669 - 66 Mère et fils.

      C’est vrai, je n’ai jamais pensé que ma mère pouvait être excitée par moi, mais là, je la lèche et elle se tortille et gémit sous ma langue. Ne soyez pas choquée, chère lectrice imaginaire, on doit faire plaisir à ses parents, non ?
     Elle a beaucoup changé depuis qu’elle est ici. Elle a été acceptée par le clan des servantes, qui ont de plus en plus tendance à donner les corvées les plus dégoûtantes et pénibles à mon père ou à moi, quand Fanny me met à leur disposition pour une raison ou une autre. D’accord, je parle d’autres choses que ma langue dans la chatte de ma mère. Je vais le faire.
     Fanny m’a parlé gentiment. Je dois à la fois lui obéir et lui faire plaisir. Depuis peu, j’ai beaucoup de pratique dans le domaine du cunni. J’embrasse ma mère sur les lèvres de sa chatte, elle est toute mouillée. Je la lèche soigneusement du clitoris à l’anus… Elle aime, gémit, caresse les cheveux qui me restent sur le dessus de ma tête. Chez Fanny, j’adore lécher et sentir les alentours du méat urinaire. Fanny sent trop bon à cet endroit… Chez ma mère, cet endroit me plaît aussi. Je ne pensais jamais dire ou écrire ça.



