ma bouche. L’avocat poursuit :
     — Si vous acceptez d’entrer au service de Monsieur et Madame Serval, le juge classera l’affaire. De plus, Mademoiselle Serval souhaite épouser le petit.
     Il me désigne du doigt et il me dit :
     — Vous. Vous êtes d’accord ?
     — Euh… Oui… Maître.
     Il dit à Fanny :
     — J’ai un peu de mal à te comprendre, Poussin.
     Il l’appelle Poussin !!! Elle lui répond :
     — Je t’explique : la fidélité me débecte, je veux un mari qui m’obéit au doigt et à l’œil et coucher avec qui je veux, par exemple un avocat.
     Elle envoie un baiser de loin à Maître Beauvais. Il l’attrape de la main et le colle sur sa bouche. Ça les fait tous rire et ma demi-sœur aussi. Mes parents sont complètement dépassés par la situation, mais je sais que la prison les terrifie, et moi aussi. L’avocat qui a avalé le baiser de Fanny nous dit :
     — Si tout le monde est d’accord, il ne vous reste plus qu’à signer toutes les pages de ces documents et à signer et dater la dernière feuille.
     Il met trois gros tas de papiers devant nous. Mon père commence à lire, mais Monsieur lui dit :
     — Si vous devez tout lire, on va tout annuler. Ou vous signez ou vous foutez le camp. 
     Oh non, je veux rester avec Fanny et l’épouser si elle a dit vrai ! Mes parents signent, moi aussi et pour Lucie, ma demi-sœur, c’est déjà fait. On a tous signé penchés en avant, sur la table, puisque nous n’avons pas de chaises. Dès que c’est fait, l’avocat met les liasses de papiers dans une serviette. Ils saluent Monsieur, Madame et Fanny, puis ils s’en vont. Monsieur nous dit :
     — Madame va vous expliquer votre travail.
     Ensuite il part aussi, avec Lucie.
     Madame désigne mes parents en disant :
     — Votre travail est des plus faciles, vous obéirez à ce que vous diront Madame Marthe et les deux femmes de chambre. C’est Mademoiselle Lili et Mademoiselle Cathy, pour vous.  Vous obéirez aussi aux cinq servantes : One, Two, Three, Four, Five. Je n’aime pas vos prénoms, donc toi la servante, tu serras Emma… et toi le domestique et homme à tout faire, tu seras Léon. Compris ? 
     Ils répondent tous les deux : 
     — Oui Madame.
     Elle se tourne vers Fanny et lui dit :
     — Et toi ma chérie, comment vas-tu appeler ton esclave de mari ?
     — Je l’appelle... chien-chien.
     Sa mère répond :
     — Ça fait cul-cul...
     Mère et fille se regardent en souriant et Madame me dit :
     — Dorénavant, tu t’appelleras Cul-cul.
     Elle est folle !! Mais je réponds vite :
     — Oui Madame.
     Elle me dit :
     — Qu’est-ce que tu penses de l’idée de ma fille d’avoir un Cul-cul pour faire tous ses caprices et baiser avec qui elle veut devant lui ?
     — Je… je suis très heureux de pouvoir rester avec elle et de lui obéir et…
     Elle me coupe :
     — C’est bon, on a compris. Alors pour commencer, mettez-vous tous nus…
     Mes parents et moi, on se regarde, mon père hoche la tête, il faut dire qu’on n’a vraiment pas envie d’aller en prison. Quand on est nus, la mère rit en voyant mon petit sexe. Elle dit :
     — On va demander aux femmes de chambre de s’occuper de vous transformer en domestiques.
     Elle pousse sur une touche de son téléphone et les deux filles arrivent. Elles font une révérence et sourient en voyant mon sexe… normal ! Madame leur dit :
     — Voici les nouveaux domestiques, ils seront sous vos ordres et sous ceux des cinq servantes. C’est Emma et Léon. Il faut les épiler complètement et leur faire une coiffure de domestique.
     C’est vrai que les filles sont jeunes et belles, mais elles ont une coiffure dite « au bol », c’est-à-dire des cheveux sur le dessus de la tête, mais tout le reste complètement rasé, comme si on leur avait mis un bol sur le dessus de la tête et rasé les cheveux qui dépassent. Madame ajoute :
     — Pour ton Cul-cul, la coiffure au bol aussi et complètement épilé ?
     Fanny répond :
     — Ouais, m’man, bonne idée. On pourra le mettre dans la crèche à Noël.
     Ça les fait rire. Madame leur dit :
     — Vous vous occupez des deux nouveaux domestiques et de Cucul aussi, si Mademoiselle Fanny le souhaite. Traitez-les durement, il faut qu’ils comprennent qu’on veut une obéissance absolue de leur part. Un des gardes vous aidera.
     Une des filles nous dit :
     — Suivez-nous.
     Toujours nus, on lui obéit. On va dans une grande salle de bain. Les filles parlent ensemble et rigolent. Elles sont évidemment très contentes d’avoirs des nouveaux domestiques, en plus des cinq autres. Lili dit :
     — Je vais chercher Johnny et on amène le matériel.
     — Okay, moi je dois pisser.
     Elle relève sa jupe d’uniforme, descend sa culotte et pisse. Quand elle a fini, elle désigne ma mère en disant :
     — C’est quoi ton nom ?
     — Emma, Mademoiselle.
     — Emma, viens te mettre à genoux devant moi.
     Ma mère obéit. Lili se retourne, en disant :
     — Tu es mon papier de chiottes, essuie-moi avec ta langue.
     Ma mère est là, à genoux et nue. Elle ne bouge pas. 
     Lili lui dit :
     — Ton gros cul va goûter au fouet, tu vas voir, rien de mieux pour apprendre aux domestiques à obéir.

     C’est vrai, parce que ma mère met son visage entre ses fesses pour lui lécher la chatte.

Dessin de Bruce Morgan.

Bruce vend lui-même plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a fait pour nos livres. Si vous êtes intéressé, contactez le directement sur son mail personnel :
Vous pouvez voir les dessins sur nos blogs gratuits :

De mon côté, je fais une histoire d’après vos goûts et vos  fantasmes, 
4 pages pour 50 € + des photos hard. 
Je vous envoie un questionnaire avec une photo hard.
Si ça vous intéresse. Je suis ici mia.michael@hotmail.fr
 








 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Lizy 24 - En mer, à nouveau...

597 - 31 Une cure de soumission.

33 - On voyage.