668 - 65 La nuit de noce.
J’ai peur de la nuit de noces, je sais qu’ils vont s’amuser à mes dépens. Ce matin, j’apporte le petit déjeuner de Fanny, je toque et j’attends. Elle me fait toujours attendre, le plateau à bout de bras. Je pense « Mais oui, Mademoiselle, je sais où est ma place. »
Quand elle me dit d’entrer, mes bras tremblent, c’est comme si elle savait exactement quand j’allais me mettre à pleurer sur son petit déjeuner. J’entre en disant :
— Bonjour Mademoiselle.
Pas de réponse… Le matin, avant le petit déjeuner, elle n’est pas de bonne humeur. Elle me montre le bout de son lit du doigt. J’adore, car ce geste signifie « file sous les draps et lèche mes pieds », et j’adore faire ça. Ils sont toujours gentils avec moi ses pieds et leur odeur est la meilleure du monde. Je suis dingue ? Oui, dingue d’elle. On est vendredi et normalement elle se, lave demain. Nous faisons l’amour, ses pieds et ma bouche, quand elle me dit :
— Sors de là.
Je sors du paradis, elle ajoute :
— Ce mariage, c’est juste quelques signatures, mais je vais faire en sorte que la nuit de noces soit agréable. Même un peu pour toi, si je suis de bonne humeur.
Je réponds :
— Si je suis avec vous, c’est…
Elle me coupe et dit :
— Oui, je sais, tu es facile à contenter, une culotte sale ou mes pieds suants et tu es content.
C’est vrai j’aime tout chez elle. Elle ajoute :
— Tu t’habilleras en mousse et n’oublies pas la tétine, ça va les amuser. Sauf toi pôv’ lapin. Mais du moment que tu es avec moi, tu es content. La cérémonie a lieu en fin d’après midi. Avant ça, tu nettoies ici, puis tu vas demander des corvées à Lisa, elle est plus douée que moi pour ça.
C’est vrai que ma demi-sœur adore trouver des choses pénibles à me faire faire, depuis toujours. Fanny ajoute :
À quatre heures, après les corvées, tu t’habilles en mousse et tu vas attendre dans le salon, debout dans un coin. Ah oui, premier cadeau pour mon petit mari, on est samedi mais je ne me lave pas, tu vas avoir l’odeur de ta jeune épouse plein le nez.
— Merci Mademoiselle.
Je penserai à ça quand je serai « au coin ».
***
Je ne vais pas décrire tout ce que Lisa me fait faire, ce sont des corvées pénibles et dégoûtantes. Avant quatre heures, je vais me changer en mousse, puis je vais me mettre « au coin » dans le salon. J’attends, peut-être une heure avant que Fanny n’arrive avec ses parents. Elle est suivie de Lisa, puis de mes parents habillés en domestiques. Je ne les vois que du coin de l’œil, depuis mon coin, mais je me rends compte qu’ils ont tous déjà pas mal bu. Sauf mes parents, sans doute. Il y a un homme que je n’ai vu qu’une fois. Il est l’adjoint au maire, d’après ce que j’ai entendu dire. Il dit en me voyant :
— Voilà un petit garçon qui n’a pas été sage.
Fanny répond :
— Il est toujours sage, mais je suis obligée de le punir pour qu’il ne s’imagine pas qu’une fois devenu mon mari, il aura une vie plus facile.
M’en fous, du moment que je suis avec elle, je suis heureux.
Monsieur répond :
— Vous savez comment sont les gamins aujourd’hui, et puis ma fille aime bien lui donner des punitions. Il ne faudrait pas qu’il s’imagine qu’il va être un mari comme les autres.
Oui, il répète simplement ce que sa fille vient de dire, mais tout le monde rit, même mes parents, avides de se faire bien voir par le patron. Ils boivent du champagne sans doute. J’ai soif et je dois faire pipi. Je finis par enlever ma tétine pour pouvoir tourner la tête et dire :
— Mademoiselle Fanny, s’il vous plaît, je dois faire pipi.
Elle répond :
— Encore ! Tu n’arrêtes plus. Je crois qu’on devrait te mettre un lange.
Madame la mère de Fanny lui dit :
— Super idée, chérie, et ce soir, il aura un biberon.
À nouveau ça fait rire tout le monde. Fanny me dit :
— Vas-y… vite.
Je cours pratiquement, mais je dois monter les quatre étages : les domestiques ne peuvent utiliser que les w.c. qui leur sont réservés.
