660 - 57 En cage.

      De Fanny, je supporte tout, même son père. Je n’ai pas vraiment le choix. C’est Lucie, ma demi-sœur, qui m’a dressé à obéir. Par contre, voir mes parents nus et soumis, c’est pénible pour moi… Je ne peux me dire qu’une chose, mes parents nous ont entraînés dans une aventure qui risquait de nous faire condamner à une longue peine de prison. La vie dans les prisons est devenue encore plus dure, depuis que le pouvoir a nettement changé de camp. Mais je ne vais pas me mettre à parler politique, je déteste ça.
     Je m’en fais pour mes parents. Pourtant, ma mère a été obligée de lécher quelques gouttes de pipi sur la chatte d’une servante épilée. Ce n’est pas la fin du monde. J’ai fait pire avec Fanny… Oui je n’en ai pas parlé… et puis c’est Fanny. Je pense à elle tout le temps.
     Oh ! C’est elle qui entre dans la pièce avec la servante. Elle nous dit :
     — Suivez-moi, on va vous transformer en domestiques.
     Fanny et les servantes marchent devant, nous derrière elles. On est tout sauf à l’aise. Dans la maison, on voit les autres servantes occupées à nettoyer. Elles font une révérence aux femmes de chambre. Fanny leur dit :
     — Madame vous fait cadeau de ce couple, ils seront sous vos ordres.
     Les filles répondent, presque ensemble :
     — Merci Mademoiselle !
    One à Five, ce sont cinq filles d’origines diverses, de la plus claire pour une blonde à la plus foncée pour une Africaine.
     On va dans une grande pièce, qui doit être l’endroit où on lave le linge. Ils n’ont pas de machine à laver ? Non, ils ont des domestiques.
Il y a un garde costaud qui attend. Il rit en nous voyant et dit :
     — Une famille de domestique, vous avez des idées de génie, Mademoiselle, j’ai hâte de les voir se baiser.
     Fanny rit et répond :
     — Le fils est un bon lécheur, il va envoyer ses parents au 7ème ciel.
     Je ne ferai jamais ça, d’ailleurs je vais le dire à Fanny. Mais c’est elle qui me dit :
     — Il y a un problème, Cucul ?
     Putain j’avais oublié ce nom ridicule. Je réponds :
     — Non, Mademoiselle.  
     — Bien, asseyez-vous.
     Il y a trois tabourets. On s’assied. Fanny dit au garde :
     — Tu filmes, hein ?
     — Oui, bien sûr Mademoiselle Fanny.
     Elle dit aux servantes :
     — Moi je commence par m’occuper du petit, après vous vous occuperez des parents.
     — Oui Mademoiselle. 
     Sur une table il y a différents bols. Fanny s’amuse à les essayer sur ma tête. Elle choisit un petit bol qui couvre le sommet de mon crâne et s’arrête juste au-dessus des oreilles. Elle coupe les cheveux qui dépassent du bol avec une tondeuse. Je sens son odeur, je ne dois penser qu’à ça. Quand elle a coupé tout ce qui dépasse, elle dit à une servante : 
     — Tiens le bol.
     Fanny me met de la mousse sur les endroits qu’elle vient de tondre. Elle me dit :
     — Bouge pas Cucul.
     — Oui Mademoiselle.
     Elle me rase soigneusement, puis elle frotte avec un linge. Je ne pense qu’à deux choses : elle sent trop bon et elle s’occupe de moi. Elle enlève le bol et éclate de rire, le garde et les servantes aussi. Elle me dit :
     — Ta tête est assortie à ta toute petite bite, tu ressembles à un garçonnet et puisque tu as été sage, je vais te récompenser. Prends ce coussin et couche-toi sur le dos.
     Je fais ce quelle dit, elle enlève son mini short et elle s’assied sur mon visage, avec le sien tourné vers mes pieds, en disant :
     — Tu m’as excité petit Cucul.
     Oh oui, elle est mouillée ! J’oublie tout ce qui n’est pas elle. On pourrait être surpris, mais son anus sent trop bon, rien à voir avec sa « fonction naturelle ». Je lèche sa chatte mouillée. Mon univers se réduit à la chatte et l’anus de Fanny et c’est le paradis. Est-ce que je suis complètement cinglé ? Je le pense, oui. En tout cas fou d’elle. Elle se fait aller et venir su mon visage, puis dit :
     — Ça te plaît, Cucul ?
     Mes lèvres pressées contre celles de sa chatte, je réponds :
     — J’adore Mademoiselle.
     Elle dit aux servantes et à mes parents aussi, fatalement  :
     — Je lui péterais dessus, il trouverait l’odeur délicieuse.
     Ça fait rire le garde et les filles. Un des deux lui dit :
     — On a votre permission pour l’utiliser comme ça aussi ?
     — Bien sûr, lui et ses parents sont au plus bas de l’échelle. En dessous d’eux, il y a… les lombrics. 
     Nouveaux rires. Elle poursuit :
     — Du moment que vous ne les blessez pas, vous en faites ce que vous voulez. Vous pouvez vous faire lécher le cul ou ce que vous voulez. Par contre...
