671 - 68 On sert.
Quand elle a joui, la grosse cuisinière prend Fanny sur ses genoux et l’embrasse sur la bouche, tout en lui caressant les seins. Fanny se laisse faire… avec plaisir ? Je ne sais jamais si les choses lui plaisent ou si elle se sent obligée vis-à-vis de son père. La cuisinière lui dit :
— Pour toi, je m’appelle Mireille.
— Oui Mireille, j’aime beaucoup vous lécher.
Grand sourire de la grosse Méridionale qui ajoute :
— Et le petit Cucul, on en fait quoi ?
— Ce que vous voulez, mais il faut le ménager. De toute façon, vous lui montrez le sol du doigt, il rampe à vos pieds.
Charmante description, qui fait rire, mais bon, Fanny a tous les droits et puis… ce n’est pas faux.
La grosse Mireille, qui est toujours occupée à peloter ma femme, dit aux bonnes :
— Je pars un moment avec Fanny, préparez un repas froid pour deux et si vous avez avez envie d’essayer le petit Cucul, il est à vous.
Mireille met Fanny sur ses pieds et elles sortent de la cuisine. Je suis seul avec cinq filles. L’une d’elles a l’accent espagnol et dit :
— Je commence les filles.
Elles ne discutent pas, une des filles répond :
— Bien sûr Mila.
C’est une fille originaire d’Espagne, comme je pensais. Elle relève sa jupe d’uniforme et enlève sa culotte qui a été blanche dans une autre vie. J’ai honte de le dire, mais depuis que je suis passé dans le monde parallèle de Fanny et sa famille, je me suis habitué aux chattes… pas lavées.
De toute façon, les vagins sont autonettoyants… euh… l’extérieur moins, mais grâce à Fanny et à ma demi-sœur, je me suis habitué aux odeurs fortes. Les bonnes ne sont pas épilées et Mila a la chatte cachée sous une épaisse fourrure noire… Elle sent la marée basse en été, un peu comme Fanny. Le long de ses grandes lèvres à l’extérieur, il y a un peu de sécrétion blanchâtre. Je fais un nettoyage complet de sa chatte puis je me concentre sur son clitoris. Elle me caresse la tête, ce qui est toujours bon signe. Je dois être devenu un as du léchage de chatte, parce qu’il lui faut peu de temps pour jouir en collant mon visage à sa chatte. Elle me repousse et se lève en disant :
— Suivante.
Tout se passe de la même façon et j’en suis à ma cinquième chatte quand Fanny revient avec la cuisinière. Celle-ci me dit :
— Termine Julie, on n’est pas à cinq minutes.
Je lèche Julie comme les autres. Quand j’ai terminé mon nettoyage complet, Julie me dit :
— Mademoiselle Fanny t’a bien éduqué, Cucul.
Ça fait rire Fanny qui répond :
— Ah ça oui, à coups de claques sur ses grosses fesses.
Là, ça fait rire toutes les filles.
Il y a deux assiettes et des couverts à table. Il y a des viandes froides, du pain et des sablés.
On mange, c’est bon et on a faim. Pour tout dire, je ne suis pas mécontent de changer de saveur et d’avoir un goût de sablé dans la bouche.
Quand on a fini, on répond un peu aux questions de la cuisinière et des servantes. Nos aventures doivent passer quelque part sur le Net, parce qu’elles sont au courant de tout ce qu’on a fait…
Les conversations s’arrêtent, parce qu’un garde ouvre la porte et une jolie brune entre dans la pièce. Les servantes lui font une profonde révérence et même la cuisinière se lève et se plie plus ou moins en deux, en disant :
— Que peut-on faire pour votre service, Mademoiselle Aïcha ?
— Toi rien, je vais m’occuper d’eux. Suivez-moi.
Eux, c’est nous. Mademoiselle Aïcha est belle mais elle n’a pas l’air commode. On la suit dans des couloirs jusqu’à ce qui doit être sa chambre. Elle est grande et bien meublée, ce qui montre son importance. Elle dit à Fanny :
— Ton père veut que je m’occupe de vous.
— Oui Mademoiselle.
Elle poursuit :
— Tu m’obéis et tout ira bien, sinon j’aurai grand plaisir à fesser tes belles fesses blanches.
Au lieu de l’envoyer se faire voir et qu’ensuite on parte enfin en voyage de noces, Fanny répond :
— Je vous obéirai, Mademoiselle Aïcha.