Arrivée dans les toilettes, je suis tellement stressé que je n’arrive pas à faire pipi. Je décompte à partir de 1000, c’est mon père qui m’a donné ce truc et ça marche. Je redescends rapidement les quatre étages et je vais toquer à la porte, puis j’entre dans le salon. Fanny me dit :
— Enfin ! Je croyais que tu ne voulais plus m’épouser.
Je me rends compte qu’elle a bu pas mal. Je réponds :
— Pardon, c’est que…
Elle me coupe en disant :
— Viens signer les registres et ce soir, ça va être la fête à ton cul… Cucul.
Elle rit, oui elle a bu… Son père lui dit :
— Plus d’alcool pour toi, ce soir, une boisson chocolatée comme Cucul.
Elle va vite s’asseoir sur ses genoux et l’embrasse sur la bouche, puis elle lui dit :
— Papa chéri, ce sera ma nuit de noces et j’ai peur de perdre ma virginité sous les coups de bite… de mon mari. Comme tu sais, je suis encore vierge.
Son père rit puis répond :
— Toi, vierge ! Tu es une putain et j’adore ça. Ne bois plus trop, n’oublie pas que tu vas devoir t’occuper de pas mal de choses ce soir. Et puis, j’ai déjà vu le sexe de ton futur mari, il est impressionnant.
Il ajoute :
— À propos, Cucul, va signer le registre.
Je signe à l’endroit que l’adjoint au maire m’indique. Je ne lis pas ce que je signe, cela n’aurait pas été apprécié par ma jeune épouse et sa famille, car ce serait considéré comme un manque de respect et de confiance. Une des servantes vient faire une révérence et lui dit :
— Tout est prêt, comme vous l’avez demandé, Monsieur.
Il répond :
— Tu as prévenu le reste de la famille ?
— Oui Monsieur.
Il nous dit :
— Il y a un petit changement dans la hiérarchie, Cucul reste le domestique de ma fille, mais la mère de Cucul devient un membre de notre famille, plus exactement une de nos maîtresses, à ma femme et moi.
On est tous surpris, mais tant mieux pour elle. Monsieur dit à ma mère :
— Je te l’avais dit, Emma, va te changer.
Elle lui fait un grand sourire et elle quitte la salle à manger. Premier coup de théâtre et à mon avis, ce ne sera pas le seul de la soirée.
Monsieur nous dit :
— On peut passer dans la salle à manger, Cucul et son père feront le service avec les servantes.
Il faut surtout que mon père et moi, nous n’oubliions pas où est notre place. Et ça, on ne risque pas de la perdre de vue. Ils boivent et se racontent des choses qui les font rigoler. Ma mère revient avec une belle robe qui met son opulente poitrine en valeur et elle a même des bijoux. Elle va s’asseoir sur la chaise libre, à côté de Monsieur.
Mon père et moi, on sert les servantes. Ma mère est rayonnante, elle ne se préoccupe pas de nous. Je suis maintenant certain que Lisa est bien sa fille et ma demi-sœur. Le repas est copieux, je salive quand on sert les desserts. Les servantes qui ont servi vont sans doute manger dans la cuisine, elles sont remplacées par d’autres.
Quand ils ont fini, on a le droit de manger leurs restes, assis par terre dans un coin. C’est bon et on reçoit même du vins, même s’ils crachent dans les verres avant de nous les donner. Fanny m’a expliqué que c’était symbolique. Tant que ça vient d’elle, ça me plaît. Mon père et moi, on les remercie.
La suite est semblable à d’autres soirées, d’un côté les « maîtres » assis dans des divans et de l’autre, les domestiques alignés contre un mur, prêts à « sauter » au moindre claquement de doigts. Rien n’a changé depuis l’époque romaine.
Fanny dit à son père :
— J’ai envie de m’amuser, papa chéri.
— D’accord, on s’occupe de ta nuit de noces.
Il ajoute à une servante :
— Va dire aux filles et aux gardes que ceux qui veulent peuvent assister au spectacle.
Mais non ! Je veux être seul avec Fanny et l’envoyer au 7ème ciel avec ma langue et ensuite glisser mon sexe dans son minou chéri. Je suis très con, non ? Parce que je sais que ça ne va pas du tout se passer comme ça.
On va dans la chambre « nuptiale » avec toute la famille et tous les domestiques. Ma nuit de noces va se transformer en grosse partouze. Bah, Fanny et moi, on est officiellement mariés.
On ne se retrouve pas dans la chambre de Fanny, mais dans la salle de bal, oui ça existe ici, comme au XIXème siècle. La pièce est très grande, il y a une table avec des boissons et des divans. Certaines servantes font le service : elles servent du champagne à tout le monde et elles peuvent même en boire. Pas moi, hélas, j’ai juste droit à une boisson chocolatée. Je n’aime pas ça, mais je préfère de loin boire ce genre de chose qu’avaler le pipi d’un membre de la famille, à part Fanny. Sa vessie est une source magique. Oui, je suis fou, lectrice imaginaire.