     Je me concentre sur son clitoris, je le lèche, le prends entre mes lèvres et le mordille très légèrement. Tout le monde doit regarder le fils qui lèche la chatte de sa mère, car ils ne parlent plus beaucoup dans la pièce. Ma mère gémit de plus en plus et se cambre. Ça y est, elle jouit sous ma langue et sur mon visage. Je continue à la lécher tout doucement, elle a plusieurs spasmes et elle me mouille le bas du visage. Fanny me donne une bonne claque sur les fesses en disant :    
     — Baise-la maintenant en l’embrassant sur la bouche.
     Ma mère va connaître le goût de sa chatte. Je me couche sur elle, je sens ses gros seins contre ma poitrine. Mon sexe, qui n’est pas aussi petit qu’ils le disent, cherche l’entrée de sa chatte. Il a trouvé et je l’enfonce dans son vagin très mouillé. Fanny lui dit :
     — Il est dans ta chatte, tu sens quelque chose ?
     — ... Euh... oui, Fanny.
     Elle l’appelle Fanny !! Et elle me sent en elle ! Elle ajoute :
     — Enfin, je le sens un petit peu… Euh… Je dois dire la vérité, je ne sens rien, je crois qu’il ne bande pas.
     Là, j’entends rire les spectateurs. Tout cela est arrangé, bien sûr. Ma mère ajoute :
     — Mets-lui ton pied dans la figure, c’est toi qui l’excites.
     C’est vrai que je suis fou d’elle. Elle se couche tête-bêche et sur le côté, c’est-à-dire que la plante d’un de ses pieds est contre mon visage. Fanny lui dit :
     — Toi aussi tu aimes mes pieds ? Ton fils a les mêmes goûts que toi.
     Ma mère répond :
     — Oui, j’aime tout chez toi.
     Elle tourne la tête et embrasse les pieds de Fanny. Est-ce que je rêve ? Est-il possible que je baise ma mère tandis qu’elle embrasse les pieds de mon amour…? Je sens son odeur et…. Oooohhhh…. Je jouis dans une femme pour la première fois. J’ai plusieurs spasmes en imaginant mon sperme inondant le vagin de ma mère. Fanny crie :
     — Ça y est, mon mari vient d’être dépucelé par sa mère !
     Il y a beaucoup de rires et des applaudissements. Les nombreux spectateurs ont apprécié.
     Je... gis sur les formes voluptueuses de ma mère. Oui, c’est une phrase ridicule. De toute façon, je suis ramené à la réalité par une bonne claque sur les fesses que me donne Fanny. Elle me dit :
     — Rappelle-nous quelle est ta fonction dans cette maison, Cucul.
     Je pense « Je suis votre mari » mais je réponds :
     — Je suis un domestique et votre mari…
     — Aaaaiiieeee…!
     Cette fois-ci, sa main a claqué durement sur mes fesses. J’ai compris ce qu’elle voulait que je dise :
     — Je suis chargé du nettoyage.
     Elle lève la main et je me glisse rapidement entre les belles cuisses de ma mère, pour faire mon travail de domestique. Je le fais sans plaisir, le sperme. Je trouve ça dégoûtant  de lécher et sucer mon sperme dans la chatte de la mère. Monsieur dit :
     — Cucul sur les dos et Emma, accroupis-toi, la chatte au-dessus de sa bouche et pousse.
     Ma mère répond :
     — Oui mon chéri.
     Je me couche sur le dos, dégoûté d’avance et stupéfait que ma mère appelle Monsieur, mon chéri. C’est la réalité, tout ça ? Ou bien je suis passé dans une réalité parallèle, où les fils baisent leurs mères et avalent leurs propres spermes ? Non, c’est la réalité, ma mère s’accroupit au-dessus de mon visage, son vagin à l’aplomb de ma bouche. Elle pousse et plusieurs « globules » de sperme tombe dans ma bouche ouverte. J’avale chaque fois, à la limite plus dégoûté de mon sperme que par celui des étrangers. 
     Ah oui, il y a aussi les spectateurs qui rient et font des commentaires, genre :
     — Quel petit porc !
     Quel con ! Monsieur dit à ma mère :
     — Assieds-toi sur son visage.
     Ma mère s’assied sur ma figure et frotte son sexe trempé par ses sécrétions et mon sperme.               
     J’avoue : je bande. Un des spectateurs dit :
     — Regardez sa queue de ouistiti, il bande !
     Je voudrais dire que c’est mécanique, mais c’est parce que ma mère est assise sur mon visage. Là, il va y avoir des commentaires… C’est Lisa, ma garce de demi-sœur, qui dit :
     — Il nous a toujours regardées en douce, ma mère et moi.
     C’est pas vrai… Euh… si, c’est vrai. 
     Monsieur dit à sa fille :
     — Prends ton Cucul et allez vous coucher, demain vous commencez votre voyage de noces. 
     Fanny me prend par la main et dit au revoir à la ronde. Moi, je suis honteux et confus, pas comme un corbeau, mais comme un homme qui aurait été obligé de lécher et de baiser sa mère en public… Je suis mon… épouse, on arrive dans sa chambre et elle me dit :
     — Tu peux dormir par terre sur ton petit matelas et vas chercher une culotte sale dans la salle de bain.
     Je réponds :
     — Merci beaucoup, Mademoiselle. Je n’aime que vous…
     Elle ajoute en riant :
     — Moi et mes culottes sales.
     C’est vrai… Ses culottes sont mon… paradis. Je m’endors et je rêve de Fanny… On est sur une plage et je lui masse les pieds… Décidément...
*** 
     Le lendemain matin, je descends vite à la cuisine. Marthe lit une revue à scandale, comme d’habitude. Je lui dis :
     — Bonjour Madame.
     Pour une fois, elle me répond autre chose qu’un grognement. Elle dit :
     — Alors, on aime sa maman ?
     — Oui Madame.
     Normal d’aimer sa maman, non ? Nettement moins de lui lécher la chatte et lui faire l’amour en public, sans doute. Je prépare le petit déjeuner de Fanny et je monte le lui apporter. D’habitude, elle me fait attendre derrière la porte un bon moment, mais aujourd’hui, elle dit :
     — Entre !
     J’ouvre la porte avec le coude, j’entre et je lui dis :
