585 - 19 Eden en animé.

Ouf ! Fin de tournage de la dernière scène. On ne tourne pas les épisodes de façon chronologique, mais je ne dois avoir les fesses marquées par le fouet que pour la dernière séquence. Malee me dit :
— Assieds-toi Éden. Tu veux un tabouret ?
Ça fait rire les gens qui entendent sa méchante question. Je crois que je ne pourrai pas m’asseoir avant plusieurs jours. Elle me dit :
— Fais pas la tête, je vais te montrer quelque chose qui va te plaire. Viens.
Je la suis. On va dans une petite pièce où il y a des ordinateurs et un grand écran sur un des murs. Elle fait une recherche et des images apparaissent sur le grand écran. Je me vois, normal, sauf que je suis dessinée et je suis vraiment ressemblante, mais dans le style des dessins animés du début du 21ème siècle. Le personnage principal s’appelle Éden et elle vit au Magdalénien. Je suis belle et vêtue d’une peau de bête. Bien sûr, j’ai des formes, mais sinon je suis aussi sage que les héroïnes des dessins animés de l’époque. Malee arrête le film. Je lui dis :
— Oh non, s’il vous plaît, j’aime trop me voir en dessin animé.
— Tu vas voir l’autre et puis on va travailler.
J’apparais à nouveau sur l’écran, mais cette fois-ci, je suis beaucoup plus sexy, un de mes seins dépasse et la peau de bête s’arrête au milieu de mes fesses. 




