664 - 61 Enterrement de vie de jeune fille.
J’ai beaucoup de succès en mousse. Mon déguisement fait même sourire mes parents. À leur décharge, je dois dire qu’ils ont intérêt à se faire bien voir par la famille et même par les domestiques en général.
Si ça plaît à Fanny, c’est ce qui m’importe.
Le lendemain matin, je toque à sa porte puis j’attends, le plateau entre les mains. Je serre un peu les dents sur ma tétine. J’ai pensé que la tétine, ça lui plairait, elle a quand même beaucoup ri. Quand mes bras se mettent à trembler, elle dit :
— Ouaaaiiis !
J’entre… Je ne peux rien dire à cause de la tétine qui est censée l’amuser… ou pas. Elle me dit :
— C’est quoi cet accoutrement ridicule ?
Je ne sais quoi répondre… Elle me dit :
— Enlève le truc que tu as dans la bouche et approche.
Aïe ! Elle est vraiment de mauvaise humeur. Je dépose le plateau et j’enlève la tétine. Je bredouille :
— Pardon, je….
Elle me coupe la parole et dit :
— Approche et ferme les yeux.
Aïe, je vais… Elle me donne une toute belle paire de gifles et dit :
— Je t’aime mieux avec les joues rouges… et tu dois venir en domestique le matin.
Je bredouille :
— Je pensais que…
— Ne pense pas Cucul, un cul, ce n’est pas fait pour penser… Range la chambre.
Elle ajoute :
— Cette paire de gifles m’a fait du bien… Je n’aime plus ton nom, je vais te rebaptiser… euh… trouve un autre nom.
Elle va vouloir un truc ridicule, mais quoi ??? Elle va encore me punir et là je panique… Je prie Bouddha de m’aider… Elle dit :
— Va chercher le martinet.
Oh non ! Venant d’un au-delà asiatique… je pense… Je lui dis :
— Pas le martinet, s’il vous plaît Mademoiselle. Ce qui me caractérise, c’est mon petit sexe, alors on pourrait m’appeler… euh... Petit-Zizi...
Elle réfléchit, puis elle me dit :
— Petit-Zizi, aux pieds.
Je vais vite mettre ma tête sous les draps et j’embrasse ses pieds. Je l’entends rire. Ouf ! Son humeur a changé et puis j’ai trouvé un nom qui l’amuse, grâce au ciel… d’Extrême-Orient. Elle me dit :
— Tu peux embrasser et sucer mes orteils, c’est ta récompense pour avoir trouvé un nom ridicule qui me plaît… J’imagine une photo de Ralph et Ted et toi entre eux. Vous êtes nus et ton zizi est si petit par rapport à un sexe normal. Officiellement, je te baptise Petit-Zizi. Ça te plaît ?
— Tout ce qui vient de vous me plaît, Mademoiselle.
Elle rit… L’orage est passé ! Elle prend son téléphone, je l’entends dire :
— Papa chéri, tu veux bien venir dans ma chambre ?
Oh merde ! Je vais devoir le sucer. Il arrive en disant :
— Bonjour poussin.
— Bonjour papa chéri.
Il est nu, son énorme bite se balance, menaçante, même si ce n’est encore qu’une demi-molle. Il embrasse sa fille sur la bouche tout en lui caressant les seins. Je suis toujours aux pieds de Fanny. Il me regarde et me montre sa bite. Tant qu’il ne met son engin que dans ma bouche...
Je dois critiquer cette famille : nous étions pauvres mais propres, sauf ma demi-sœur Lucie. Pourquoi ces gens si riches qui pourraient se faire laver par le sosie de Marilyn Monroe ne se font laver qu’une fois par semaine par leurs servantes ?
Je me retrouve à nouveau le nez dans les couilles et le sexe de Monsieur. Inutile qu’il me donne des claques sur les fesses, je lèche ses couilles suantes. J’entends Fanny dire :
— Tu reviens de la salle de sport ? Tu sens bon...
Il répond :
— Jogging. Bon, qu’est-ce que tu veux poussin ?
Elle caresse son torse et répond :
— J’en ai marre de ce nom, Cucul, j’ai envie de le changer.
— Tu fais ce que tu veux, tu l’appelles andouille, si tu veux.
Ils rient tous les deux, pourtant ça n’a rien de drôle. Moi, j’ai un énorme gland pas propre qui… m’écartèle la bouche. Oui, je sais, ce mot ne convient pas mais il décrit bien ce qu’il me fait. Fanny lui dit :
— Ce qui le caractérise le plus, c’est d’avoir un zizi de souris...
