662 - 59 Fanny n'est pas seule.
J’ai toujours peur d’être en retard. Chez moi, c’était ma demi-sœur qui me punissait quand ça arrivait. Ici, mes parents et moi, nous sommes au plus bas de la hiérarchie. Depuis le Maître de maison jusqu’aux servantes, tout le monde peut nous donner des ordres et nous punir.
Je ne suis pas en retard, mais je vais vite dans les cuisines. Marthe me dit :
— Tu sais ce qu’elle veut, prépare son petit déjeuner et mets tout en double.
Elle doit être à nouveau avec un de ses amis costauds qui lui donnent une fessée quand elle en a envie. Je déteste la voir soumise à un de ces sales types.
Je mets les brioches, les croissants et les pains au chocolat que le boulanger apporte tous les matins. Pour ce qui est du jus d’orange et du café, je regarde Marthe avec mon des yeux suppliants. Si je ne fais pas ça exactement comme elle veut, mes fesses risquent de passer un sale quart d’heure. Elle me dit :
— Pieds !
Qu’est-ce qu’ils ont tous à se faire lécher les pieds, sans doute parce que c’est particulièrement humiliant. Je connais déjà les goûts de Marthe, hélas. J’enlève ses vieilles pantoufles.
Quand c’est fait, elle pose ses talons par terre et j’embrasse les plantes de ses pieds. Elle agite ses orteils et je les suce. C’est tout sauf agréable, mais en prison, je devrais sucer les bites des gardiens et des prisonniers sucer et en plus me laisser enculer, quelle horreur ! Je suis plutôt beau, j’ai trop des fesses et un petit sexe, actuellement lui-même en prison. Dans une vraie prison, je serais la pute et l’esclave de tout le monde. Ici, le soleil qui illumine mon existence, c’est Fanny, même si elle me fait parfois faire des choses qui… enfin qui sont limites. Tandis que j’ai un des orteils pas propres dans la bouche, Marthe me dit :
— C’est bien, tu feras ça tous les matins.
— Oui Madame.
Elle ajoute :
— Ah, prends ces bananes aussi.
Je les ajoute sur le plateau. Elle fait les jus d’orange et le café. Elle me dit :
— Allez, remue tes grosses fesses, sinon Mademoiselle va te punir.
— Oui Madame et merci.
Je monte avec ce plateau qui pèse une tonne. Je suis juste à l’heure, je toque et j’attends. J’ai les bras qui tremblent quand Fanny dit enfin :
— Ouais !
J’entre et… ce n’est pas du tout ce que je pensais, elle n’est pas seulement avec un homme, mais aussi avec une femme. Elles sont nues et collées à Monsieur qui somnole entre elles. C’est le père de Fanny et le mâle alpha de la maison. La deuxième fille, je ne la connais que trop bien, c’est Lucie, ma demi-sœur.
Ça sent la sueur et le sexe ! Je suis devant eux, le lourd plateau entre les mains. Lucie me dit :
— Tu ne viens pas embrasser ta sœur ?
Je dépose le plateau et je vais vite du côté de ma demi-sœur. Elle se décolle de Monsieur pour se mettre sur le dos et écarter les jambes. Elle me montre sa chatte. Les poils noirs sont tous collés, ils ont dû baiser il y a peu de temps. Elle me dit :
— Lèche ma chatte pendant que je mange.
Je ne sais pas comment me mettre. C’est Fanny qui me dit :
— Couche-toi entre ses jambes, petite andouille.
Monsieur s’étire et ajoute :
— J’aime bien la façon dont Cucul embrasse sa sœur.
Je fais ce qu’ils me disent, comme toujours, et je me retrouve le visage contre la chatte de Lucie. Ce n’est pas la première fois, loin de là. De la main, elle pousse sur l’arrière de ma tête, là je suis vraiment le nez dans sa chatte. Je sais ce qu’elle aime. Elle dit à Fanny :
— Il fait le malheureux, mais il aime ça, regarde-le bouffer la chatte de sa propre sœur.
Fanny répond :
— Je m’en suis rendu compte, il aime tout ce qui est… sale.