Je n’aime pas quand elle accepte de jouer les soumises, mais je ne sais pas ce que son père lui a promis. Je considère que son père la loue parce qu’il est en affaires avec ces gens. C’est pas normal que…
Aïcha claque des doigts devant mon visage. Elle me dit :
— Tu as raison de ne pas écouter, parce que de toute façon, toi, ton rôle est d’obéir, c’est tout.
Elle me regarde… Ah oui, je dois répondre :
— Oui Mademoiselle.
— Va attendre dans le couloir à genoux, les mains croisées dans la nuque et le nez qui touche le mur. Tu as tout compris ?
— Oui Mademoiselle.
Je m’incline, je regarde Fanny et je sors. Je vais me mettre à genoux dans le couloir. J’ai l’habitude de cette position, pénible au bout d’un moment. Je pense à Fanny, ses fesses, ses pieds… et je pense aussi à mon ancêtre Magdalénien, qui savait courir des journées entières avec sa tribu à la poursuite des rennes. Ensuite, il… La porte s’ouvre. Aïcha me dit :
— Reviens.
Je me lève tout ankylosé et j’entre dans la chambre. Je ne vois pas où est Fanny. Aïcha me dit :
— Pas de panique, petit bonhomme, Fanny se lave et c’était vraiment nécessaire, elle pue. On dirait qu’elle ne se lave jamais.
Eh ! C’est pas tes oignons ! C’est ce que je pense mais je réponds :
— C’est que…
Elle me coupe la parole, tant mieux parce que je ne sais pas ce que j’allais dire. Elle imite bêtement ma façon de parler :
— C’est que z’aime Fanny...
Je réponds :
— Oui Mademoiselle.
Heureusement, la conversation s’arrête parce que Fanny sort de la salle de bain nue et propre. Où est ma Fanny ? Je l’aime propre aussi, bien sûr, mais j’aime son odeur. Elle a une queue de cheval, ce qui la rajeunit encore. Aïcha me dit :
— À ton tout de te laver et soigneusement.
— Oui Mademoiselle.
Ça va bientôt faire près de 20 ans que je me lave partout, enfin, sauf ces derniers mois. Quand je me suis bien lavé et essuyé, je retourne dans la chambre. Fanny est déjà habillée, elle a un chemisier blanc, transparent, une minijupe blanche parsemée de fleurs de lavande et aux pieds, des espadrilles. Elle fait toute jeune et tout à fait méridionale, on la croirait sortie d’un livre de Marcel Pagnol… quoique sa Fanny ne devait pas avoir des clochettes aux pieds. Nous tintons toujours, Fanny a l’air de bien le supporter, moi nettement moi.
Notre nouvelle cheffe nous dit :
— Ce soir, vous allez servir le Président Shindy et ses amis.
Elle nous regarde et ajoute :
— Vous savez comment servir à table ?
C’est Fanny qui répond :
— Oui Mademoiselle, moi parce que je me fais servir et mon mari parce qu’il est mon domestique et sert lui-même souvent à table.
Elle a dit « mon mari » sans ajouter « petit » ou « stupide »...
Aïcha nous amène dans une grande salle à manger. Une table est dressée pour cinq personnes. Elle nous montre le monte-plat ! Ils ont installé un monte-plat dans ce vieux fort. Il faut dire que tout semble venir directement du 19ème siècle. Elle explique la façon de servir, oui, on sait ! Elle ajoute :
— Quand ils entrent, Fanny fait une révérence et toi, Cucul, tu te plies en deux. Vous ne parlez que si on vous pose une question. Restez des deux côtés de ce monte-plat, je vais vérifier que tout se passe bien aux cuisines.
On attend certainement une demi-heure avant que Aïcha ne revienne. Elle est suivie par trois hommes et trois femmes. Je suis plié en deux et Fanny fait une profonde révérence. On ne bouge plus tandis qu’Aïcha installe les convives. Quand c’est fait, elle nous dit tout bas :
— Venez servir les boissons, je vous dirai quoi.
On a l’occasion de voir les gens. Il y a trois hommes : le président Shindy, un autre Indien et un Asiatique. Ils sont accompagnés de très belles femmes, deux Occidentales et une Métisse. Elles ont de belles robes et des bijoux. C’est comme que devrait être Fanny, si elle ne jouait pas à la bonne, parce que son père le lui a dit et qu’elle lui obéit.
On sert de l’eau au Président Shindy et du Château d’Yquem aux autres. Rien que l’odeur de ce vin me fait saliver. Aïcha nous dit quand débarrasser et servir le caviar. On fait « clink, clink » à chaque pas, c’est très agaçant. Le président dit à Aïcha :
— Enlève-leur ces bracelets de chevilles.
