665 - 62 Un ange passe.
Une grande limousine nous attend devant la propriété. Les filles se mettent à quatre sur le siège arrière. Bien sûr, je dois me coucher sur le sol pour qu’elles puissent poser les pieds sur moi. Jessy, la demoiselle d’honneur tatouée, enlève ses chaussures et pose les pieds sur mon visage. Fanny me dit :
— Tu aimes les pieds de Josy ? Je lui ai recommandé de ne pas les laver, c’est mon petit cadeau de… de jeune fille.
Rires. Elle ajoute :
— Je dis jeune fille, mais ce n’est pas vraiment le cas.
Les filles se marrent encore. Fanny leur dit :
— Je ne vais pas arrêter de me faire sauter. Pour le plus grand plaisir de mon Petit Zizi de mari, il adore sucer ma chatte quand elle est pleine de sperme…
Nouveaux rires de filles qui ont bien picolé. Lucy me dit :
— Lèche bien les pieds de Josy, Petit Zizi, ils vont sentir meilleur.
Nouveaux rires de filles bourrées de champagne et de bites, d’après ce qu’elles disent. C’est dégoûtant. J’aime presque tout avec Fanny parce que je suis fou d’elle… mais pas les pieds sales de ses amies. J’avoue que pour les pieds de Josy, je dois faire un gros effort. Quand j’ai soigneusement léché ses pieds et sucé ses orteils, ses pieds ne puent plus, c’est moi qui dois puer… à l’intérieur.
J’ai vraiment trop soif, ça fait des heures que je n’ai rien bu. Je prends mon tout petit courage à deux mains et je dis aux pieds qui sont sur mon visage :
— Mademoiselle Fanny, je vous en prie, j’ai si soif.
Pourvu qu’elle le prenne bien. Oui, elle dit aux filles :
— Jessy, sois gentille de lui donner à boire, mais crache dans le verre, il adore ça, hein Petit Zizi ?
NON !! Mais je dis :
— Oui Mademoiselle…
Josy me dit :
— Redresse-toi, tu ne vas pas boire couché.
Tandis que je me redresse pour boire, Fanny lui dit :
— Il faut tout lui dire, on dirait qu’il a six ans.
Josy répond :
— L’âge de son petit zizi.
Je bois du champagne à la salive de la fille. Je m’en fous de ce qu’elle dit. J’appartiens à Fanny, c’est tout ce qui m’importe et bientôt, on sera marié. Je trouverai un moyen de gagner beaucoup d’argent et j’achèterai une maison aux Seychelles et on élèvera des dodos… Ah non, ça, c’est à l’île Maurice… Je rêve… bien sûr, elle sera toujours ma maîtresse et…
— Aïeee !!
Josy m’a donné un coup de sa chaussure sur la tête. Elle me dit :
— Tu es sourd en plus ? Ta maîtresse t’appelle.
Je rampe vite aux pieds des filles et je vais me mettre entre les jambes de Fanny. Elle me dit :
— Tu as de la chance que je sois de bonne humeur, sinon tu dois toujours être à l’affût et prêt à obéir.
— Oui, pardon Mademoiselle.
Entre ses jambes, je suis presque au paradis. Le chauffeur dit à Fanny :
— On est arrivé au club, Mademoiselle, je vais descendre dans le parking privé.
Moi, je ne vois pas grand-chose entre les jambes de Fanny. Il roule un moment avant de s’arrêter. On descend et on prend un ascenseur. On monte pendant un bon moment. Lisa demande :
— On va au dernier étage, chérie ?
Fanny répond :
— En principe, le dernier.
L’ascenseur s’arrête enfin. On sort et on arrive dans une très grande pièce, avec deux bars, des tables et des chaises. Une grande fille vêtue d’une combinaison en cuir, ouverte sur ses seins, nous attend. Elle a une cravache accrochée à sa ceinture, la dominatrice dans toute sa splendeur. Elle dit à Fanny :
— Tu es en retard pour changer et vous avez picolé.
Eh ! Comment elle parle à la fille du grand patron ! Fanny va la remettre à sa place... ou pas, car elle répond :
— Pardon Mademoiselle Angel, c’est parce que…
Angel ! Elle a plutôt l’air d’une démone, elle lui coupe la parole en disant :
— Si tu me sors une connerie, tu vas passer la soirée avec les fesses zébrées.
Là, Fanny va la faire virer... ou pas, car elle lui dit :
— Je vous prie de m’excuser, Mademoiselle Angel.