Ils rient tous les deux et elle poursuit :
— Alors Cucul devient Zizi ou plutôt Petit-Zizi, un prénom composé.
Son père répond :
— Marrant, c’est vrai, bonne idée ma chérie…
Il lève le drap et me dit :
— Arrête de sucer, Petit-Zizi, mais reste là.
— Oui Monsieur.
Il dit à Fanny :
— Figure-toi que j’ai eu
une proposition pour
votre voyage de noces… quelque chose de très intéressant.
Fanny répond :
— J’avais envie d’aller
à Tullum…
— Non, tu
iras où j’ai décidé.
Elle dit :
— Oui, j’irai
où tu veux. Dis le mieux que ça, à
moins que tu n’aies envie d’une fessée matinale.
Là, elle change de ton, elle
gémit presque
— Pardon papa chéri, tu
sais que je t’obéis toujours, ne sois pas fâché.
— Je n’aime pas quand tu
discutes. Tu as de la chance que demain tu dois être belle sinon tes fesses vont changé de couleur.
Elle geint :
— J’avais envie d’aller à Tulum…
— Non.
Elle dit :
— J’irai où tu veux.
— Dis-le mieux que ça, à moins que tu n’aies envie d’une fessée matinale.
Là, elle change de ton, elle gémit presque :
— Pardon papa chéri, tu sais que je t’obéis toujours, ne sois pas fâché.
— Je n’aime pas quand tu discutes. Tu as de la chance de devoir être belle demain, sinon ton coco-fesse aurait changé de couleur.
Il rit… puis, aux petits bruits qu’ils font, je pense qu’ils doivent s’embrasser et...
Monsieur aime ça, parce que je « sens » son sexe grandir contre mon visage. Il se lève en disant :
— Je dois pisser, viens avec moi, Petit Zizi ?
On va dans la salle de bain, il me dit :
— Faut que tu apprennes à avaler la pisse.
Il tire sur la peau pour dégager le gland. Ouch ! C’est rien, c’est l’odeur du père de Fanny. Il commence par mettre son sexe dans ma bouche et il pisse.
J'arrive à avaler des gorgées de pisse sans le mordre. J'ai de l'entraînement, j'en parlerai plus tard. Il est excité et après la pisse, il jouit dans ma bouche. Des giclées de sperme envahissent ma bouche. Je dois avaler vite et surtout sans le mordre. Il dit à Fanny :
— Putain, ce Petit-Zizi avale super bien la pisse et le sperme. Un jour, on va voir combien il peut absorber.
Il est fou ce type !! Je ne ferai jamais ça… Enfin, si j’ai les choix. Il dit à Fanny :
— J’aime imaginer qu’il va digérer ma pisse et mon sperme.
Ils rient tous les deux. Ensuite il lui dit :
— Demain, c’est ton enterrement de vie de jeune fille, des salles seront réservées à nos amis…
— Merci, c’est-à-dire… je ferais bien du pole dance avec Lucie. On a répété. J’ai aussi envie que la famille de Petit-Zizi nous fasse un petit spectacle. Avec ses parents, ça va amuser tout le monde.
Monsieur répond :
— Il faut que ça reste entre nous… Petit-Zizi, va lécher le cul de Marthe ou sa chatte, si elle préfère.
Oh non !!! Je réponds :
— Oui Monsieur.
Je sors de la chambre, tellement déçu : je voulais rester avec Fanny, seul avec elle. J’ai faim, je n’ai pas déjeuné. Marthe est grosse et bien sûr pas propre, comme tout le monde ici. Les pauvres se lavent parce qu’ils doivent être propres pour être un minimum accepté, les riches n’en ont rien à faire, les gens sont à leurs bottes. D’accord, je fais une généralité avec un cas unique. Je vais toquer à la porte de la cuisine et j’entre, c’est ce qu’elle m’a dit de faire. Marthe me dit :
— Tiens, Cucul, qu’est-ce que tu veux ?
— Mademoiselle Fanny a changé mon nom, c’est devenu Petit-Zizi, Madame.
Bien sûr, ça la fait rire. Quand elle a fini, j’ajoute :
— Et elle m’a dit de vous lécher ce que vous voulez.
Elle répond :
— Fais la vaisselle, je lis.