C’est fou, mais ça m’émeut de me voir en personnage de comics sexy... Pour être plus claire, ma chatte m’envoie des SOS, genre « vite un doigt ». Je lui réponds « ce soir ma belle ». Elle n’est pas contente. D’autant plus que Malee arrête le film. Je la regarde avec des yeux suppliants, je le fais bien ! Elle me dit :
— On travaille, après tu les verras tous les deux.
Mais je viens de travailler pendant 10 jours pour le tournage ! Elle me dit :
— Je me suis rendu compte que tu avais l’air un peu idiote, comme beaucoup d’Occidentales...
Merci ! Bonjour le racisme ! Elle poursuit :
— Mais tu es intelligente...
J’ajouterais bien « comme beaucoup d’Occidentales » mais la douleur dans mes fesses me rappelle à l’ordre. Elle réfléchit et m’explique :
— L’idée de base me manque, ensuite j’écris facilement. Je voudrais une histoire avec un citoyen romain qui préfère les jeunes hommes aux jeunes femmes. Cherche l’idée. Tu as une heure. Dois-je te menacer si tu n’y arrives pas ?
— Non, Madame.
Sale garce, c’est elle qui veut faire l’auteur, qu’elle écrive alors. Elle sort un instant et quand elle revient, elle dépose un fouet sur mes cuisses. Oh putain !!! Bon. 
Je sais une chose, c’est que « homosexualité » est un mot qui est apparu vers le 18e siècle. Du temps des Grecs et des Romains, il y avait une importante notion de domination. Un citoyen ne pouvait pas sodomiser un autre citoyen, par contre, il pouvait faire ce qu’il voulait avec les esclaves qui étaient considérés comme des objets qu’on manipule à sa guise. J’ai même lu qu’il pouvait y avoir de vraies liaisons entre un Maître et son esclave. À Pompéi, on a retrouvé un bracelet en or sur lequel il était écrit « De son maître à sa belle esclave ». J’espère qu’ils se sont sauvés à temps... Les esclaves hommes, on pouvait les sodomiser autant qu’on voulait, mais l’inverse semblait tout à fait anormal.
Je sais que Cicéron aimait les jeunes gens... Je vais donc imaginer... J’écris... et heureusement, j’ai des idées... Le temps passe vite. Je sursaute quand j’entends la voix de Malee dire :
— Et alors ?
— J’ai écrit, Madame, et...
— Bouge-toi.
Elle s’assied à ma place et elle lit mon texte ou plutôt mes réflexions. Elle transfère mon texte, puis elle se retourne et elle me regarde. Je lui dis :
— Je peux encore... euh...
— C’est pas mal, c’est vrai que tu as l’air un peu stupide mais tu ne l’es pas.
Je ne sais pas bien quoi répondre... Elle poursuit :
— Dorénavant, on écrira ensemble et tu joueras, bien sûr.
Oh ! Je lui demande :
— Et ça changera quelque chose pour moi ?
— Rien du tout... sauf que je pourrai t’aider, si tu en as vraiment besoin. Trouve d’autres idées, on ne va pas faire un épisode avec seulement ça. 
Elle me montre un petit tas de vêtements et ajoute :
— Maintenant tu vas t’habiller, tu vas aller parler avec les familles...
— Les familles, Madame ?
— Oui, je veux dire, ceux qui ont regardé l’animé soft.
Bon... il y a un short en jean, un tee-shirt noir et des baskets noirs. Je m’habille. Elle me dit :
— Un garde t’attend dehors et... Éden...
— Oui Madame.
— Trouve des idées.
— Oui Madame...
Facile à dire... Je sors du studio et je traverse le sex park... Je parle un peu avec des fans, on me filme. La routine, quoi. Le garde me prend par le bras et on sort du Park. Il ouvre une porte et on se retrouve dans le Park pour « famille ». Je lui demande :
— Il y a aussi des enfants ? Parce que mon short est quand même vraiment petit...
— Non, il faut avoir 18 ans pour ce Park. Celui des enfants est de l’autre côté de l’île.
Il me conduit dans une salle où il y a pas mal de jeunes, même si les Coréennes et les Japonaises ont toujours l’air plus jeunes... Beaucoup sont déguisées en Kawaii (mignonnes) ou héros de mangas. Il y en a même qui sont vêtus de peau de bêtes, genre l’épisode au Magdalénien et l’animé. Ils m’applaudissent et font des photos et des vidéos avec moi. Ils me posent beaucoup de questions et me font signer des photos ou des bouts de papier. Un jeune homme me regarde fixement. Il est bronzé et habillé tout en noir, un peu comme moi. Il est grand et mince, mais costaud. Son regard m’intimide. Au bout d’une demi-heure de signatures, photos et même bisous, il vient près de moi et me tend la main en disant :
— Il est temps d’y aller, Éden.
Qu’est-ce que je fais ? Je prends sa main. Il y a bien quelques personnes qui se plaignent, mais ce jeune homme a une telle autorité que tous les gens me remercient pour les photos et le reste. Je sors avec lui. On est dans un endroit où tous les gens sont habillés, ne fût-ce que d’un maillot. Il me dit :