     On attend tous la suite, elle ajoute :
     — Sa demi-sœur Lucie est la protégée de mon père, c’est à vous de lui obéir. D’ailleurs je suis sûre que c’est elle qui a aussi bien dressé le Cucul.
     Oh, elle se lève, je vois sa chatte quitter ma bouche. Elle me dit :
     — Regarde tes parents comme ils sont beaux.
     Oh, mon Dieu ! Ce n’est vraiment plus les mêmes. Je ne me suis pas rendu compte qu’elle a passé tellement de temps assise sur mon visage. Mes parents ont la même coiffure que moi, c’est-à-dire une… coupole de cheveux au-dessus des oreilles et plus un seul poil sur le corps !!! C’est terriblement humiliant de voir ses parents transformés de la sorte. D’un autre côté, ils n’ont pas eu mal. Et surtout on n’est pas en prison, esclaves d’un gang.
     C’est à mon tour de me faire raser. Une des filles dit :
     — Il n’a pas beaucoup plus de poils qu’un bébé, Mademoiselle.
    Ça les fait rire à nouveau. M’en fous, j’ai l’odeur de Fanny sur le visage et son goût dans la bouche.
     Les filles me font coucher sur une table et m’enduisent d’une sorte de pâte. Quand j’en ai partout, je dois, aller dans une grande bassine qui a dû servir à mes parents, à voir la couleur et les poils sur l’eau. Les filles me rincent et je n’ai plus que les cheveux sur le dessus du crâne. Fanny dit :
     — Oh, le petit Jésus !
     Rires ! Bah, si elle aime bien, j’aime bien aussi. Enfin, je préfère le dire comme ça. Je me remets debout et les filles me placent entre mes parents. Nous sommes tous les trois complètement imberbes, sauf sur le dessus de la tête. Je me rends compte que je fais la même taille que ma mère quand elle n’a pas ses talons. Oui, c’est idiot de penser à ça. Fanny nous dit :
     — Il y a encore une dernière chose à vous faire pour que vous ayez vraiment l’air d’esclaves.
     Elle se tourne vers le garde et lui dit :
     — Appareille-les.
     — Oui Mademoiselle.
     Ça veut dire quoi ? Il prend un sac par terre qui est rempli de boîtes qu’il dépose sur la table. Fanny nous dit :
     — On commence par qui ?
     On commence quoi ? Elle ajoute :
     — Il faut toujours répondre à ses Maîtres, sinon…
     Mon père répond :
     — Par moi, Mademoiselle.
     Elle lui désigne une table en disant :
     — Couche-toi sur le dos et écarte les jambes.
     Mon père obéit et écarte ses cuisses. C’est vraiment pas normal de voir le sexe et les couilles de son père. Fanny remarque mon air et me dit :
     — Tu viens de là, tu sais, il ne faut pas prendre cet air dégoûté.
     — Ce n’est pas ça, Mademoiselle, c’est…
     Elle ne me laisse pas finir, mais me prend par la nuque et frotte mon visage sur les organes génitaux de mon père. Ça la fait rire et les filles aussi. Le garde regarde le sexe de mon père, puis sort une sorte d’étui d’une boîte et met le membre de mon père à l’intérieur, en forçant un peu. Ensuite il entoure les couilles avec une chaînette qui fixe le tout sur le sexe. Fanny dit à mon père :
     — Ici, tu devras travailler, pas te branler. Bon, à toi Cucul.
     Je me couche sur la table. Le garde prend un glaçon dans un grand bol en plastique et il le frotte sur mon sexe. Je pousse un cri et je suppose que mon sexe devient encore plus petit. Il prend mon membre et l’introduit également dans un tout petit étui, puis ferme le tout avec une chaînette autour de mes couilles. Le garde me dit : 
     — Debout !
     Je me lève péniblement avec l’impression que mon sexe est dans un étau, ce qui est un peu le cas. Fanny dit à ma mère :
     — À ton tour… Emma.
     Ah oui, ils ont changé son nom. Ma mère se couche sur la table. Fanny lui dit :
     — Solidarité féminine oblige, Cucul, lèche la chatte de ta mère.
     Il y a des limites : même si j’obéis à tout ce que me dit Fanny, ça, je ne le ferai pas. Ma mère est une belle femme et elle n’a que 42 ans et…
     — Aaaiiieee !
     Je viens de recevoir une décharge électrique dans les couilles, je les tiens en gémissant. Fanny me dit :
     — C’était la puissance un et il y en a cinq, tu veux tester les autres ?
     Non ! Je me couche entre les jambes de ma mère et je colle ma bouche à sa chatte. Je ferme les yeux et je pense « C’est la chatte de Fanny ». Je le lèche soigneusement et je me concentre sur le clitoris… Au bout de peu de temps, la personne dont je lèche le sexe gémit un peu. Elle se met à bouger légèrement. Au plus vite elle aura joui… au plus vite ce sera fini. Oh, je sens mon sexe qui essaye… de bander. Fanny me dit :
     — Ça te plaît, hein petite salope !



