672 - 69 Fanny écrit....
Je me réveille parce que je reçois un petit coup de pied. Fanny me dit :
— Bouge.
— Oui… bonjour… mad...
Je n’ai pas le temps de finir que je l’entends déjà pisser dans la salle de bain. Elle dit :
— Papier !
Oui, c’est ce qu’elle dit quand je dois aller pour… lui servir de papier. Malgré ça, le matin, elle ne veut pas que je la lèche avant de m’être lavé les dents. Je me couche dans la salle de bain, elle s’accroupit au-dessus de moi et elle frotte sa chatte mouillée sur mon visage.
J’entends une voix dire :
— Qu’est-ce que tu l’as bien dressé !
Fanny répond :
— J’ai pas beaucoup de mérite, Cucul est un vrai petit porc, il aime tout ce qui est sale. Je pourrais me moucher dans sa bouche. N’est-ce pas Cucul ?
Ben non, il y a des choses que je n’aime pas comme le sang et puis…
— N’EST-CE PAS CUCUL ?
— Oui Mademoiselle… J’adore tout de vous.
Évidemment, Aïcha dit :
— Et pas de moi ?
— Si, si Mademoiselle.
C’est à ce moment que la porte de la chambre s’ouvre et Monsieur, le père de Fanny, entre dans la pièce. On est tous les trois très surpris. Fanny saute dans ses bras, toute nue. Quand ils se sont bien embrassés, Aïcha va lui dire bonjour. Il l’embrasse, puis il nous dit :
Les enfants, il va y avoir du changement, suivez-moi dans la salle de réunion.
On n’ose pas lui demander « nus ? » On le suit dans la salle de réunion que je vois pour la première fois. C’est une très grande pièce sans fenêtres. Il y a une dizaine d’hommes et de femmes qui travaillent sur des PC. Assis derrière une petite table, il y a le Président Shindy et une très jolie Asiatique, Chinoise sans doute.
Monsieur va s’asseoir à côté de lui, tandis que Fanny, Aïcha et moi, on est debout. Fanny n’a pas l’air heureuse que son père ne la prenne pas sur ses genoux, ça doit être sérieux. Monsieur me dit :
— Cucul, tu ne plais pas aux gens qui sont ici.
Je dois faire une drôle de tête, parce qu’il ajoute :
— Tu n’as plus de raison de rester ici et d’écrire.
Monsieur poursuit :
— Il y a bien de la place dans le glory hole, mais je vais te faire une faveur, tu vas être le boy de ta sœur et de ta mère.
— Mais….
Monsieur pousse sur une touche de son téléphone et un garde vient me chercher et me tire par une oreille, je le suis en criant.
***
Moi, Fanny, je me retrouve dans la pièce avec Aïcha et mon père. Il me prend sur ses genoux et m’embrasse sur la bouche. Je sais que quelqu’un doit être choqué…
Mais je ne sais plus qui…
Ah oui, une lectrice imaginaire du futur ! Personnellement, je trouve ça normal, depuis que j’ai 18 ans mon père et moi, on se fait des câlins et plus. Je trouve très excitant de lécher le gland d’où vous provenez, via la sexe de votre mère, il n’y a que du sexe. Bon, si je fais des bêtises, il me donne toujours une bonne fessée, mais j’adore le supplier d’arrêter les claques sur mes fesses.
Fanny ! De l’action ! Oui, oui…
Il me dit :
— C’est toi qui va écrire.
— Oui Papa…
Il ajoute :
— Tu restes ici 10 jours, ensuite tu feras ce que je t’ai promis.
— Merci Papa…
— Mais tu dépends complètement et uniquement d’Aïcha et elle va te mener à la baguette, si c’est nécessaire.
Il ajoute quand même :
— Sans t’abîmer.
— Oui papa, donc je ne parle pas de qui tu sais.
— Le moins possible et tu dis « le boy ». Tu partiras avec Aïcha, mais commence par expliquer la situation avec le boy.