— Quand je t’ai vue dans cet animé, je me suis dit : « Je vais prendre cette petite en levrette ».
Eh oh ! Il est trop direct, là... C’est peut-être un psychopathe ! Je lui dis :
— Vous me faites peur....
Il se tourne et il me regarde en souriant et dit :
— Si tu es très obéissante, tu devrais t’en tirer avec quelques claques sur les fesses, c’est tout.
Il sourit... Et même si beaucoup de gens me regardent et nous filment, personne ne vient me parler ou m’embrasser. Il est... dissuasif. Un garde vient vers nous et il lui dit :
— Suivez-moi.
Il nous fait passer par le couloir et on se retrouve dans le Sex Park. Il me dit :
— On se déshabille.
J’enlève mes vêtements, lui aussi. On se regarde. Il me dit :
— Tu me plais.
Lui est grand, mince mais très musclé. Tout est dur chez lui y compris son sexe bien sûr. Il me dit : 
— Je vais te baiser dans les chiottes.
— Euh... vous ne préférez pas une chambre ?
Il répond :
— Prends tes vêtements.
Je n’ai que mon short et un tee-shirt. Un garde lui montre une petite construction... Ils sont tous d’accord ? On entre, il ouvre la porte d’une des toilettes et... il pisse abondamment dans la cuvette. Quand il a fini, il me dit :
— Mets tes mains sur la planche et ta tête dans la cuvette.
Il est fou... sauf que je le fais. Il me dit :
— Tu aimes l’odeur de ma pisse ?
Qu’est-ce qui me prend ? Pourquoi je lui réponds « Oui Monsieur » ?
Ils m’ont fait un lavage de cerveau ? Je suis la tête dans des WC au-dessus d’une eau jaunâtre qui sent la pisse... Il me dit :
— Remue ton cul. 
Je le bouge de droite à gauche, mais il me donne une claque sur les fesses en disant :
— Pas comme ça, de haut en bas comme une chienne en chaleur. Voilà... Tu es très obéissante. Tu as presque le visage dans ma pisse et tu obéis à tout ce que je dis. Tu as envie que je te baise ?
— Oui.
Nouvelle claque sur la fesse. Il me dit :
— Dis-le autrement.
— Oui Maître.
Je suis folle ! Il vient caresser ma fente avec son gland en disant :
— Tu es vraiment une chienne en chaleur, tu es trempée. Demande.
— Baisez-moi, Maître, s’il vous plaît.
Je suis sûre que tout est arrangé, qu’on est filmés et que je joue un rôle.
— Oooooohhhhhh !!!!
Il s’est enfoncé en moi jusqu’aux couilles.... Il me baise brutalement et il pousse sur ma tête, mon nez est à quelques centimètres de l’eau pisseuse. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je gémis... sous ses coups de reins... son sexe me transperce. J’entends une voix dire :
— On peut passer après vous, m’sieur ?
— Bien sûr, cette chienne ne demande que ça...
Quoi ! Mais je m’en fous, pour le moment, car je sens mon bas ventre se crisper et mon vagin se serrer sur cet envahisseur qui fouille partout.... et puis cette eau qui sent la pisse, c’est... c’est dégoûtant et je... 
— Ouiiiiiiii....
Je jouis en ayant plusieurs spasmes. Oh putain ! C’est... bon... Le garçon se retire sans jouir. Et là, j’entends des gens applaudir et une fille dire :
— Fin de tournage.
Bande de... J’ai honte d’avoir joui après avoir été autant humiliée... Le jeune homme me retourne et il me prend dans ses bras en disant :
— Faut pas pleurer bébé... Tu sais que tout est filmé, ici.
Je dirais bien que c’est vraiment traître comme méthode, mais puisque je dois être prudente, je me laisse aller et je pleure contre son épaule. De quoi ? De honte... Le garçon me dit :
— Si on allait manger une glace, je crois que tu aimes les brésiliennes... C’est ça ?
— Oui Monsieur.
— Je m’appelle Manuel.
On sort des chiottes. Je suis contente qu’il n’ait pas joui et que ça ne me coule pas le long de mes jambes. L’air qui circule entre elles me sèche un peu. On va dans une cafeteria. Sans qu’il l’ait demandé, une serveuse apporte deux énormes glaces avec crème fraîche et même petits drapeaux. On mange... Lui plus vite que moi, je me demande comment il reste aussi mince et musclé. Quand j’ai fini, je lui dis :
— Merci...
— Pour ?
— Ben, la glace.
— Mais tu peux avoir ce que tu veux, ici.
C’est vrai. Il me regarde et je baisse les yeux comme une collégienne. Il poursuit :
— On va jouer ensemble dans le prochain épisode. Ce qu’on a fait, c’est une mise en bouche...
Je le regarde bêtement. Il ajoute :
— Un « teaser » si tu préfères.
— Vous allez être gentil avec mon personnage ?
— Pas de fouet, je pense. Maintenant, on va rejoindre Malee et on termine d’écrire.

A suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.





 

Commentaires

  1. Éden en version manga, c'est aussi tendre qu'un 🍣 mais ça stimule autant que le wasabi. Bref, cette partie asiatique est extrêmement stimulante Merveilleuse Mia

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