     Une chatte, ça n’a pas de nom… c’est… euh… anonyme. Alors oui, ça me plaît parce que ça me fait penser à la chatte de Fanny. Justement, celle-ci met sa main sur l’arrière de ma tête et pousse, comme si elle voulait me faire retourner là où j’étais avant ma naissance… Ma mère jouit, mon visage dans sa chatte, tandis que je gémis parce que mon sexe essaye de bander. Enfin, Fanny lâche ma tête et je me recule en gémissant. Fanny dit au garde :
     — Mets sa chatte en cage.
     — Oui Mademoiselle.
      Ma mère est toujours sur la table les jambes écartées. Le garde prend une boîte et regarde les numéros. Il en ouvre une et en sort un genre de ceinture de chasteté. Rien à voir avec celles que les seigneurs mettaient à leurs épouses quand ils partaient chasser les infidèles de Jérusalem. Cette ceinture moderne est en matière synthétique et elle est percée de deux trous, un pour pisser et l’autre pour chier, autant appeler un chat un chat, surtout quand on est nu, coiffé au bol, épilé et qu’on vient de lécher le sexe de sa mère. 
     Une des servantes dit à Fanny :
     — Mademoiselle, le petit Cucul pourra toujours baiser sa mère par le petit trou.
     Éclat de rire général, sauf de mes parents et moi. Les plaisanteries sont toujours à nos dépens. Oui, c’est normal. Fanny me dit :
     — Je vais vérifier que la petite prison à bite fonctionne bien.
     Elle lève son tee-shirt pour me montrer ses seins en disant :
     — Suce-les.
     Je sais que ça va me faire mal, mais tellement de plaisir en même temps. Tandis que je suce le bout de ses seins, elle dit :
     — J’ai un problème les filles, mon bébé m’excite.
     Rires… Moi aussi, j’ai un problème : j’adore sucer ses seins qui ont le goût légèrement salé de sa sueur, mais je gémis parce que mon sexe essaye envers et contre tout de briser ses… chaînes. Fanny m’annonce :
     — Si tu es sage, cet après-midi, je te libérerai quelques minutes.
     — Oh merci Maîtresse !
     Elle me pince les fesses, en disant :
     — Appelle-moi Mademoiselle et pas Maîtresse, sinon on va croire qu’on te tourmente ici.
     Elle rit, puis dit à mes parents :
     — C’est nous qui allons vous donner l’autorisation de jouir, si vous le méritez. Les domestiques sont ici pour travailler, pas pour se branler ni pour s’asseoir, retenez-le. 
     Elle marque un temps d’arrêt et ajoute :
     — On peut aussi vous appeler, si on a besoin de vous. 
    Elle pousse sur un bouton, je ressens une vive douleur dans les testicules. Je pousse un cri, bientôt suivi par des cris de ma mère puis de mon père. Quelle horreur !              
     Fanny ajoute :
     — On vous enlèvera les ceintures de chasteté si quelqu’un a envie de vous baiser ailleurs que dans la bouche et si vous obéissez impeccablement, comme nos femmes de chambre et nos petites bonnes.
      Elle regarde Lili et Cathy et leur dit :
      — Les filles, donnez leurs corvées aux parents.
      Lili lui demande :
      — On les laisse nus, Mademoiselle ?
    — Oui, ça vous permettra de leur donner quelques coups de martinet sur les fesses, s’ils n’obéissent pas bien.
      Elle regarde mes parents et leur dit :
      — Si vous êtes très sages et très obéissants, vous aurez une petite récompense, sinon vous serez punis. C’est bien compris ?
      Ils répondent ensemble :
      — Oui Mademoiselle.
      Elle traite mes parents comme des enfants.  

A suivre.

Dessin de Bruce Morgan.

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brucemorgan@hotmail.fr
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