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644 - 41 Les panthères.

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Il ronronne. Il est doux et chaud. Je me colle à lui. Désolée, lectrice imaginaire, je suis toujours vivante.  La pilule du pilote d’hélico doit avoir un effet retard, car je rêve que je m’endors contre une panthère noire et je me sens trop bien. Le jour se lève et je ne suis pas dans l’estomac de la panthère mais tout contre elle. Je caresse son pelage, elle ronronne à nouveau. Je résume : je suis sur une île déserte en compagnie d’un animal féroce, mais qui est très gentil avec moi. Jouons le jeu, je lui dis : — Regarde, belle panthère. Elle me regarde. J’ouvre la bouche et je tire la langue en faisant aller et venir mon pouce dans ma bouche. En humain et en panthère, ça veut dire : — J’ai soif. Elle se lève et me regarde, puis elle se dirige vers la végétation touffue qui recouvre l’île. Il y a une sorte de sentier, celui qu’elle doit emprunter souvent. Je cours derrière elle et on arrive devant un petit ruisseau. Elle boit, ce qui veut dire « Bois, jolie humaine, c’est de l’eau...

643 - 40 Rock.

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 Merde, c’est Sakura... Tout est injuste depuis que les IA ont pris le pouvoir. Elle a des vêtements qu’elle a dû trouver dans un sex shop, un short dans un tissu complètement transparent et un corsage qui laisse voir le bout de ses seins. Elle nous dit : — Comme on se retrouve, hein les filles ? Atsuko répond : — J’étais obligée de faire atterrir l’avion — Je m’en fous, je vais vous acheter et on réglera ça quand vous travaillerez pour moi.  Aïe ! Elle dit à la vendeuse : — Je les prends. — Certainement, Mademoiselle Sakura. La vendeuse ouvre nos cages et on s’en extrait difficilement. Elle nous dit : — Suivez-moi. On sort de ce grand complexe de magasins, les gardes se sont rapprochés. Des gens la reconnaissent et lui demandent de faire une photo avec elle. Là, il y a le début d’un problème car des jeunes me reconnaissent également et viennent faire des photos avec moi aussi. Ils me plaignent et m’encouragent, ils adorent mes aventures. Ça énerve Sakura et elle parle à un de...

642 - 39 Ils vont payer.

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 La fille ajoute : — Déshabillez-les et j’ai envie de les voir vous sucer la bite. Elle nous regarde en souriant et ajoute :                   — On ne se lave pas souvent. Quelle horreur ! Les musiciens et les gardes du corps nous déshabillent en déchirant nos vêtements. On crie... Ils nous mettent à genoux sur la petite table, devant la chanteuse, les fesses tournées vers elle. Les deux gardes nous tiennent les mains dans le dos, les fesses en l’air. Les musiciens doivent être à moitié asiatiques et à moitié occidentaux, à voir comme ils sont poilus. Ils exhibent de gros sexes entourés de poils noirs sous notre nez. L’un deux nous dit : — Va falloir obéir à la patronne, petites, et si vous nous mordez, on vous arrache les incisives et on vous les fourre dans le cul. Ensemble, ils font coulisser la peau de leurs prépuces. L’odeur devient pire. Ils nous regardent en souriant. Atsuko est encore plus dégoûtée que moi. On pourrait... La...

641 - 38 Atsuko.

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 — Et on peut... se faire lécher, Madame ?  La gouvernante répond : — Bien sûr. Vous leur faites faire ce que vous voulez, mais sans les abîmer. On a beaucoup de chance ! Une autre fille demande : — Elles vont travailler en haut aussi ? — Oui, sous vos ordres. Elles sont à vous, les maîtres ne veulent pas les voir ou le moins possible.       Une des filles s’appelle Shen et elle a l’air d’être plus ou moins la chef du sous-personnel, c’est-à-dire de celles qui sont en dessous du personnel d’en haut mais au-dessus de nous. Tu trouves ça trop compliqué et tu jettes ce livre imaginaire avec colère, lectrice imaginaire ? Reprends-le vite, il va se passer des choses qui vont te plaire.  La gouvernante lui dit : — Shen, tu t’occupes d’elles ? — Certainement, Madame. Elle nous regarde et dit : — Entre 13 h et 16 h, les maîtres ne sont pas dans les chambres, vous viendrez avec nous nettoyer et faire les lits. Jusqu’à midi et demi, vous pouvez faire vos petits dessi...