Aïcha nous fait enlever ces satanées clochettes.
On leur sert les plats, desserts et les alcools. Ils boivent peu, ils sont très riches et veulent le rester le plus longtemps possible. Les plats sont encore sur la table quand le Président dit à Fanny :
— Montre comment tu fais la pâtée de ton mari.
Elle répond :
— Oui Monsieur le Président.
Elle prend un bol et y met un peu de caviar, de la mie de pain, du gras de T-bone steak et surtout ce qu’ils attendent : elle crache plusieurs fois dedans et...
Saute la ligne suivante, très hypothétique lectrice du futur.
Elle retire une petite crotte de son nez. Le Président jette un coup d’œil à Aïcha qui fait la même chose. Je m’en fous, c’est juste un peu salé, je mange tout, j’ai faim. Le président fait un signe de tête à Aïcha, qui nous dit tout bas :
— Ils vous ont assez vus, saluez et on s’en va.
Aïcha et Fanny font une révérence, moi je me plie en deux et on part. Ouf !!! On ne sait jamais ce qui peut de passer avec ces gens.
On va dans les cuisines, où je me sens beaucoup plus à l’aise. On doit faire la vaisselle, enfin, surtout moi, parce que Fanny mange et parle avec la cuisinière et les servantes. Quand j’ai lavé et rangé la vaisselle, la cuisinière me dit :
— Déshabille-toi Cucul.
Je le fais. Je dois leur montrer mon sexe. D’accord, au repos, il ne fait pas dix centimètres mais quand même… bien, trois centimètres… ou deux. Ça les amuse beaucoup. Aïcha me dit :
— Continue ton travail sous la table et commence par moi.
Je me retrouve sous sa jupe, entre ses cuisses un peu poilues. Elles sont plus ou moins propres, mais j’aime les femmes et leurs chattes. À la longue, c’est fatigant pour la langue et les mâchoires. Elles boivent, rient et jouent à deviner qui se fait lécher. Je ne reconnais que Fanny, Aïcha et bien sûr la grosse cuisinière. Enfin, j’arrive à la dernière. Quand elle a joui, Aïcha me dit :
— Tu peux venir à table.
J’émerge à l’air et la lumière en clignant des yeux. Les filles me reniflent et rient. Eh ! C’est leurs chattes que je sens. Je peux me joindre à elles sur un petit tabouret et je reçois même leurs fonds de verres. Fanny est assise à côté d’Aïcha, elles ont l’air de bien s’entendre. Tant mieux, si c’est notre chef.
Je m’endors un peu sur mon tabouret. Les quatre filles qui nous ont remplacés auprès des maîtres de cette île viennent s’installer à table et Aïcha me dit :
— Encore quatre chattes à lécher, Cucul.
— Oui Mademoiselle
Je retourne sous la table. J’ai dit que j’aimais les chattes, mais là je crains une indigestion. Je suis fatigué, ma langue est au bord du malaise et je dois faire pipi. Je serre les cuisses. Je touche la jambe de Fanny. Elle me regarde sous la table. Je tiens mon sexe à deux mains : le message est clair. Elle fait signe « non » de la tête. Je vais pisser par terre et elles vont me mettre un lange ! Heureusement, Aïcha dit :
— On va se coucher, sauf les filles de garde de nuit.
Oh ?! Il y a des filles de nuit !!! Dure la vie dans le fort.
On va dans la chambre d’Aïcha. Les filles se couchent dans le lit et se collent l’une contre l’autre. Eh l’Africaine, c’est ma femme ! Justement ma femme lui dit :
— Le soir, Cucul peut m’embrasser…
Aïcha répond :
— Tu rigoles ?
— Il peut embrasser mes pieds, mais ils sont trop propres.
Aïcha rit et répond :
— Tu peux lécher les miens Cucul, je n’ai pas eu le temps de me laver avec votre arrivée.
Moi, je veux Fanny… mais je me glisse dans le lit et comme les filles sont collées l’une à l’autre, j’embrasse et je suce les orteils de quatre pieds… Je fais bien la différence, je reconnais l’odeur légère des pieds de Fanny. Quant à ceux d’Aïcha, c’est vrai qu’ils ne sont pas propres, mais j’avoue qu’ils me plaisent…
J’imagine que ma future lectrice imaginaire d’un futur millénaire en a marre de ces histoires de pieds, je…
Aïcha me dit ;
— C’est bon, va dormir sur ta couverture.
Je sors du lit et je me couche sur un vieux couvre-lit…
À suivre.
Merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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