663 - 60 Un mousse.

     Les deux filles s’habillent, moi aussi. Je ne dois pas avoir l’air assez enthousiaste à l’idée de mettre des vêtements d’enfant, car Fanny me dit : 
     — Je veux un Cucul souriant, sinon je vais te revendre à l’exportation pour la Corée du Nord.
     Je lui fais un sourire… mitigé. Son chemisier est ouvert, elle me prend par les oreilles et colle mon visage entre ses seins. Ils sont doux, moites et odorants, je suis au paradis un court instant. Elle me dit :
     — Tu pourras me téter quand tu seras un pitchoun, mais ça ne m’empêchera pas de te donner une fessée, si tu fais une bêtise ou si j’en ai envie. D’accord ?
     — Oui Mademoiselle.
     On descend et on va à l’arrière de la propriété. Une grosse voiture nous attend. Le chauffeur, c’est Ralph ! Les deux filles l’embrassent sur la bouche. Il me donne une claque sur les fesses en disant :
     — Alors, on va faire des courses, Cucul ?
     — Oui Monsieur.
     — Viens à côté de moi, les filles aiment être à deux.
     On roule depuis les belles calanques jusqu’au quartier de la gare Saint Charles, qui est une zone où il vaut mieux ne pas se balader le soir ou la nuit. On arrive devant une très grande galerie, luxueuse pour ce quartier. Je n’y suis jamais allé, le quartier est trop dangereux… pour moi. Ralph se gare devant l’entrée. Il y a deux gardes, ils viennent aussitôt saluer Fanny, mais bien, genre :
     — Bonjour Mademoiselle Fanny et bienvenue.
     Fanny répond : 
     — C’est gentil, Tony.
     Il fait un clin d’œil à Ralph qui lui fait un signe de la main. Il va sans doute dans le parking. Ils travaillent tous pour Monsieur.
     On entre dans la galerie. Elle est très grande, plusieurs gardes saluent respectueusement Fanny. Elle me dit :
     — Tu es déjà venu ici ?
     — Non mademoiselle, sans vouloir vous froisser, le quartier n’est pas… sûr.
     Elle répond :
     — Tu sais te défendre quand même.
     Elles rient toutes les deux. C’est facile de se moquer, j’aurais pu faire du karaté… mais je n’en ai pas fait ! Dans la galerie, il y a de très beaux magasins, peut-être pour le « milieu ». On dit aussi qu’on peut y trouver toutes sortes substances, des armes et même des filles. Les commerçants saluent respectueusement. Fanny. On arrive dans un grand magasin de vêtements, il y a de tout : des robes de grands couturiers jusqu’au « made in China » et puis le département « Pitchoun », là où on va m’habiller. Le commerçant vient saluer Fanny en disant :
     — Bienvenue Mademoiselle Fanny, je suis très honoré de votre visite. Si vous voulez me suivre dans un des grands vestiaires...
     Tout est beau ici, dans ce quartier si peu sûr. Enfin, sauf le patron, du département « Pitchounets » : il doit avoir une cinquantaine d’années. Il est corpulent avec des cheveux gras et des dents jaunes, c’est ce qui me frappe. Il dit à Fanny :
     — Quand j’en ai la possibilité, j’assiste aux tournois où…
     Il ne sait pas comment le dire à la fille du patron… Fanny le fait pour lui :
     — Où les perdants embrassent mes fesses.
     Il fait un grand sourire et dit :
     — Ouiiii, vous avez les plus belles fesses du monde.
     Elle rit et répond : 
     — Occupe-toi bien du petit et on fera comme si tu avais perdu un tournoi, mais tu as la réputation d’aimer les garçons, non ?
     — J’aime les deux, Mademoiselle, j’adore les fesses des filles et des garçons, avant tout les vôtres. Tout est beau chez vous.
     — Tu auras les deux. Le minuscule zizi du petit va te plaire, on l’a sorti de sa cage aujourd’hui...
     Comment ça, les deux ?? Il me dégoûte ce type. Il se met péniblement à genoux et joint, les mains comme s’il était devant la Vierge, ce qui n’est pas le cas, sans vouloir critiquer Fanny parce que je suis fou d’elle, mais elle est tout sauf vierge. Il lui dit :
     — Si je pouvais avoir une photo… 
     — Bien sûr, tu auras une photo où tu embrasses mes fesses.
     Il la remercie longuement, mais elle dit :
     — Tu auras ta photo et tu peux sucer la petite bite de Cucul et te faire sucer mais pas l’enculer. 
     Le gros mec répond :
     — Vous êtes une sainte, Mademoiselle.
     Elles rient toutes les deux. Fanny lui dit :
     — À tout à l’heure… et si le petit n’est pas sage, donne-lui une fessée.
     Mais j’ai rien fait. Elles partent en me laissant seule avec ce gros satyre !!!! Il me regarde avec un sale sourire, au propre comme au figuré. Il me dit :