Tout le monde flirte et plus… Monsieur se couche dans notre lit, le lit conjugal. Sans que je le sache, ils ont prévu une série de saynètes. Monsieur me dit :
— Viens sucer ma bite, Cucul.
Dans tes rêves, sale bâtard. Ça, c’est ce que pense mais je me retrouve très vite à genoux entre ses jambes, à embrasser ses couilles et son sexe. Il me dit :
— Regarde ta femme, elle est à gauche.
Je tourne la tête et je vois Fanny nue, enfin plutôt vêtue uniquement d’un gode ceinture ! Ce sexe est imposant, mais pas énorme.
Elle me dit :
— Continue à sucer la bite de mon père pendant je te dépucelle.
J’ai déjà été sodomisé une fois et j’ai jonglé quand le gland est passé, mais je n’ai pas eu de blessures. Fanny se met derrière moi et dit :
— Tends bien ton derrière, petit mari !
Bien sûr, je ne retiens que le mot « mari ». D’habitude elle crache dans ma bouche, cette foi-ci, c’est sur mon anus. La scène excite son père et sa bite grandit contre mon visage. Elle écarte mes fesses et je sens le bout du gode contre mon anus et…
— Aaaaaiiiieeee !!!
Elle s’est enfoncée en moi, le passage de l’anus est vraiment douloureux, ensuite je sens sa peau contre la mienne tandis que le gode est complètement en moi.
Les spectateurs rient et applaudissent… La femme que j’aime me baise. Au fur et à mesure qu’elle m’encule, la douleur diminue et ça devient même bon. Quand elle me dit de me coucher sur le ventre et qu’elle s’allonge sur moi, son gode toujours fiché en moi, ses seins sont sur mon dos et ça devient même très, très bon… Hélas, elle ne bouge plus, mais elle me dit :
— Tu vas baiser une femme pour la première fois de ta vie.
Elle se retire de mon derrière et je crie quand le gland m’écartèle l’anus à nouveau. Elle me dit :
— Eh ! Tu es dégoûtant ! Regarde ce que tu as fait à ma belle bite ! Tu es chargé du nettoyage, alors nettoie.
Je lui obéis comme toujours, mais comment dire… la pilule est amère. Ça amuse les nombreux spectateurs. Fanny caresse les cheveux qui me restent sur le sommet du crâne en disant :
— Dis-moi, petit mari, tu es puceau, tu n’as jamais baisé une fille ?
Oh mon Dieu ! Je vais faire l’amour à la femme que j’aime le plus ou monde. Merci mon Dieu. Je réponds :
— Non Mademoiselle, mais ce sera le plus beau moment de ma vie, merci mon Dieu et…
Ma joie est de courte durée, car elle me coupe en disant bien fort :
— Emma, viens dépuceler ton gamin.
Je ne me suis pas adressé à Dieu ou alors, il a été remplacé par Lucifer…
Ma mère arrive aussitôt. Je dois encore la décrire, elle est un peu forte mais belle. Adolescent, je l’ai souvent regardée en douce. Elle est déjà nue et elle s’assied sur le lit, le dos contre les oreillers. Elle n’a plus un seul poil sur le corps, comme tous les domestiques. Elle me prend par un bras et m’assied sur ses cuisses en disant :
— Commence par téter maman.
Mon visage est contre son sein gauche, j’embrasse son téton, puis je le suce. Son goût est salé, il fait chaud et elle a transpiré. Je tète ma mère, normal, non ? Quand je l’ai bien sucé, elle me dit :
— Maintenant, tu vas te mettre sur moi et tu descendras en m’embrassant jusqu’à ce que tu aies le visage dans ma chatte.
Est-ce que je déteste faire ça ? Je dois avouer que non. D’abord parce que j’obéis à Fanny et puis ma mère est la première femme que j’ai vue nue et elle est belle. Elle écarte les jambes et je vois sa grosse chatte mouillée… Fanny me dit :
— Je veux que tu la lèches et que tu la fasses jouir avec ta langue, ensuite tu la baiseras. D’accord ?
— Oui Maîtresse… euh pardon oui, Mademoiselle.
— Bien…
Elle me donne une petite claque sur les fesses en disant :
— Vas-y, baise ta mère…
Dessin de Bruce Morgan.
Bruce vend plus de 1500 dessins originaux signés, qu’il a faits pour nos livres. Si vous êtes intéressé, voici son mail : brucemorgan@hotmail.fr
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