640 - 37 Le déclic.

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 Atsuko me dit : — On était obligées de les amuser, on ne doit pas avoir honte malgré ce qu’on a fait. On a le mot esclave brûlé sur nos fesses, on n’a pas tellement le choix.  Elle ajoute : — On va d’abord s’éloigner de cette vermine. — Bonne idée. Vermine, ça leur va bien et pour le connard de tout à l’heure, si on disait « le prétentieux » ? Elle rit et répond : — On va dire « Les prétentieux et les vermines ». Une toute petite façon de nous venger. On fait le tour de la grande cour et on trouve de la paille dans une pièce, mais c’est un cinq étoiles ! On vérifie qu’il n’y a pas trop d’insectes ou de rats, puis on se couche l’une contre l’autre. Je ne rêve pas et d’un côté, tant mieux. *** Le lendemain, un connard qui crie : — Les putains !! On se réveille en sursaut, toujours l’une contre l’autre. Atsuko me dit : — Je suppose que c’est nous ! On est traitées de putains par de la vermine. On y va vite. Une des vermines gueule : — Dèj !!! On va tout chercher dans une des piè...

639 - 36 La ferme.

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— Qui lèche le mieux des trois ? C’est Kimi, la Chinoise, qui répond : — Mila a cette réputation, Maîtresse. Garce ! Je préférerais lécher... euh... Perséphone, l’épouse d’Hadès, le dieu des enfers. Sakura me dit : — Tu n’as pas l’air emballée, petite vermine occidentale... — Ssiiiiii... Maîtresse. Je vais me mettre à genoux entre ses cuisses, les deux autres filles sont derrière moi, puisqu’on est attachées et je colle ma bouche à sa chatte. Je dois absolument cesser de penser à la garce qu’elle est. J’imagine que c’est Mei et je plonge la langue la première  dans sa chatte. Je l’ai à peine léchée quelques fois qu’elle me dit : — Tire-toi. Tu es nulle. Quoi ? Kimi me tire et on va se mettre à genoux un peu plus loin. Perséphone veut un homme, à défaut de Hadès ou de Daddy chou. Elle claque des doigts, Aran arrive aussitôt. Il la fait mettre à quatre pattes et il la baise. Elle va jouir tellement fort qu’elle va claquer... ou pas ! Elle jouit et se lève aussitôt. Lui n’a pas joui e...

638 - 35 Daddy chou et sa fille chérie.

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 La fin du monde... J’ai écrit ça et je l’ai jeté. Comme si elle avait compris à quoi je pense, Mei me dit : — C’est de ma faute, j’aurais dû mieux t’expliquer. On est dans la voiture d’Aran, l’homme que nos déboires amusent beaucoup. Il a un chauffeuse... non, ça n’existe peut-être pas, alors un chauffeur féminin qui s’appelle Zi. Nous sommes assises sur la banquette arrière de la voiture et il est entre Mei et moi. Il lui dit  : — Tu devenais un peu trop sûre de toi, quelques semaines d’humiliation te feront du bien. Je la regarde et je la vois faire une grimace. Moi, je suis comme avant le saut en parachute, je n’ai rien à perdre, je lui dis  : — Tout ça, c’est à cause de moi Monsieur, Mei ne doit pas être punie. L’homme rit... de moi, bien sûr. Il me dit : — Ah oui, c’est à cause de toi que Mei va passer des sales moments au propre et au figuré. Fallait écrire...  — Je le ferai. Maintenant, si vous voulez. — Trop tard, tu vas passer une semaine au bon air, à fair...