     — À poil mon petit bonhomme.
     J’enlève ma chemise et mon pantalon, il me dit :
     — À poil, tu ne sais pas ce que ça veut dire ?
     — Si, mais…
     Il sort son téléphone, pousse sur des touches et dit :
     — J’ai besoin de Lulu et de Jean.
     Je me dégonfle et je lui dis :
     — Je l’enlève, Monsieur.
     — Bien sûr tu vas l’enlever, mais tu n’as pas obéi assez vite.
     — Pardon, je…
     Je l’enlève vite et il me donne une bonne claque sur les fesses. Je crie, ce sale bonhomme a de la force. Il me dit :
     — J’adore ton cul, petit, tu as intérêt à bien obéir, sinon…
     Il réfléchit et dit :
     — Je crois que le meilleur moyen, c’est te donner une fessée maintenant pour que tu obéisses bien.
     Il me prend par un poignet et me couche sur ses genoux. Il caresse les fesses en disant :
     — Quel beau cul !
     Le couple d’employés qu’il avait demandé, Lulu et Jean, arrive. Lulu lui dit :
     — En plein boulot, patron, ravie que ce ne soit pas moi.
     Il continue à me caresser les fesses, il enfonce même un doigt dans mon cul. Je pousse un cri. Il dit :
     — T’as une culotte, Lulu ?
     — Oui, je sais que vous aimez l’enlever.
     Il est vraiment bi le sale type. Il lui dit :
     — Propre ?
     — Non, comme vous aimez, Patron.
     Elle enlève sa culotte et le patron de département « pitchoun » sait comment faire : il me pince les couilles, j’ouvre la bouche pour crier et il me met la culotte dans la bouche. J’aurais dû ouvrir la bouche tout de suite !
     — Aaaaiiiieee !
     Je crie à travers la culotte de Lulu. Il me donne au moins une vingtaine de claques. Je crie et je supplie tout bas à cause de la culotte. Il s’arrête et caresse mes fesses toutes chaudes en disant :
     — Tu vas être bien sage ?
     Je fais vigoureusement oui de la tête. Il me remet sur mes pieds. La vendeuse me dit :
     — Il a « dégueulassé » ma culotte !
     Le gros lui dit :
     — Va en choisir une.
     — Merci patron.
     Il ajoute : 
     — Je voudrais aussi que tu me dégotes dans les réserves un petit costume de marin pour enfant de 12 ans, un peu grand.
     Au secours ! Je veux que Fanny revienne et me sauve… On peut rêver. Il dit à John, le costaud un peu efféminé :
     — Présente-le.
     John m’assied sur ses cuisses. Il me prend par les cuisses et il me fait basculer sur lui. Le patron vient s’agenouiller devant mon cul en disant :
     — Mais quelle belle petite bite ! Je sais qu’on l’a libérée aujourd’hui, tu dois avoir tes petites couilles pleines de jus. Tu veux que je te soulage avec ma bouche ?
     — Monsieur, pardon, mais je n’aime que les femmes.
     Il répond :
     — Moi aussi j’aime femmes, mais les jeunes gens également. On va peut-être prendre le martinet.
     — Non Monsieur, vous pouvez me faire ce que vous voulez, ça me fera vraiment plaisir.
     Il répond :
     — Bien, je crois ça, mais tu vas adorer que je te suce, petit.
     Il embrasse mon sexe. Je ne banderai jamais. Il me dit :
     — Tu as une toute petite bite, mais elle sent fort, petit sale.
     — Je ne pouvais pas me laver... euh…
     Il embrasse aussi mes couilles, puis il les lèche et les mordille. Au moment où il dégage mon gland, je suis honteux de n’avoir pas pu me laver et encore plus honteux de bander… C’est juste un réflexe et puis je n’ai pas pu… euh… me caresser. Je n’ai pas fini d’en voir avec ce type. Il met ses doigts dans sa bouche et il enlève son dentier. Il me dit en zozotant un peu :
     — Ze fait des pipes de velours zans mes dents.
     Jean lui dit :
     — Ça c’est vrai patron, les meilleures pipes du monde.
     Mon sexe décalotté est dans sa bouche édentée et bien sûr, je continuer à bander. Je ferme les yeux et j’imagine que c’est une fille, pas Fanny, la situation est trop glauque et puis Fanny ne ferait jamais ça. C’est moi qui la lèche. Ah non, fallait pas penser à elle…. 
     — Aaaahhhhh…
     J’envoie des giclées de sperme dans la bouche édentée, résultat de pas mal de jours de privation... Ça me soulage mais ça me rend honteux aussi. Mon violeur est tellement… dégoûtant et il a fait tout ça contre mon gré. C’est bête de penser ça, mais c’est vrai. Il remet ses dents et me dit :
     — J’adore ton sperme.
     Le garde me flanque une méchante claque sur les fesses en disant :
     — Et alors, qu’est-ce qu’on dit ?
     Je fais un petit bond en avant en criant… Puis je dis :
     — Merci beaucoup Monsieur, c’était très bon. 




