661 - 58 Il fait très chaud.
On sort de la pièce et Fanny me dit :
— Va chercher un éventail chez Marthe et rapplique dans la chambre…
Elle va utiliser un éventail ? Quelle drôle d’idée. D’accord il fait très chaud mais il y a l’air conditionné, sauf qu’elle préfère ouvrir les fenêtres. Je vais toquer à la porte de la cuisine et j’attends le grognement de Marthe pour entrer. Quelqu’un qui toque ne peut être qu’un subalterne. J’entre et je salue Marthe en m’inclinant, je lui dis :
— Bonjour Madame, Mademoiselle Fanny m’a…
Elle sait déjà ce que je viens chercher et elle me montre un monstrueux éventail : un manche en bambou de deux mètres de long qui se termine par une large partie en arc de cercle. Elle me dit :
— Tu vas te faire des muscles, petit.
— Euh, oui, madame.
Je prends le monstre et j’ai une bonne surprise : cet énorme éventail est moins lourd qu’il n’en a l’air. Je remercie Marthe et je vais toquer à la porte de Fanny. Elle crie :
— Entre !
Ouch ! Elle n’a pas l’air contente. J’entre dans la chambre et elle crie depuis sa salle de bain :
— Ici Cucul !
J'entre dans la salle de bain et à l’odeur, je sais ce qu’elle a fait. Elle me dit :
— Où est le papier chiottes ??
— Euh… je…
Elle m’imite avec une voix pleurnicharde :
— Euh… je… je… ne sais pas… je… pensais, que vous n’en employiez pas.
Elle lève les yeux au ciel et m’imite à nouveau :
— Ze… n’avais pas vu que….
Elle se lève et elle se tourne en mettant ses avant-bras sur la planche des w.c., les fesses tournées vers moi en disant :
— Je dois te faire un dessin, Cucul ?
Non et même si c’est Fanny, je dois faire un gros effort pour faire ce qu’elle demande, c’est-à-dire remplacer le papier par ma langue. Elle me dit :
— Bien Cucul, j’aime ça… et toi aussi on dirait ?
NOOOOON !!! Mais je tiens tellement à elle que je réponds :
—… euh… c’est que...
Elle me donne une gifle qui claque sur ma joue. Pourquoi ??? Je mets ma main sur ma joue. Elle me dit :
— Tu es vraiment stupide, ne parle plus vers moi quand tu m’as léché le cul, tu as une haleine de chacal ! D’ailleurs, rince-toi la bouche.
Je me tourne la joue brûlante et je dis :
— Oui mademoiselle.
Tandis que je me rince la bouche, elle passe le tranchant entre ses fesses, puis elle la renifle :
— Tu fais un super papier chiottes, Cucul… Tu pourras me lécher le cul chaque fois que tu oublieras une de te corvées.
Je crie très fort « NOOOOON » dans ma tête, mais je réponds :
— Oui, Mademoiselle.
Oui, je l’aime et je suis lâche, mais je la connais un peu et je sais qu’elle ne fera ça que de temps en temps, enfin j’espère. Elle se couche nue sur le lit. Est-ce que je vais devoir l’éventer ? Non, elle tend son index vers moi et elle fait un petit geste circulaire. J’ai intérêt à comprendre le langage Fanny, ça veut dire… range !!
La fenêtre est fermée, car il fait encore plus chaud dehors. Elle lit une revue de cinéma. J’ai chaud, très chaud. Je ramasse ce qui se trouve autour de son lit : des vêtements, des revues, des vidanges, un demi-sandwich. Je sens son odeur et ça compense le fait d’avoir dû remplacer le papier des w.c. Oui, je suis cinglé. Elle me dit :
— Mets-toi à poils
— Oui Mademoiselle.
J’enlève mon pantalon et mon tee-shirt. Je suis déjà pieds nus. Elle me dit :
— C’est quoi ces marques sur ton cul ?
— Euh... c’est vous hier, parce que…
— La raison, j’m’en fous, mais ça va bien à ton cul. Je te ferai des marques plus souvent. Continue de ranger.
Je mets les vêtements sales dans le panier qui se trouve dans la salle de bains. J‘entends que quelqu’un ouvre la porte. Fanny m’appelle et je vais dans la chambre. Un grand mec est là et il gueule :
— Putain, qu’est-ce qu’il fait chaud !
Fanny répond :
— D’abord bonjour, non ?
Il l’embrasse sur la bouche tout en lui caressant les seins. Quand leurs bouches se séparent, il lui dit :
— Fait quand même pétant de chaud.