D’accord. D’abord le mariage est bidon et puis il parle très peu de mon goût pour les femmes et les hommes dominants. Ce n’est pas glorieux et j’en ai un peu honte, mais je suis soumise. Il m’a transformé en fille dominante, car ce sont ses fantasmes à lui. Maintenant il va être à la botte de Lisa, sa demi-sœur, une vraie fille dominante. D’ailleurs c’est elle qui l’a dressé et... Aïcha arrive dans la pièce et elle me dit :
— Aux pieds Fanny !
Cela provoque une réaction en chaîne très rapide : mes oreilles envoient le message à mon cerveau qui le transmet à ma chatte et en quelques secondes, je me retrouve mouillée, à genoux et tête baissée devant Aïcha. Je lui dis :
— Oui Maîtresse ?
— Suis-moi à quatre pattes, petite chienne.
Elle va s’asseoir dans un fauteuil et elle écarte les jambes. Un regard suffit et je vais embrasser sa chatte. Elle me dit :
— Qu’est-ce que tu es ?
— Votre esclave, Maîtresse.
— Non, ça ne me plaît pas, trouve autre chose.
— Votre servante, Mademoiselle.
— C’est mieux, tu vas m’obéir quel que soit l’ordre que je te donne, sinon tu m’apportes une de mes sandales, tu vois celle que je veux dire ?
— Mes fesses et moi, on n’est pas prêtes à l’oublier, Mademoiselle
— Tu me la donnes et tu te couches sur mes cuisses, les fesses en l’air, pour recevoir une bonne fessée.
— J’obéirai Mademoiselle.
D’accord, ce n’est pas glorieux, mais comment vous dire ? Je suis une fille angoissée et quand je suis aux ordres d’un Maître ou d’une Maîtresse, j’oublie mes angoisses. Qui vous savez a inventé une histoire de fille dominante, mais j’ai toujours obéis.
Aïcha me dit :
— Fin de matinée, il y a un match de tennis, tu seras la Fanny, mais ici tous les joueurs peuvent t’embrasser le cul et se faire photographier, comme on le faisait au siècle passé. Tes vêtements sont sur le lit.
Je mets une jupe plissée rouge, un chemisier blanc sans manche, une grande culotte blanche et des espadrilles.
Aïcha me dit :
— Montre comment tu te fais embrasser les fesses.
Je lui tourne le dos et je me penche en avant, en relevant ma jupe. Elle me donne une bonne claque sur le haut des cuisses… Je crie :
— Aiiiieee !
Elle me dit :
— C’est nul. Tu tournes le dos à ceux qui veulent baiser le cul de Fanny, tu descends ta culotte jusqu’aux chevilles, tu te penches en avant et tu tends les fesses. Si un joueur ou une joueuse te dit « mieux que ça », tu écartes bien tes fesses à deux mains pour qu’il t’embrasse le trou du cul. Compris ?
— Oui Mademoiselle.
— Il y aura un photographe à l’ancienne pour ceux qui veulent une photo quand ils embrassent tes fesses.
— Tout n’est pas filmé, Mademoiselle ?
— Ce ne sont pas tes affaires et je déteste être interrompue, parce qu’ensuite je dois te punir et on perd du temps.
Je baisse les yeux et elle poursuit :
— Ils recevront un ticket et le lendemain, ils pourront aller chercher une pochette avec un dessin qui te représente jouant à la pétanque avec une petite jupe qu’un coup de vent fait voler dévoilant tes fesses. Dans la pochette, il y a les photos du joueur embrassant tes fesses.
— Super idée Mademoiselle.
Ce que je pense c’est « mon cul, oui »… puisqu’il s’agit de lui. Ils peuvent faire faire des photos comme ils veulent d’après les images des caméras. C’est sans doute la pochette et le dessin qui plaît. Aïcha continue :
— Le soir, Fanny sera à la disposition de tous dans le bordel. Dis-moi ce que tu y feras.
Je réponds avec une voix… juvénile :
— Je crois que je ferai la pute, Mademoiselle.
Elle me prend par le cou et m’approche de son visage. Elle m’embrasse sur la bouche, puis me dit :
— Tu sais y faire, petite salope, tu me fais mouiller.