Ce n’est pas vrai, mais je n’ose rien dire, d’autant plus que je lèche la chatte de Lucie et si je m’arrête pour parler et surtout pour la contredire, elle va prendre une sandale, une brosse à cheveux, une cuiller en bois ou n’importe quel truc qui peut faire mal pour me fesser. Fanny poursuit :
— Hier, il avait oublié de mettre du papier de toilette et je lui ai fait lécher mon cul. Il remplace bien le papier chiotte.
Ils rient tous les trois. Lucie me dit :
— Tu as aimé Cucul ?
Je quitte sa chatte pour répondre :
— J’aime obéir à Mademoiselle Fanny.
Paf !! Lucie se penche et me donne une claque sur les fesses. Cette garce fait des sports de combat. Les larmes aux yeux, je réponds :
— J’aime tout ce qui vient de vous, Mademoiselle Fanny, et de vous aussi Mademoiselle Lucie, mais un peu moins les fèces.
Elles regardent Monsieur et ils éclatent de rire. Monsieur me dit :
— Tu voyages dans le temps, petit Cucul ? Tu viens du 18e siècle ?
Je baisse la tête, je préfère dire ce mot, même si je pensais bien qu’ils allaient se moquer de moi. Tandis que je suis toujours dans la chatte de Lucie, elle dit :
— Je crois que je vais bientôt faire l’expérience de Cucul-papier de chiottes, péter dans sa figure, je l’ai fait souvent.
Monsieur lui dit :
— Si tu dois péter, vas-y, ce serait normal que Cucul sente les fèces.
Ils à nouveau rient tous les trois et Lucie me pète vraiment dans la figure, en me collant bien à elle avec son pied. Pouah, je déteste ça, comme tout le monde. Sauf ici, ça les amuse tous, surtout quand c’est dans ma figure.
Fanny prend un pain au chocolat en disant :
— J’ai faim, je vais en manger un et puis je lui ferai son petit déjeuner, tu verras.
Elles mangent beaucoup, des pains au chocolat, des croissants qu’elles beurrent. Elles ont les mêmes goûts. Après s’être goinfrée, Fanny crache une bouchée dans un bol en disant :
— J’aime ces petits pains aux fèces… Je vais en donner à Cucul.
Rires… Lucie dit :
— Oh, je faisais ça aussi pour lui.
Elles crachent des bouchées, puis elles se raclent bien la gorge pour cracher dans le bol. Fanny lui dit :
— Maintenant le dessert.
Elle épluche la banane et la met bien dans sa chatte. Elle le fait aller et venir dans sa chatte, mais au moment où elle allait me la donner, son père la prend en disant :
— Une banane parfumée à ta chatte c’est trop bon pour lui
Il la mange complètement. J’aurais aussi aimé la manger. Quand il a fini, les filles font semblant d’avoir peur. Monsieur dit de sa grosse voix :
— J’ai besoin de vous, les filles, pour faire courses avec le lécheur de cul !
Fanny répond :
— Oui bien sûr, Daddy.
Il ajoute :
— Maintenant , au travail les filles.
Les filles s’écartent et Monsieur se met entre elles. Fanny retire la banane qu'elle a mis dans sa chatte. Son père la prend et la mange en disant :
— La banane au goût de ta chatte, j’adore, mais faut pas oublier Cucul.
Il crache une bouchée dans le bol, ça fait rire les filles. Fanny va dans son nez en disant :
— C’est ma petite touche personnelle.
Lucie lui dit :
— C’est dingue, je fais ça aussi.
Elle met aussi le doigt dans son nez en disant :
— Et voici la mienne, Cucul.
Monsieur les regarde faire ces choses dégoûtantes avec un grand sourire. Je mange, après tout ce que j’ai déjà léché et mangé ici, ce n’est pas leurs « touches personnelles » qui vont m’arrêter.
En plus, je dois manger à quatre pattes, comme un chien. Quand j’ai fini, Fanny me tend son pied en disant :
— Tu es un bon chien, tu peux lécher mon pied.
Il est moite et il sent Fanny. C’est une récompense. Je le lèche et je suce ses orteils. Comme c’est l’odeur et le goût des pieds de Fanny, je me mets très vite à gémir, parce que je bande dans l’étui minuscule qui emprisonne mon sexe. Monsieur leur dit :
— On va enlever ce machin de sa petite bite et je voudrais que cet après-midi, vous alliez faire des courses avec lui. C’est dans nos galeries, le patron est prévenu et il vous proposera différents vêtements, on en a parlé ensemble. Fanny répond :
— Avec plaisir Daddy.