— J’ai mieux que l’air-co, déshabille-toi et tu verras.
Il se déshabille. Il est costaud et poilu avec un sexe énorme, par rapport à moi. Il sent la transpiration, mais ça ne dérange pas Fanny qui a une odeur assez forte aussi. Sauf que j’adore son odeur à elle, tandis que je déteste qu’il vienne la voir sans s’être lavé. Là, elle dit avec une voix de petite fille :
— Désolée de t’avoir parlé d’une façon impolie, Daddy.
Quoi ? Elle joue à la petite fille avec Daddy, c’est quoi ce plan ? Daddy répond :
— Tu m’as désobéi, tu vas être punie. Viens te coucher sur mes cuisses pour ta fessée.
Elle gémit :
— Non Daddy, je…
Il crie :
— Obéis !
Elle va vite se coucher sur ses cuisses en pleurnichant :
— Pardon Daddy, je… aiiiaaaeeeee !
Il lui donne une fessée. Il a une main énorme qui claque sur les fesses de ma maîtresse. Elle crie supplie, promet d’être sage. Il lui dit :
— Tais-toi, sale gamine.
La fessée reprend. Les merveilleuses fesses de Fanny sont bien rouges et maintenant il frappe le bas des fesses et le haut des cuisses. Elle crie et supplie encore. Enfin, il arrête et lui dit :
— Va au coin.
Elle se lève et va se mettre à genoux dans un coin de la chambre, les bras levés, bien droits. Le sale Daddy me dit :
— C’est toi, Cucul ?
— Oui Monsieur.
— Alors comme ça, tu te tapes ma copine.
— Non Monsieur, je suis son domestique.
De son coin, Fanny lui dit :
— Et ce matin, mon papier chiottes.
Il éclate d’un rire énorme, puis il dit à Fanny :
— J’adore l’idée… Viens ici m’expliquer cette histoire d’épouser ton domestique.
Elle va devant lui et tente de lui expliquer :
— C’est que…
Il l’interrompt et lui dit :
— À genoux, les mains croisées sur les reins !
Non mais, il est malade ce type !!! Ah, si j’avais plusieurs centimètres et pas mal de kilos de muscle en plus, je le foutrais dehors avec mon pied au cul ! Elle lui dit :
— Je veux un mari obéissant et pouvoir me faire baiser par qui ça me plaît.
Le sale type lui dit :
— Par moi !
Là, l’attitude de Fanny change complètement, elle se lève et lui dit :
— Si tu as envie de me baiser, c’est maintenant et tu vas apprécier mon nouvel air conditionné.
Elle a eu sa fessée… à ma grande surprise, mais maintenant elle est redevenue la vraie Fanny, une garce… et oui, celle que j’aime. Elle lui dit :
— Couche-toi sur le dos.
Il obéit !! Elle se met debout au-dessus de lui et il lui demande :
— Mets-toi de dos, j’ai trop envie de voir le plus beau cul… du monde.
Elle rit et elle se retourne, pour s’asseoir sur sa bite. Elle doit bien mouiller car il s’enfonce sans trop de difficultés. Elle dit :
— Cucul, au travail !
— Oui Mademoiselle.
Je comprends ce qu’elle veut. Je prends l’énorme éventail et je le fais aller et venir près d’eux.
Fanny va et vient sur le sexe du sale mec qui l’a fessée. Il lui dit :
— Super idée ma chérie.
Elle ne lui répond pas mais me dit :
— Plus vite Cucul.
— Oui Mademoiselle.
Je l’agite plus vite, ça devient difficile. Elle reprend son rôle de soumise que je déteste en disant :
— Maître, je vous en prie, ne m’enculez pas, je serai sage.
Il la prend par les hanches pour la basculer sur le lit et il lui dit :
— Présente ton cul, petite chienne.
Elle se met à quatre pattes, les jambes écartées, son magnifique cul en l’air et elle gémit. L’affreux bonhomme vient frotter son gland sur l’anus de Fanny. Elle gémit :
— Non Monsieur, pas par derrière… vous allez me déchirer.
Il s’enfonce en elle et elle crie… oh, pas de douleur, mais elle me dit :
— Plus vite Cucul, sinon je te foutrai un gode plein de piment dans le... cul.