     — Alors tu vas me remercier, à genoux entre mes cuisses.
     Oh non, je veux Fanny ! Il sort son sexe et s’assied. Je me mets à genoux et j’ouvre la bouche, il me met une bite que je ne décrirai pas sous le nez. Je dois y passer, je dégage le gland et je le mets en bouche. Je ne meurs pas de dégoût, c’est surprenant. Heureusement, il est surexcité et il m’envoie rapidement son poison dans la bouche. Je n’ai pas envie de ramasser des claques alors, j’avale tout et je lui dis lâchement :
     — Merci beaucoup Monsieur, c’était tellement… bon.
     Il me pince la joue en disant :
     — Avec plaisir, petit… Dès que tu seras dépucelé, on jouera encore.
     Une fille entre avec des vêtements, ce n’est pas la fille de tout à l’heure. Celle qui arrive a des cheveux très courts, des tatouages et des piercings. Je crois qu’elle a les mêmes goûts que moi pour les filles. Elle rit en me voyant et elle dit :
     — Qu’il est mignon le petit, il vous plaît patron ?
     — Oui, bien sûr. Habille-le en forçant bien sur son côté... « pitchoun».
     Elle rit et dit :     
     — D’accord.
     Elle m’aide à enfiler des culottes courtes, une chemise blanche, une petite cravate, des chaussettes qui montent jusqu’aux genoux, une casquette, comme celles des écoliers anglais. Et cerise sur le gâteau, genre humiliation ultime, elle me met une « une tétine » dans la bouche. Ils rient tous les trois. 
     Je m’évade… en pensée : je joue au Loto ou un autre jeu et miracle, je gagne le gros lot et je pars avec Fanny. Je ne les entends plus rire. Par contre, j’entends rire Lucie et Fanny. Elle me prend contre elle en disant :
     — Mon bébé a été sage  ?
     Le gros type qui a mon sperme dans son sale ventre répond :
     — Plus ou moins, Mademoiselle. Il pleurniche facilement, c’est pour ça qu’on lui a donné une tétine.
     — Bon boulot, alors tu as toujours envie d’une photo de perdant ?
     — Oh oui Mademoiselle, c’est mon rêve.
     Elle soulève sa jupe jusqu’à la taille et exhibe les plus belles fesses du monde. Elle écarte même ses fesses et le sale type l’embrasse intimement… je veux dire qu’il embrasse son anus. Je suis tellement jaloux de lui que si j’avais un katana, je le couperais en deux. C’est une image... La vendeuse prend des photos avec son téléphone. Fanny s’adresse à Lucie :
     — On va faire des photos de lui entre nos fesses.
     Lucie est d’accord bien sûr et la sale tête du type se retrouve entre les plus belles fesses du monde et… je dois dire que les fesses de Lucie sont belles aussi. 
L’affreux bonhomme se confond en remerciements. Fanny me prend par la main et on sort du magasin, moi avec ces habits ridicules et une tétine en bouche.

À suivre.

Dessin de Bruce Morgan.

Bruce vend lui-même plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a faits pour nos livres. Si vous êtes intéressé, contactez-le directement sur son mail personnel :
Vous pouvez voir les dessins sur nos blogs gratuits :
et https://leslivresdemia.blogspot.com/

Je cherche un nouvel éditeur, pour Bruce et moi. 1000 mercis à qui pourrait nous aider.

A suivre

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