Il ajoute :
— Prenez de l’harissa et s’il n’est pas sage, vous lui en mettez un peu dans le cul… vous le verrez danser.
Quelle horreur, cet homme est un monstre ! Il me regarde et ajoute :
— Tu veux essayer ?
— Oh non Monsieur, je suis très obéissant.
— Montre-moi ça, lèche mes couilles et suce ma bite.
J’obéis, hélas, je n’ai pas le choix et puis, qui voudrait de l’harissa dans le derrière ? Je déteste lécher un homme, je suis hétéro, de plus il sent la vieille sueur et même la pisse, c’est dégueulasse. Il dit aux filles :
— J’adore sa petite langue… Cucul !!!
— Oui Monsieur.
— J’ai enculé une des bonnes cette nuit et je n’aime pas avoir le zguègue emmerdé.
Il rit, les filles aussi. Il ajoute :
— Tu vas te régaler, petite salope.
Y en a marre, je me lève et je quitte cette maison de dingues ! Hélas, je ne peux pas m’en éloigner, Fanny, c’est mon soleil et malgré que je sois avec le nez et la langue dans les couilles de son père, je pense à elle en léchant ce sexe qui me répugne. Je tire sur la peau pour dégager le gland, il est dans l’état qu’un lecteur du futur peut imaginer, je vais lui donner un bon coup de dent. On sait bien que non, je lèche ce gland dégoûtant. Monsieur me dit :
— Tu peux arrêter dès qu’il est propre.
Ça me donne du courage, je lèche et je suce. Monsieur dit aux filles :
— Regardez la tête qu’il fait, on dirait vraiment qu’un gland merdeux, ça le dégoûte.
Rires… Il me dit :
— Arrête, Cucul.
Je fais oui de la tête, étant donné que j’ai toujours son gland en bouche. Il ajoute :
— Donnez-lui à manger, j’ai envie de voir ça.
Toutes les deux disent :
— Oui Daddy.
Il est devenu le Daddy de ma demi-sœur ! Ces filles sont prêtes à tout pour plaire au mâle dominant. Fanny lui dit :
— On lui a fait son petit déjeuner… Un bol "spécial Cucul".
Elle lui montre le bol plein de nourriture crachée et de choses dégoûtantes. Lucie lui dit :
— Et pour couronner le tout… regarde ce qu’on a mis au-dessus.
Ça le fait rire, bien sûr. Ce qu’elles ont fait amuse beaucoup le mâle alpha. Il rit puis leur dit :
— Vous avez de l’imagination et vous m’excitez. Vous savez ce qui me plairait ?
Fanny répond :
— Oh oui Daddy !
Elles vont chacune de chaque côté de ses hanches, son sexe est entre elles. Alors elles s’embrassent goulûment sur la bouche de chaque côté du gland du Maître, Fanny lui dit :
— Oh qu’il est propre, mais moi j’aime bien son odeur, et toi Lucie ?
Celle-ci répond :
— Bien sûr, j’aime l’odeur du sexe de Daddy.
N’importe quoi pour lui plaire ! Pendant, qu’elles le lèchent, il leur dit :
— Cet après-midi, pour faire des courses avec Cucul, vous aurez un budget pour vous aussi.
Elles s’arrêtent un instant de s’embrasser ou plutôt d’embrasser son gland, pour lui dire :
— Merci Daddy !
Il me regarde manger mon petit déjeuner, ça lui plaît. Ça, plus la bouche des deux filles, ça lui fait dire :
— Je vais jouir... les filles, mettez vite le bol de Cucul sous ma bite, ce sera son dessert.
Quand son sperme se mélange à « ma nourriture », il me dit :
— Bon appétit, Cucul.
Je mange, car je suis prêt à faire n’importe quoi pour rester près de Fanny et puis c’est ça ou la prison.
À suivre
Dessin de Bruce Morgan.
Bruce vend lui-même plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a faits pour nos livres. Si vous êtes intéressé, contactez-le directement sur son mail personnel :
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A suivre
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