Elle passe de soumise à ultra dominante en un instant. J’accélère mes mouvements, c’est de plus en plus dur. L’affreux bonhomme enfonce sa grosse bite dans le derrière de ma maîtresse. Un derrière vénéré par tous les joueurs de boules et par la plupart les hommes... Elle a glissé une main sous elle et je vois qu’elle se caresse. Elle gémit :
— Aiiie ! Vous me faites mal Maître, vous allez me déchirer.
Je déteste l’entendre dire ça. Elle passe de soumise à dominante sans arrêt. Il lui dit :
— Tu la sens bien salope ? Je vais envoyer mon sperme dans ton cul rouge comme celui d’une guenon… en chaleur… Tiens, avale tout ça avec ton cul :
— Ouiiiii mmaaaaitre aaaaahhhh !
Ils jouissent ensemble… c’est beau, non je déteste. Le sale type sort son sexe de son cul. Elle me dit :
— Cucul, cinq minutes de repos : c’est nettoyage. Viens lécher mon bel amant !
Quelle horreur ! Je lèche la bite qui devient molle. C’est vite fait et je pense très fort qu’il sort du plus beau cul du monde. Elle me dit :
— Couche-toi sur le dos, par terre.
Je peux enfin arrêter d’agiter cet énorme éventail, je n’en peux plus. Hélas, c’est pour un nettoyage très spécial. Elle dit :
— Ta bouche à mon cul et tu avales tout.
Dès que j’ouvre bien la bouche, elle m’envoie en plusieurs fois des bulles de sperme. J’aime tout d’elle, mais pas le sperme d’un sale type. C’est dégoûtant et encore plus vers la fin. Elle lui dit :
— Tu vois à quoi il me sert.
Elle se lève et va se coucher contre le type. Elle crie :
— Air-co !
Oh non, je n’en peux plus ! Je me lève et reprends le manche de ce qui est devenu un instrument de torture. Au début il était léger, maintenant il pèse une tonne. Fanny et le sale type sont enlacés sur le lit. Je fais l’air-co. Elle se retourne et elle colle ses fesses contre lui. J’en ai vraiment marre… Je crois en Dieu, mais je n’oserais pas lui demander de l’aide dans une situation aussi « scabreuse ».
Oh ! Il m’a entendu, ma maîtresse et son amant s’endorment. Merci mon Dieu ! Je vais dans la salle de bain boire un peu d’eau et je n’ose pas faire pipi, elle me l’a interdit d'ailleurs, je ne peux aller que dans les toilettes des domestiques. À un moment, je n’en peux plus, je sors sans bruit de la chambre et je monte très vite au dernier étage pour faire pipi dans les toilettes du personnel domestiques. Dès que c’est fait, je redescends à toute vitesse. J’ouvre la porte de sa chambre et ouf ! Ils dorment toujours.
Je continue à ranger la chambre et sa salle de bains, jusqu’à ce qu’elle se réveille et m’engueule :
— Et alors, l’air-co ?
Je me mets à genoux et je joins les mains comme si j’étais face à la madone. Non, pardon, comme si j’étais face à la déesse des enfers. Je bredouille :
— Je devais faire pipi, je n’en pouvais plus Mademoiselle, pardon…
Stupidement je me mets à pleurer.
L’homme est réveillé aussi et ils rient tous les deux. De quoi ? Il lui dit :
— Il est remarquablement trouillard, ton domestique.
— Oui, note qu’il a été élevé à la dure. Pas par ses parents, mais par Lucie, sa demi-sœur. Hein Cucul ?
— Oui Mademoiselle…
— Bon, tu as bien travaillé, tu vas avoir une récompense. Tu peux embrasser mes pieds, puis les lécher et sucer mes orteils. Tu vas aimer, ils sont moites.
— Merci Mademoiselle.
L’affreux bonhomme lui dit :
— T’es sûre que c’est une récompense ?
— Il adore ça, hein Cucul ?
— Oui Mademoiselle, vous avez la meilleure odeur du monde.
Ils rient tous les deux, elle ajoute :
— Même me lécher le trou du cul, quand il a oublié de mettre du papier, il adore… hein Cucul ?
Non ! Mais je réponds :
— Oui Mademoiselle.
Dessin de Bruce Morgan.
Bruce vend lui-même plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a faits pour nos livres. Si vous êtes intéressé, il est ici : brucemorgan@hotmail.fr
Vous pouvez les voir sur notre blog gratuit.
De mon côté, je fais une histoire avec vos goûts et vos fantasmes, plus de 4 pages
pour 75 € + des photos hard. Je vous envoie un questionnaire avec une photo hard.
Si ça vous intéresse, Je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
Commentaires
Enregistrer un commentaire