Je n’aime pas quand elle fait ça. Fanny est la fille du grand patron, mais de temps en temps, elle joue les soumises alors que ça ne lui va pas du tout. Angel nous dit :
— Suivez-moi.
On va dans un petit vestiaire qui sert aussi de salle de maquillage. Il y a plusieurs filles genre serveuse – maquilleuse – habilleuse ? Angel dit :
— Tout le monde à poil.
Je la regarde, genre « moi aussi ? ». À son air, je comprends que c’est oui. Quand on est tous nus, je vais me mettre près de Fanny pour me rassurer. Angel me fait signe de venir dans une petite salle de bain. Elle me fait peur, mais je ne peux qu’obéir. On va dans cette salle de bains et une fille me lave les cheveux plusieurs fois, y compris avec un produit qui ne sent pas bon. Je suis ensuite maquillé, coiffé, une fille me met quelque chose sur la tête, deux autres me font enfiler des lanières et fixent quelque chose dans mon dos, sans que je comprenne de quoi il s’agit. Elle me met deux poignées dans les mains. Quand elles ont terminé, une fille me dit :
— Va te montrer à Mademoiselle Fanny et presse les poignées que tu as en main.
Je vais dans la grande salle et je m’avance vers Fanny et le groupe de filles. Elles éclatent de rire et vraiment de bon cœur. Qu’est-ce qu’elles m’ont fait ?? Fanny me dit :
— Va te voir dans le miroir.
Il y a un grand miroir, je vais me regarder et je vois… un ange ou on pourrait dire un angelot ! J’ai les cheveux blonds, une auréole au-dessus de la tête et, enfin, j’ai des petites ailes !!! C’est ce qu’elles ont fixé sur mon dos. J’ai une poignée dans chaque main qui me permet de les agiter. Les filles se marrent, Fanny en tête. Angel dit :
— Les anges n’ont pas de sexe, il est presque parfait dans le rôle d’un petit ange.
Tu te plais comme ça ?
NON ! Mais je dis :
— Oui Mademoiselle.
Je ne contredis jamais Fanny ni ses copines, surtout quand elles ont une cravache à la ceinture. Angel dit bien fort :
— Avis à tous, on ne l’encule pas mais il lèche tous ceux qui veulent.
Elle ajoute :
— Comme il est à toi, Fanny, tu surveilles, je ne voudrais pas que l’angelot se fasse dépuceler avant l’heure.
Fanny baisse les yeux et répond :
— Oui Mademoiselle.
Il y a une dizaine de serveuses, juste vêtues d’un tout petit tablier blanc, on pourrait même dire dévêtues. Elles viennent vers nous en s’inclinant comme si on était en Asie. Celle qui doit être la cheffe dit à Fanny :
— Le petit ange est superbe, Mademoiselle Fanny.
Fanny répond :
— Une très bonne idée de Mademoiselle Angel, qui est la cheffe de la soirée.
La serveuse dit à Angel, en s’inclinant :
— Tout est prêt, Mademoiselle.
Elle répond :
— Allez mettre l’angelot debout sur une table, devant la porte. Il doit agiter ses petites ailes quand des gens arrivent. S’il ne le fait pas, vous me prévenez.
La cheffe serveuse se plie à nouveau en deux en disant :
— Oui Mademoiselle.
Puis elle me prend par la main et elle me fait monter sur une table qu’on a placée devant l’entrée. Elle me dit :
— Tu as entendu : quand des gens arrivent, tu remues tes petites ailes et tu écartes les jambes, qu’on puisse voir que les anges n’ont quasi pas de sexe.
Rires serviles des autres serveuses. J’attends bien dix minutes avant que les premiers invités arrivent.
J’agite mes ailes, ils adorent et rient. Il y a des hommes d’une quarantaine d’années, amis de Monsieur sans doute, et puis des filles entre 18 et 28 ans, des copines de Fanny et des demoiselles d’honneur. Les filles jouent avec mon petit sexe, en riant. Elles le tirent et l’une d’elles presse mes couilles jusqu’à ce que je crie. Je bouge mes ailes sans arrêt. Des messieurs me mettent un doigt dans le cul, ensuite ils me le font sucer. Il y en a un qui me dit :
— Après-demain, on t’encule.
NON ! Je ne veux pas mais je n’ose pas le dire, bien sûr. Heureusement, Lisa et Josy font leur numéro de pole dance. Je n’arrive pas à les voir, mais j’entends des cris et des applaudissements. Quand tous les invités sont là, Angel me dit :
— Descends de là.