Elle retrousse sa jupe et écarte les jambes, j’embrasse sa chatte mouillée.
Maintenant, vous savez que c’est moi qui ai des seins et un super cul et une odeur mi-paradis mi-forêt tropicale humide. J’ai parfois l’impression de dire quelque chose que quelqu’un d’autre a écrit… Mais là, c’est bien moi et d’ailleurs, la preuve…
— FANNY ! Maintenant, dis-moi à quoi tu penses au lieu de me répondre.
— Ce n’est pas facile Mademoiselle, je pense à ce que je vais écrire et...
Elle vient près de moi et elle m’attrape la nuque pour me dire :
— C’est la dernière fois que tu m’écoutes pas, la prochaine, je t’envoie une heure « au coin » à genoux.
Je me mets à pleurer. Elle me dit :
— Tu pleures pour le « au coin » ?
— Oui, mais aussi parce que personne ne va croire que je suis quelqu’un d’autre. Il avait tellement bien imité ma façon d’écrire et de parler...
— Tu es occupée de te faire du cinéma. Les gens vont continuer à lire et à la limite, ils s’en foutent, ils vont oublier l’autre.
— Oui Mademoiselle, vous êtes gentille, je...
Elle me dit ;
— Maintenant, arrête de faire le bébé, j’ai trop de patience avec toi.
Elle me prend par un poignet et me couche en travers de ses cuisses. Elle me trousse et elle fesse. Elle frappe fort, mais je sais que c’est ce qu’il me faut. Après une bonne dizaine de claques, elle me remet sur mes pieds. Je pleure mais j’arrive quand même à lui dire :
— Pardon Mademoiselle, je vous obéirai.
Elle répond :
— Ah oui, ça, y a des chances ! Mets-toi à genoux et dis-moi si cette fessée t’a appris quelque chose.
— Oui Mademoiselle, à vous obéir et arrêter de faire du… cinéma. Je vous obéis et j’écris quand vous me le dites.
— Bien… Enlève mes sandales.
J’enlève ses sandales et je couvre ses pieds de baisers. Je suce aussi ses orteils, elle me regarde en souriant. Je les embrasse avec passion. Si quelqu’un a imité mes goûts, je n’y peux rien.
Elle me dit :
— Voici comment Fanny doit se comporter : il ne faut pas que les hommes ou les femmes doivent se pencher. Donc il y aura toujours une chaise marquée Fanny. Quand quelqu’un te dit « j’ai perdu » ou « j’ai gagné » tu montes sur la chaise, tu empoignes le dossier et tu les laisses faire.
C’est pas du tout comme à la pétanque... Elle continue :
— Il y aura toujours un photographe à l’ancienne, je veux dire avec un vrai appareil photo. Il va tout photographier : quand tu relèves ta jupe, quand tu baisses ta culotte et quand ils embrassent ton cul. Certains vont sans doute écarter tes fesses pour mieux embrasser ton cul. Ils recevront un bon pour avoir leurs photos le lendemain. De vraies photos sur papier. T’as compris ?
— Oui Mademoiselle.
— Le but est d’intéresser les hommes à tes fesses. Comme ça, ils auront envie de te retrouver dans le bordel, le soir.
— Je ne savais pas…
— Fanny, tu baises avec n’importe qui, non ?
— Oui Mademoiselle.
— Monsieur Shindy a fait installer un bordel à l’orientale. T’as pas envie de nous faire la danse des 7 voiles ?
— Mais je ne la connais pas, Mademoiselle.
Elle rit et répond :
— Je sais bien, tu te contenteras de faire ce que tu fais le mieux, lécher des sexes d’hommes et de femmes. Maintenant, si quelqu’un se plaint, que ce soit justifié ou pas… tu seras punie, mais pas plus que la fessée que je viens de te donner.
Elle me dit :
— Comme ton père te l’a dit, on partira bientôt en voyage de noces.
Elle rit et ajoute :
— Cet après-midi, il y aura des matchs et tu feras la Fanny.
À suivre.
Merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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