     — Bonjour Mademoiselle.
     Pas de réponse… Je dépose le plateau sur le lit et elle mange rapidement. Elle ne m’envoie pas à ses pieds. Quand elle a fini, elle me fait ma « pâtée » du matin, des morceaux de pain avec des restes de jambon italien. Elle me dit :
     — J’oublie quelque chose, non ?
     Si je ne lui dis pas, elle risque de s’énerver et puis ce qui vient d’elle ne me dérange pas… tellement. Je réponds :
     — Cracher, Mademoiselle.
     Elle crache trois fois… ça va, parfois elle met des choses pires… Oui, bien sûr, tu fais la grimace, lectrice imaginaire, mais je suis obligée de tout décrire. Fanny me dit :
     — On se lave et on s’en va.
     Où ? J’ai trop envie de lui demander, mais je n’ai pas le droit de poser des questions. Elle prend une douche… son odeur s’envole et elle doit aller chatouiller si agréablement le nez des divinités en haut du Mont Olympe. Je me lave « dans sa douche », ce que je ne peux jamais faire. Elle vient dans la salle de bain et jette des vêtements par terre en disant : 
     — Tu mets ça.
     Il s’agit d’un petit short, d’un tee-shirt et de sandales. On va où ? J’ose à peine penser « en voyage de noces ». Je m’habille et je retourne dans la chambre. Je suis vêtu comme elle, à la différence qu’avec un short et un tee-shirt, elle est à tomber tellement elle est sexy. Elle n’a qu’un petit sac, impossible qu’on prenne un avion pour Tahiti. On descend, Ralph nous attend avec la voiture.
     Fanny l’embrasse sur la bouche et il lui donne une claque sur les fesses en disant :
     — Mademoiselle Fanny, votre nuit de noces était une merveille
     Elle le remercie en riant. On monte en voiture, direction Marseille. Ralph lui dit :
     — Votre chatte va trop me manquer
     Fanny répond :
     — Je te ferai venir.
     — Oh, j’adorerais Mademoiselle Fanny, mille mercis.
     Je ne dis rien, bien sûr. Fanny décide de tout. On se dirige vers l’Estaque, un quartier très populaire de Marseille, et on arrive à Saumaty, le port des bateaux de pêche. Fanny dit à Ralph :
     — Dépose-nous ici, on va trouver un bateau.
     On descend de voiture, Fanny va embrasser le chauffeur sur la bouche. Il lui dit :
     — Bonne chance, Mademoiselle.
     — Merci Ralph, ta bite va me manquer.
     Eh ! On est en voyage de noces… Enfin, je pense.
     Dans ce quartier, Fanny a beaucoup de succès, comme partout, mais ici, on lui dit en français et en provençal :
     — Quel beau cul, petite !
     Et même en arabe :
     — Ya leh min moukhra jamila !
     Elle envoie des baisers à ses admirateurs
     On va sur le port des bateaux de pêche. Ils ont pêché la nuit, je pense. Il y a un chalutier plus grand que les autres. Trois hommes y travaillent. Un homme voit arriver Fanny… et moi derrière. Il la siffle et lui fait des compliments, façon 
« Estaque ». Fanny leur dit :
     — Vous pourriez nous déposer au port du Fort Cavaux, dans les Îles Pomèques ? Ce n’est qu’à 7 km d’ici.
     Un homme qui doit être le « capitaine » sort de la cabine, il sourit et dit :
     — La petite va nous expliquer où est le fort Caveau ! On allait y jouer quand on était gamins ! Mais ce que tu ne sais peut-être pas, c’est que c’est un port privé, on ne peut pas y aller.
     Fanny répond :
     — On m’attend avec mon petit frère. Je vous jure que c’est vrai et je suis très gentille avec les beaux pêcheurs.
     Ça fait beaucoup d’arguments, le patron regarde ses hommes, ils sont de moins en moins hésitants. Fanny leur tourne le dos et descend son short sur les plus belles fesses du monde, en disant :
     — J’suis Fanny.
     Un des hommes dit :
     — Mais oui les gars, c’est Fanny. Les perdants à la pétanque lui embrassent le cul. Et d’après d’après sa réputation, elle n’est pas farouche du tout.
     Ça fait rire Fanny, pas moi. Ils ont tous un grand sourire maintenant. Le patron lui dit :
     — Une dernière condition, on peut te photographier, Fanny ?
     — Avec plaisir.
    On descend dans le bateau. Fanny et le patron se serrent la main. Il lui dit :
     — Marché conclu. 
     On embarque. Un des hommes lui met tout de suite la main aux fesses, ce qui la fait rire. Est-ce bien mon voyage de noces ? Peut-être, mais version Fanny. Un des hommes plus âgés lui dit :
     — Moi, j’ai été dans la marine marchande et j’aimais jouer avec les mousses, ton frère me fait penser à un de mes mousses préférés.
     NON !! Hélas, Fanny répond :
     — On aime le sexe tous les deux et mon frère suce bien, mais il est timide.
     Les pêcheurs, c’est le genre d’homme qui plaît à Fanny. Dès qu’on est à bord, le capitaine commence les manœuvres pour sortir du port, tandis que les hommes nous regardent avec autant d’intérêt que si on était un thon rouge de 300 kg à livrer dans un marché aux poissons japonais. Fanny se déshabille, elle me regarde, ça me suffit pour me déshabiller aussi. Ils commencent par nous photographier, enfin, tous sauf un qui doit appartenir à une secte. Le patron lui dit de venir le remplacer, il veut une photo de lui avec le thon rouge, je veux dire avec nous. Le vent chaud m’envoie l’odeur de Fanny... et je suis rassuré, tout va bien se passer. Il a des idées de photos. D’abord, il nous prend tous les deux sous ses bras, les fesses en l’air. Ensuite, tous les deux à genoux, embrassant le sexe qu’il a sorti de son vieux pantalon et qui sent le poisson. On lui donne des baisers tous les deux. Ça va être la photo du siècle.

À suivre.

Dessin de Bruce Morgan.

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