C’est vrai, elle a un magazine people sur la table. Je fais la vaisselle en rêvant à Fanny… Quand elle a fini son bête magazine, elle me donne à manger.
***
Les jours suivants, on prépare l’enterrement de vie de jeune fille de Fanny. Cela va se passer dans le grand night-club de Monsieur et c’est ce soir, le grand jour. Je veux dire le grand soir. Fanny et Lucie, qui sont devenues les meilleures amies du monde, vont recevoir toutes leurs amies et même les amies des amies.
Les demoiselles d’honneur sont là. D’abord Lucie, ma soi-disant demi-sœur et la protégée de Monsieur et chouchou de Fanny. Je préfère ne pas parler de la façon dont elle me traitait, mais ça n’a pas changé. Les trois autres demoiselles d’honneur sont des Méridionales. L’une d’elle dit Fanny :
— Tu veux vraiment que ton fiancé arrive avec nous ?
Fanny me dit :
— Montre ton énorme sexe aux demoiselles d’honneur.
Je baisse mon pantalon et je n’attends que quelques secondes avant qu’elles ne se mettent à rire. Elle lui dit :
— Pardon ma chérie.
Fanny ajoute :
— Par contre, si vous avez envie de vous faire lécher, ne vous gênez pas. Il lèche bien et en gémissant parce que son minuscule engin grandit, et le petit gland se retrouve compressé entre les pointes de caoutchouc dur qui sont à l’intérieur. Vous pouvez l’essayer.
Elles m’essayent toutes les quatre, assises sur un canapé. Je les lèche l’une après l’autre en gémissant. J’aime les chattes, hélas, mon sexe aussi et il grossit. Quand je les ai toutes léchées, elles font des compliments à Fanny au sujet de son sex-toy. Fanny me prend par une oreille et elle me renifle en disant :
— Ce n’est pas spécialement ma chatte que tu aimes, c’est toutes les chattes.
Pour une fois, je la contredis un peu en lui disant :
— Votre chatte est la première merveille du monde, Mademoiselle.
Elles rient…
***
Ce soir, c’est l’enterrement. J’aide les filles à s’habiller, elles ont décidé que je pouvais arriver avec elles, vu que je n’ai pas un pénis mais presque un clitoris. Une amie de Fanny s ‘appelle Jessy et elle est particulièrement trash. Elle a beaucoup de tatouages et des piercings. Elle est arrivée après les autres. Elle me demande :
— D’où vient ton nom ?
— De mon petit zizi, Mademoiselle.
— Montre.
Je regarde Fanny pour essayer de voir ce qu’elle veut. Elle sourit, je sors mon petit engin en cage. En fait, il n’est pas si petit, mais c’est surtout en comparaison avec les grosses matraques des hommes que choisit Fanny comme amants. La fille tatouée dit à Fanny :
— Ma pauvre chérie, tu ne dois rien sentir.
Elles jouent bien sûr, elles savent toutes que Fanny m’épouse pour que je sois son esclave et qu’elle puisse coucher avec qui elle veut. Elle me présente comme son sex toy.
J’aide les filles à s’habiller, enfin, façon de parler, elles sont toutes super sexy.
Jupes très mini, haut transparent quand ce n’est pas un sein qui dépasse. Quand elles sont habillées, Fanny leur dit :
— Je vais enlever son étui, il est encore moins impressionnant sans cet engin.
Elle pousse sur deux touches de la petite commande et mon sexe est libéré.
Les filles viennent le toucher en riant. Elles trouvent que mon nouveau nom me va trop bien. Une des servantes vient dire :
— Pardon, Mademoiselle, mais Monsieur vous fait dire que la voiture est…
Fanny la coupe en disant :
— J’ai compris, on y va.
Elle ajoute :
— Tu es bien sûr compris dans les filles, Petit-Zizi.
— Euh… merci, Mademoiselle.
À suivre.
Dessin de Bruce Morgan.
Bruce vend plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a faits pour nos livres. Si vous êtes intéressé, voici son mail : brucemorgan@hotmail.fr
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Je cherche un nouvel éditeur, pour Bruce et moi. 1000 mercis à qui pourrait nous aider.
A suivre
Le blog http://poilhard.eklablog.com passant en mode privé, il faudra être membre pour y accéder. Pour que je puisse vous en donner l'autorisation, il faut au moins laisser un commentaire puisque c'est le pseudo que vous utiliserez qui servira à vous donner l'accès !
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