Quand je suis devant elle, elle ajoute :
— Tu es un ange et une petite pute. Tu vas aller proposer aux messieurs de les sucer ou de leur lécher le cul.
Je n’ose évidemment pas lui dire que je suis hétéro et que je ne fais pas ça. Comme je ne réponds pas assez vite, elle me prend par une oreille et elle traîne un ange gémissant derrière elle. Elle va s’asseoir et me dit :
— Mets-toi à genoux, bras croisés sur les reins.
Quand je suis dans la position qu’elle veut, elle ajoute :
— C’est moi qui m’occupe de cette soirée et quand je te pose une question, tu réponds immédiatement. De la même façon, si je te dis de faire quelque chose, tu le fais immédiatement aussi.
— Oui Mademoiselle, mais vous me faites peur.
La preuve, j’ai les larmes aux yeux. Elle me dit :
— Tu n’as pas envie de te faire fouetter ?
Là, je réponds immédiatement :
— Non Mademoiselle, je vous en prie.
— Bien, alors fais ce que je t’ai dit : va chez les hommes et les filles leur proposer ta bouche.
— Oui Mademoiselle.
Je me mets à genoux devant elle et je joins les mains. Une chance sur… x que ça lui plaise. Elle me dit :
— C’est une jolie façon de demander, qu’est-ce que tu veux ?
— Je ne suis pas vraiment un ange et je vous demande humblement de pouvoir un peu boire, un peu manger et un peu faire pipi, s’il vous plaît.
Angel rit. Oui, la garce à la cravache rit. Elle dit :
— D’accord mais rapidement.
Je baisse la tête et j’embrasse ses pieds. Je me relève, je déploie mes petites ailes et je vole vers les toilettes. Je m’enferme dans une cabine pour faire pipi. Il est tôt, il n’y a personne dans les toilettes. J’ai un peu la paix et je pisse un peu. Maintenant, boire et manger. Je vais vers le buffet. Ce sont les serveuses qui préparent les assiettes pour les invités. Je ne suis pas un invité. Il y a toujours des chefs, partout, ça doit être le cas de la jolie serveuse qui me dit :
— Qu’est-ce que tu viens faire ici toi ? Tu n’es pas censé distraire les invités ?
— Si Mademoiselle, mais Mademoiselle Angel m’a permis de manger et boire.
Elle me caresse les fesses en disant :
— C’est vrai que tu as un cul de fille. Bon, tu veux quoi ?
— Si j’osais, je vous demanderais un toast au caviar et une glace.
Elle dit aux autres serveuses,
— Ils sont polis les anges, cette année.
Elles rient, mais discrètement. Elle me donne une belle assiette, j’adore le caviar, même si je n’en ai mangé qu’une fois. Marthe m’avait donné les restes d’un repas et il restait un morceau de toast au caviar. Ici, je mange un toast entier. Quand je suis au gâteau, j’entends la voix de Fanny, qui dit :
— Où il est P’tit Zizi ?
La serveuse répond :
— Il mange sous la table, Mademoiselle.
— Il a été sage et poli ?
— Oh oui Mademoiselle, très.
Fanny soulève un pan de la longue nappe et me voit dans ma cachette. Elle me dit :
— Quand tu auras fini, tu iras te proposer aux invités. Il y a pas mal de chattes et de bites qui attendent de se faire lécher par un ange.
— Oui Mademoiselle.
Elle n’est pas fâchée, c’est le principal. La gentille serveuse-cheffe me donne une bouteille de bière sous la table. Je la bois en trois fois, puis je sors à quatre pattes de sous la table en faisant attention à ne rien abîmer. Je me lève et je dis à la cheffe serveuse :
— Merci beaucoup, Mademoiselle.
Elle me donne une petite claque sur les fesses en disant :
— Va travailler, on se reverra tout à l’heure, tu aideras à servir.
— Avec plaisir, Mademoiselle.
Les serveuses sont nettement plus gentilles que les invités.
À suivre.
Dessin de Bruce Morgan.
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j'adorais venir lire les aventure de lizzy mais depuis que ces aventures sont devenues homosexuelles, plus aucun interet, je reviendrais quand ces textes auront retrouvés leurs interets et orientations d'antant
RépondreSupprimerMoi je m'intéresse aux aventures de Fanny. J'ai écrit 665 épisodes hétèros, il y a des lecteurs qui aiment et puis n'oublie pas que Cucul, c'est moi...
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